Des putes, revendiquant
l’appellation de « travailleuses du sexe », manifestent pour la
« défense du droit au travail ».
Des femelles, parfois épouses,
mères et grands-mères, pour qui la fornication, l’adultère et autres font
partie de « l’émancipation », se proclament « militantes »
et avec des proxénètes et des gigolos, apportent « un soutien moral pour le triomphe de la
libération de la femme ».
Au « journal télévisé »,
l’employé chargé de lire « les informations » jubile.[1]
BOUAZZA
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