mercredi 23 octobre 2013

JE FUIS DANS MA TÊTE


« […]. Lorsque l’esprit des hommes te paraîtra étroit, dis-toi que la terre de Dieu[1] est vaste […]. N’hésite jamais à t’éloigner, au-delà de toutes les mers, au-delà de toutes les frontières … ».[2]
Maintenant, je fuis dans ma tête.
Souvent, devant un clavier.
Je m’éloigne sans bouger, tournant le dos au verbiage et au vacarme.
Cherchant à commander le convenable[3] et à proscrire le blâmable.[4]
Faisant de mon mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.[5]
 
BOUAZZA


[1] Allaah.
[2] Amin Maalouf (Amiine Ma’louf), Léon l’Africain, Éditions Jean Claude Lattès, Paris 1986, p. 473.
[3] Alamr bilma’rouf (les r roulés)
[4] Annahyy ‘ane almonekar (le r roulé).
[5] L’’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Je ne fais que répéter ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :

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