samedi 12 octobre 2013

DÉVERSE ENCORE SUR MOI TA MISÉRICORDE, SEIGNEUR



Couleurs d’automne.
Murmures sous les pieds, de parures d’arbres défeuillés.
Nuages changeant de forme.
Instants de pluie fine.
Caresses de vent.
Clapotement d’eau.
Mémoire de fleuve.
Flots de pensées.
Afflux d’images.
Vagues de sensations.
Averse de mots.
Coulée de sérénité.
Ruissellement de paix.
Battements du cœur, tels les battements du cœur de la mère, que l’enfant béni garde en lui.
Reconnaissance.
Sont-ils égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
« Par le soleil et par sa clarté.
Par la lune quand elle le suit.
Par le jour quand il l’éclaire.
Par la nuit quand elle l’enveloppe.
Par le ciel et par Celui qui l’a construit.
Par la terre et par Celui qui l’a étendue.
Par l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.
Et lui a inspiré son immoralité et sa piété.
A réussi celui qui l’a purifiée.
Et a perdu celui qui l’a corrompue ».[1]
 
BOUAZZA


[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10 (verset 1 au verset 10).
Je ne fais que répéter ce que j’ai déjà écrit.
Voir :

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