Les indices ne manquent pas pour
annoncer, d’ores et déjà, que le révolutionnaire de gauche, François Hollande,[1] sera
autorisé en 2017, à rester sur « le trône » du Palais de l’Élysée
encore cinq ans.
En 2022, ce sera le tour de son « pote »,
Manuel Valls.[2]
Il ne cesse de gesticuler à cet
effet[3] et il
est con-vaincu que les zélés-cteurs[4] et
les zélées-ctrices[5] ont déjà fait « le
bon choix ».
Sa femme s’enflamme.
Dans « une démocratie »
comme la France, les zélés-cteurs et les zélées-ctrices servent en effet à confirmer
ce qui a été décidé et en ce qui le concerne, il est sûr que la décision a été
prise de le mettre en 2017 sur « le trône ».
La décision a été prise par
qui ?
Par ceux et celles qui ont mis
son « pote » et tous les autres sur « le trône ».
Certes, ils peuvent changer
d’avis lorsqu’ils jugent bon de le faire, et les zélés-cteurs et les
zélées-ctrices sont alors tenus de suivre et le nécessaire est fait, comme
d’habitude, pour leur donner l’impression, que c’est eux qui « décident ».
Mais cela ne le préoccupe pas.
Ce qui le préoccupe, c’est de
savoir ce qui a été décidé pour 2027.
Sera-t-il autorisé, comme son
« pote », à faire deux fois cinq ans au Palais ?
C’est la question qu’il se pose.[6]
BOUAZZA
[1]
Installé sur ″le trône″ du Palais de l’Élysée en mai 2012
(selon le calendrier dit grégorien), en remplacement de son alter ego, le
révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.
[2] Ministre de l’intérieur du révolutionnaire de gauche,
François Hollande.
Il
n’arrête pas de s’agiter en usant de tous les sens du terme ″connerie″, pour devenir
comme son ″pote″, Président de la
Ré-pub-lique.
Ce
Sarkozy de gauche croit en ses ″chances″ : Il sait ce que veulent les ″cons″, son ″pote″ aussi.
C’est
ainsi qu’il gesticule à tout bout de champ et veut en finir avec ″les roms de Roumanie et de Bulgarie″, ainsi qu’avec d’autres ″faciès″.
Les
″cons″ s’excitent.
Premier
flic de France comme il se définit fièrement lui-même, l’étalon souligne qu’il
va se les faire et que ″l’ordre public″ régnera, parole
de répressif de gauche.
Des
campements sont rasés et continuent de l’être et des populations, hommes,
femmes et enfants sont pourchassés, y compris dans les écoles.
Les
″cons″ jouissent :
Oui,
des roms sont ″français″ et
alors ?
Ils
sont ″français″ comme le sont des
maghrébins, c'est-à-dire, des bougnoules, des ratons, des melons, des musulmans.
La
porte parole du Gouvernement de François Hollande, le révolutionnaire de gauche
dit Président de la Ré-pub-lique, qui est aussi ministre de ce même François
Hollande, révolutionnaire de gauche dit Président de la Ré-pub-lique, a été
chargée de lire une déclaration selon laquelle Manuel Valls, le ministre de
l’intérieur de François Hollande, le révolutionnaire de gauche dit Président de
la Ré-pub-lique, procède avec ″fermeté et humanité″.
La déclaration de cette
employée dite porte parole du révolutionnaire de gauche installé sur ″le trône″ du Palais de l’Élysée, ne fait que confirmer qu’elle
donne satisfaction dans la répétition de ce qui lui est demandé de répéter.
C’est
cette même employée, connue des caméras de France et de Navarre, qui a répété
et continue de répéter, que le mariage des homosexuels et des lesbiennes, qui a
été légalisé par son employeur, François Hollande, le révolutionnaire de gauche
dit Président de la Ré-pub-lique, est un bienfait pour l’humanité.
[3] Sa
femme aussi qui est ravie qu’un ″sondage″ révèle que de nombreuses françaises
rêvent de s’envoyer en l’air avec son Manuel, son ″grand amour″
(Le Point du 04/10/2013, internet).
Avec la cinquième
Ré-pub-lique, après Charles de Gaulle, et surtout depuis François Mitterrand,
le sexe s’expose au Palais de l’Élysée, un peu comme dans ″la télé réalité″ qui con-tribue à cette cul-ture.
[4] Les
électeurs.
[5] Les
électrices.
Je reprends beaucoup de ce
dont j’ai déjà parlé
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