Les
personnes subjuguées par leur ego ne manquent pas.
En
France, beaucoup ont connu et connaissent des cités H.L.M,[1]
utilisées dans certaines banlieues, pour parquer des populations dites
« musulmanes », issues du processus migratoire des colonies d’Afrique
du Nord.
Des
personnes atteintes de nombrilisme aigu qui errent dans l’égarement, qui sont
souvent mal élevées, sans pudeur, irrespectueuses, parlant à tort et à travers,
capricieuses, vaniteuses, sournoises, désagréables, manipulatrices, et se
dissimulant derrière des masques afin de mener des actions nuisibles, qui
n’épargnent même pas des hommes et des femmes avec qui elles ont des liens de
parenté.
Des
personnes qui cultivent, de manière pathologique, des tendances à l’opposition
stérile pour se mettre en « valeur ».
Des
personnes pleines de mauvaises intentions, convaincues d’être
« intéressantes », parce que
ayant fait « des études » qui les autorisent, soulignent-elles, à
être ce qu’elles sont.
Des
personnes qui interprètent les faits à leur convenance, qui se complaisent dans
l’entêtement, qui n’écoutent pas,[2] et qui
sont disposées à tout pour attirer l’attention.
Des
personnes que l’écoute répugne parce qu’elle se nourrit de la raison et invite
à se remémorer, à chercher, à s’interroger, à réfléchir, à voir, à analyser, à comprendre,
à élaborer, à croire, à aimer, à partager, à soutenir, à accomplir, à être
reconnaissant, à apprendre, à réapprendre, à se repentir, à se réformer, à s’améliorer,
à choisir, à agir, à lutter, à combattre, à ne pas désespérer, à construire, à être
confiant, à témoigner, à transmettre, à devenir meilleur, et à résister.
Ces têtes
à claques gagnent à ne pas être connues.
Peuvent-elles
changer ?
Se
réformer ?
S’améliorer ?
Devenir
meilleures ?
Oui.
L’islaam[3] le
permet et aide une personne à changer
en mieux lorsque cette personne le veut, manifeste le désir de s’éloigner de ce
qui est blâmable,[4]
et de suivre ce qui est convenable.[5]
BOUAZZA
″Quiconque prend le droit
chemin le prend pour lui-même et quiconque s’égare, s’égare à son propre
détriment″.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 17 (chapitre 17), Alisraa-e, Le Voyage Nocturne, aayate 15
(verset 15).
[1] Habitation à Loyer Modéré.
[2] « Ceux qui écoutent ce qui est dit et en suivent
le meilleur. Ce sont ceux-là qu’Allaah a bien guidés et ce sont ceux-là les
gens qui ont un cerveau » (Alqoraane (Le Coran), sourate 39 (chapitre 39),
Azzomar (le ″r″ roulé), Les Groupes, aayate 5, verset 5).
[3] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même
institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa
almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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