« Le
ciel était ouvert. Sans fin et sans frontière, la mer reprenait de sa grande
voix d’orgue la symphonie de la vie que les hommes avaient interrompue,
détruite au nom de ce qu’ils appelaient l’amour ».[1]
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire