samedi 4 octobre 2014

‘AA-I-CHA

« Aïcha la bien aimée du Prophète »,[1] est le titre d’un roman[2] de Geneviève Chauvel, qui s’appuie sur des données historiques, se rapportant à ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse, épouse de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Bien documentée quant à la période de la mission Prophétique, Geneviève Chauvel a essayé d’étudier les relations du couple dans le cadre de l’Islaam,[3] à partir de certains épisodes de la vie maritale de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Elle s’est trouvée confrontée à la question de la polygamie[4] et à d’autres questions, et a cherché à les comprendre.
Mis à part certains développements inadéquats, elle a su éviter les clichés, les stéréotypes, les commentaires arrogants et autres attitudes désagréables, utilisés dans d’autres écrits pour alimenter et entretenir la haine contre les croyants et les croyantes.[5]
C’est un travail qui s’appuie sur des références précises et retrace des périodes de la mission de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, à travers sa vie avec son épouse ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse.[6]
Il n’est pas sans intérêt de rappeler ici, en marge du livre, quelques points qui aident à mieux saisir l’ensemble.
L’Islaam[7] éduque l’homme et la femme, leur enseigne, entre autres, la complémentarité, l’équilibre, l’harmonie et les met en garde contre les limites à ne pas dépasser.
Il précise à l’un et à l’autre les devoirs et les droits.[8]
Il n’appartient ni à l’homme ni à la femme, selon leur bon plaisir, de fixer ce qui est licite[9] et ce qui est illicite.[10]
Le licite est ce que Allaah a rendu licite et l’illicite est ce que Allaah a rendu illicite.
Allaah élève l’homme et la femme aux degrés les plus hauts.
Ce que Allaah a transmis à l’homme et à la femme[11] est infiniment plus riche que tout ce que l’homme et la femme, peuvent atteindre en dehors du Message[12] d’Allaah.
« Les musulmans et les musulmanes,[13] les croyants et les croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales,[14] les endurants et les endurantes,[15] les craignants et les craignantes,[16] les donneurs d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les invocatrices, Allaah leur a préparé un pardon et une récompense immense. Il n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un égarement évident ».[17]
La femme est une parure pour l’homme.
L’homme est une parure pour la femme.[18]
La vie maritale est d’une extrême importance.
La sexualité en Islaam est fondée sur le mariage entre l’homme et la femme.
C’est un bienfait d’Allaah dont jouissent, sur de multiples plans, les croyants et les croyantes.
« Et parmi Ses signes[19] Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de la tendresse et de la miséricorde.[20] Il y a en cela des signes pour des gens qui réfléchissent ».[21]
En Islaam, à la puberté, l’homme et la femme deviennent responsables devant Allaah.
Lorsque ‘Aa-i-cha[22] qu’Allaah la bénisse est devenue pubère, son mariage avec Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, qui avait plus de cinquante ans,[23] a été célébré.
Beaucoup de choses ont été dites sur ce point.
Les dénigrements et les insultes continuent et continueront.
La célébration du mariage a eu lieu peu de temps après alhijra[24] à Yatrib,[25] où les croyants et les croyantes, chassés de Makka,[26] ont été accueillis.
À Makka, Mohammad sur lui la bénédiction et la paix, était attaqué, injurié, accusé de mensonge, calomnié, maltraité, humilié, marginalisé, persécuté, menacé, pourchassé, pour l’empêcher d’accomplir sa mission, de transmettre le Message d’Allaah.
C’est à Almadiina,[27] le nouveau nom de Yatrib qu’il a été accueilli pour poursuivre cette mission.
Geneviève Chauvel rappelle cette période et conduit le roman jusqu’à la fin ici-bas de ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse, en s’intéressant aux parcours des autres femmes de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Avant d’être innocentée par Alqoraane, ‘Aa-i-chaa, qu’Allaah la bénisse, a été accusée d’adultère : Geneviève Chauvel rapporte convenablement cette terrible accusation et ce qu’elle a entraîné dans la vie maritale de ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse et de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Tous ces détails sont abordés sans omettre les événements importants dans la mission de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix : les batailles de Badr,[28] d’Ohod, d’Alkhanedaq,[29] de Khaybar,[30] la libération de Makka, le pèlerinage de l’adieu,[31]et autres.
Parlant de ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse pendant l’absence de son époux sur lui la bénédiction et la paix, parti pour la libération de Makka, Geneviève Chauvel écrit :
« Chaque jour, malgré le jeûne qu’elle observe du lever[32] au coucher du soleil, Aïcha vaque à ses devoirs de Mère des Croyants,[33] distribuant ici et là secours et réconfort aux nécessiteux agglutinés dans la cour de la mosquée. Chaque nuit, elle prolonge le temps de prière par des méditations dont Muhammad[34] lui a enseigné les vertus. Grâce à ces exercices spirituels, elle se dépouille du monde terrestre, et son esprit flotte dans l’univers des pensées où l’on entend la voix des anges, ou l’on ressent la paix de Dieu,[35] comme une brise qui pénètre jusqu’au fond de l’âme et rafraîchit le cœur. […].
Ce qu’elle a vécu au cours de ces dix dernières années, elle ne l’échangerait contre rien au monde. […].
Aïcha,[36] qui a connu la pauvreté au cours des premières années de son mariage, a pris l’habitude, dès cette époque, de partager le peu qu’elle a, et s’est accoutumée à vivre dans la sobriété en limitant ses besoins au strict minimum. La prière et les jeûnes fréquents la guideront vers l’ascétisme et la méditation hors des heures qui ne seront pas consacrées aux consultations diverses, à l’étude des textes sacrés ou à la rédaction des hadiths ».[37]
Cette épouse qu’Allaah la bénisse, très aimée du Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, avait bien entendu pour lui un grand amour.
C’est dans sa chambre et dans ses bras que Mohammad sur lui la bénédiction et la paix est mort.[38]
Et c’est dans sa chambre qu’il a été enterré.[39]
Sa vivacité, ses connaissances et d’innombrables autres qualités ont été mises au service des croyants et des croyantes :
« Sa véranda est assaillie par les savants, les théologiens, les juristes et les chercheurs qui font appel à sa mémoire comme à ses hautes compétences. Autour d’elle se constitue un véritable centre d’études où seront formés les spécialistes de l’exégèse coranique. De grands narrateurs de hadiths, comme le célèbre Abou Horayra,[40] lui présentent leurs récits afin d’en évaluer l’exactitude. Des intimes du prophète,[41] ses propres neveux, ses nièces, viennent suivre ses cours afin de transmettre à la postérité les récits de la Tradition[42] les plus authentiques. Ses enseignements sont irremplaçables car, pour chaque verset, elle restitue les circonstances qui furent à l’origine de la révélation, les événements historiques qu’elle considère comme une base incontournable d’une juste interprétation. On l’écoute avec passion. On admire sa logique, son intelligence, on approuve ses critiques, on reconnaît surtout son sens de la rigueur et son intégrité ».[43]
Après la mort de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix, les luttes pour le pouvoir devenaient de plus en plus âpres et, manipulée, ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse, s’est trouvée embrigadée dans des divisions et affrontements armés entre les croyants et les croyantes, divisions et affrontements[44] alimentés et entretenus par des imposteurs, des conspirateurs.[45]
« La prière et le recueillement, le jeûne et la méditation ont fortifié son âme, mais sa mémoire ne peut effacer les images cruelles. Dix mille hommes ont perdu la vie pour lui avoir fait confiance, ainsi que cinq mille autres du camp d’Ali[46] qui la croyaient coupable. Dans sa frénésie justicière,[47] elle a provoqué l’irréparable. Des musulmans ont tué des musulmans. […].
Le moment le plus terrible est celui où Aïcha[48] gagne sa chambre. Le lit a été déplacé. Elle est seule, face à trois tombes qui semblent se dresser dans l’obscurité afin de lui demander des comptes. Son père,[49] le calife[50] Omar[51] et surtout le prophète,[52] son bien-aimé. Elle s’effondre à genoux, front contre terre et sanglote à se briser le cœur. Elle n’a jamais autant pleuré depuis le drame du collier.[53] Elle était innocente alors et l’on attendait son aveu. « Dieu pardonne à celui qui se repent », lui disait Muhammad[54] d’un air suppliant. Aujourd’hui, elle porte le poids de sa faute que personne ne pourra alléger. Elle n’en finit pas de reconnaître son erreur et se laisse ronger par ce sentiment de culpabilité dont elle ne peut se délivrer. […].
Elle comprend alors combien elle a été manipulée. On s’est joué de la sincérité de son indignation devant le crime,[55] comme de son désir violent de faire triompher la justice d’Allah[56] en recherchant les coupables. Ceux qui l’ont entraînée, l’ont utilisée pour servir leurs ambitions personnelles. […].
Elle écoute ce qui se dit, analyse, mais se jure de ne plus prendre parti pour l’un ou l’autre, car ce chemin n’est pas celui que Dieu lui a tracé. Pourquoi l’a-t-il marié si jeune à Son Envoyé, lui donnant ainsi la chance de recevoir les plus hauts enseignements de cette religion qui doit unir les hommes ? Pourquoi l’a-t-il dotée d’une intelligence vive et d’une mémoire infaillible ? À l’heure où les vieux Compagnons ne sont plus nombreux pour raconter leurs souvenirs, à l’heure où les jeunes cherchent les valeurs auxquelles se raccrocher, loin des vaines ambitions nourries par la vanité et la cupidité, n’a-t-elle pas un rôle à jouer ? Témoigner, défendre cet islam[57]  qui l’a pétrie dès le berceau, dont elle a suivi les premiers balbutiements, supporté les épreuves au temps de l’Émigration vers Médine, et dont elle a reçu la semence de vérité de la bouche du Messager[58]  qui n’a cessé de l’initier sur la voie de la perfection. N’est-ce pas là le modeste sentier de son destin ? […].
Après le temps de l’erreur, elle veut racheter sa faute par une vie exemplaire, consacrée à des jeûnes, à la prière et à la méditation. L’argent qu’elle reçoit, sa pension de veuve du prophète[59] et les dons spontanés, sont immédiatement redistribués aux pauvres. Il lui arrive souvent de ne rien garder pour elle, pas même un dirham pour un morceau de viande. Un peu d’eau fraîche et quelques dattes lui suffisent pour calmer les exigences du corps quand l’esprit se rassasie chaque jour des écrits sacrés de la parole divine[60] et de celle de Muhammad[61]. […].
Depuis son retour de la Bataille du Chameau, son mode de vie et sa conduite, faits de modestie et d’humilité, sont irréprochables et forcent le respect. Elle prie, de jour comme de nuit, jeûne, distribue ses revenus en aumônes, fait le pèlerinage chaque année, et reçoit dans sa véranda ceux qui éprouvent le besoin de savoir ou viennent chercher auprès d’elle les certitudes qui forgeront leurs âmes ».[62]
L’existence ici-bas de ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse, s’est achevée en l’an cinquante six d’alhijra,[63] à Almadiina.


                                         BOUAZZA                   
       



[1]  Sallaa Allaah ‘alayh wa sallame, sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Éditions S W-Télémaque, Paris 2007.
[3] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[4] Qui obéit en Islaam à des règles précises qu’il convient de connaître, d’étudier et d’analyser pour en saisir le sens profond et la portée.
[5] Almouminoune wa almouminaate.
[6] Les personnes au fait des événements de cette période se rendront compte de certaines imprécisions et inexactitudes qu’il n’y a pas lieu cependant, de relever ici.
[7] Auquel des imposteurs veulent à tout prix rattacher des États dits musulmans.
Il faut répéter, encore répéter, toujours répéter, que depuis des lustres, aucun État Musulman n’existe plus nulle part et les imposteurs le savent parfaitement.
Les croyants et les croyantes n’ignorent pas que les États dits musulmans sont des régimes avec à leur tête des hypocrites, des traîtres, des dévoyés qui répandent les mœurs dissolues, les vices, la puanteur et autres.
[8] Ce n’est pas la préoccupation des pions placés par l’imposture à la tête des États dits musulmans″.
[9] Halaal.
[10] Haraame (le ʺrʺ roulé).
[11] Par l’intermédiaire des Prophètes et des Messagers, sur eux la bénédiction et la paix.
[12] Le Message a commencé avec Aadame (Adam), sur lui la bénédiction et la paix.
[13] Almoslimoune wa almoslimaate.
[14] Ceux et celles qui sont véridiques.
[15] Les patients et les patientes.
[16] Ceux et celles qui sont recueillis.
[17] Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et aayate 36 (verset 35 et verset 36).
[18] Alqoraane (Le Coran) sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le r roulé), La Vache, aayate 187 (verset 187).
[19] Les signes d’Allaah (aayaate).
[20] Dans sa traduction du Qoraane, Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid) note en bas de page que dans ce verset il y a le rappel que la femme est de la propre nature de l’homme c'est-à-dire qu’elle lui est, de ce point de vue, parfaitement égale et qu’il n’a aucune raison de se croire supérieur à elle.
Il y a le rappel que l’homme ne peut retrouver son calme, c'est-à-dire son équilibre psychique, qu’en vivant avec la femme. C’est un rappel à l’époux qu’il doit cohabiter avec son épouse.
Enfin Allaah nous rappelle que la vie conjugale tire sa force des liens de tendresse et d’amour réciproques qui unissent les deux époux et qui sont parfois remplacés par des liens de miséricorde quand l’un d’eux est malade, ou trop vieux, ou frappé de quelque infirmité avilissante.
[21] Alqoraane (Le Coran), sourate30 (chapitre 30), Arroum (le r roulé), aayate 21 (verset 21).
[22] Fille d’Abou Bakr Assidiiq (le r roulé) qu’Allaah le bénisse, l’un des premiers compagnons de l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, et premier chef d’État des croyants et des croyantes à la fin de l’existence ici-bas de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
[23] Il avait la cinquantaine à la fin de l’existence ici-bas de son épouse Kadiija (Khadija) qu’Allaah la bénisse.
C’était une veuve, beaucoup plus âgée que lui, très fortunée et qui l’employait dans la gestion de ses affaires commerciales.
Il avait vingt-cinq ans à son mariage avec elle.
Lorsque à quarante ans il a eu la mission de transmettre Alqoraane (Le Coran) qui est la continuation, la synthèse et la parachèvement du Message d’Allaah, elle y a cru immédiatement, et a entouré son époux, le père de ses enfants, comme elle n’a jamais cessé de le faire, de son amour sans faille, qui lui était d’un soutien de tous les instants.
Khadiija qu’Allaah la bénisse n’a jamais cessé de lutter avec les croyants et les croyantes et à partager les dures épreuves avec eux.
Son existence ici-bas s’est achevée peu de temps après la fin d’un terrible blocus auquel l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix a été soumis avec des croyants et des croyantes, par les ennemis de l’Islaam.
L’amour entre Mohammad sur lui la bénédiction et la paix et Khadiija qu’Allaah la bénisse, est connu.
‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse a dit qu’elle était jalouse de cette femme décédée.
S’agissant du Message d’Allaah, il faut rappeler que les Prophètes et les Messagers sur eux la bénédiction et la paix, ont tous eu pour mission de transmettre ce qui leur a été révélé par Allaah.
La multiplicité des révélations se rapporte aux diverses étapes du Message et met en relief son essence qui est l’unicité, l’Adoration d’Allaah l’Unique.
C’est dire que l’Islaam n’a pas commencé à l’époque où Mohammad a entamé sa mission de Prophète et de Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Aadame a été le premier Envoyé sur lui la bénédiction et la paix, et Mohammad l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Mohammad est un Envoyé sur lui la bénédiction et la paix, qui a été précédé par d’autres Envoyés sur eux la bénédiction et la paix.
[24] Le ″r roulé, l’hégire, l’émigration, l’exil.
[25] Yathrib (le r roulé), au Nord de l’Arabie.
[26] La Mecque, au Sud de l’Arabie
[27] Médine, la ville, madiinate Annabiyy (la ville du Prophète sur lui la bénédiction et la paix).
[28] Le r roulé.
[29] Du fossé.
[30] Le r roulé.
[31] Hajjate alwadaa’e.
[32] De l’aube.
[33] Omme almouminiine (appellation des femmes de l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix).
[34] Sur lui la bénédiction et la paix.
[35] Allaah.
[36] Qu’Allaah la bénisse.
[37] P. 305, 307 et 357.
Alqoraane, il ne faut pas hésiter à le répéter, est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadith (hadiithe, hadiite, hadite) cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
[38] En l’an X d’alhijra (632 selon le calendrier dit grégorien).
[39] À leur mort, Abou Bakr et ‘Omar qu’Allaah les bénisse, seront enterrés avec lui dans cette chambre.
[40] Le r roulé.
[41] Sur lui la bénédiction et la paix.
[42] Ce qui a trait à la vie de l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[43] P. 365.
[44] Qui ont fini, avec le temps, par mettre fin à l’État des croyants et des croyantes qui, depuis des lustres, n’existe plus nulle part.
[45] La bataille du chameau (ma’rakate aljamal).
[46] Qu’Allaah le bénisse.
Cousin, gendre du Messager sur lui la bénédiction et la paix, et quatrième chef d’État des croyants et des croyantes, après Abou Bakr, ‘Omar et ‘Othmaane qu’Allaah les bénisse (ce sont les quatre chefs d’État dits bien guidés, raachidiine).
[47] Elle croyait combattre pour l’application de la justice en ce qui concerne l’assassinat du troisième chef d’État, ‘Othmaane qu’Allaah le bénisse.
[48] Qu’Allaah la bénisse.
[49] Qu’Allaah le bénisse.
[50] Alkhaliifa, le successeur.
[51] Qu’Allaah le bénisse.
[52] Sur lui la bénédiction et la paix.
[53] Lorsqu’elle a été accusée d’adultère.
[54] Sur lui la bénédiction et la paix.
[55] L’assassinat du chef de l’État des croyants et des croyantes, ‘Othmaane qu’Allaah le bénisse.
[56] Allaah.
[57] Islaam.
[58] Sur lui la bénédiction et la paix.
[59] Sur lui la bénédiction et la paix.
[60] La parole d’Allaah.
[61] Sur lui la bénédiction et la paix.
[62] P. 387, 388, 389, 391, 392 et 394.

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