« Aïcha
la bien aimée du Prophète »,[1] est le titre d’un
roman[2] de
Geneviève Chauvel, qui s’appuie sur des données historiques, se rapportant à
‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse, épouse de Mohammad, l’ultime Prophète et
Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Bien
documentée quant à la période de la mission Prophétique, Geneviève Chauvel a
essayé d’étudier les relations du couple dans le cadre de l’Islaam,[3] à
partir de certains épisodes de la vie maritale de Mohammad sur lui la
bénédiction et la paix.
Elle
s’est trouvée confrontée à la question de la polygamie[4] et à
d’autres questions, et a cherché à les comprendre.
Mis
à part certains développements inadéquats, elle a su éviter les clichés, les
stéréotypes, les commentaires arrogants et autres attitudes désagréables, utilisés
dans d’autres écrits pour alimenter et entretenir la haine contre les croyants
et les croyantes.[5]
C’est
un travail qui s’appuie sur des références précises et retrace des périodes de
la mission de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et
la paix, à travers sa vie avec son épouse ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse.[6]
Il
n’est pas sans intérêt de rappeler ici, en marge du livre, quelques points qui
aident à mieux saisir l’ensemble.
L’Islaam[7]
éduque l’homme et la femme, leur enseigne, entre autres, la complémentarité,
l’équilibre, l’harmonie et les met en garde contre les limites à ne pas
dépasser.
Il
précise à l’un et à l’autre les devoirs et les droits.[8]
Il
n’appartient ni à l’homme ni à la femme, selon leur bon plaisir, de fixer ce
qui est licite[9] et ce qui est illicite.[10]
Le
licite est ce que Allaah a rendu licite et l’illicite est ce que Allaah a rendu
illicite.
Allaah
élève l’homme et la femme aux degrés les plus hauts.
Ce
que Allaah a transmis à l’homme et à la femme[11] est
infiniment plus riche que tout ce que l’homme et la femme, peuvent atteindre en
dehors du Message[12]
d’Allaah.
« Les
musulmans et les musulmanes,[13] les
croyants et les croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les
loyales,[14] les endurants et les
endurantes,[15] les craignants et les
craignantes,[16] les donneurs d’aumône et
les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens de leur
chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les invocatrices,
Allaah leur a préparé un pardon et une récompense immense. Il n’appartient pas
à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son Messager ont décidé
d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque
désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un égarement évident ».[17]
La
femme est une parure pour l’homme.
L’homme
est une parure pour la femme.[18]
La
vie maritale est d’une extrême importance.
La
sexualité en Islaam est fondée sur le mariage entre l’homme et la femme.
C’est
un bienfait d’Allaah dont jouissent, sur de multiples plans, les croyants et
les croyantes.
« Et
parmi Ses signes[19] Il a créé de vous, pour
vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis
entre vous de la tendresse et de la miséricorde.[20] Il y
a en cela des signes pour des gens qui réfléchissent ».[21]
En
Islaam, à la puberté, l’homme et la femme deviennent responsables devant
Allaah.
Lorsque
‘Aa-i-cha[22] qu’Allaah la bénisse est
devenue pubère, son mariage avec Mohammad, l’ultime
Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, qui avait plus de
cinquante ans,[23] a été célébré.
Beaucoup
de choses ont été dites sur ce point.
Les
dénigrements et les insultes continuent et continueront.
La
célébration du mariage a eu lieu peu de temps après alhijra[24] à
Yatrib,[25] où
les croyants et les croyantes, chassés de Makka,[26] ont
été accueillis.
À Makka, Mohammad sur lui la bénédiction
et la paix, était attaqué, injurié, accusé de mensonge, calomnié, maltraité,
humilié, marginalisé, persécuté, menacé, pourchassé, pour l’empêcher
d’accomplir sa mission, de transmettre le Message d’Allaah.
C’est
à Almadiina,[27] le nouveau nom de Yatrib
qu’il a été accueilli pour poursuivre cette mission.
Geneviève
Chauvel rappelle cette période et conduit le roman jusqu’à la fin ici-bas de
‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse, en s’intéressant aux parcours des autres femmes
de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Avant
d’être innocentée par Alqoraane, ‘Aa-i-chaa, qu’Allaah la bénisse, a été accusée
d’adultère : Geneviève Chauvel rapporte convenablement cette terrible accusation
et ce qu’elle a entraîné dans la vie maritale de ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse
et de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Tous
ces détails sont abordés sans omettre les événements importants dans la mission
de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix : les batailles de Badr,[28]
d’Ohod, d’Alkhanedaq,[29] de
Khaybar,[30] la libération de Makka,
le pèlerinage de l’adieu,[31]et
autres.
Parlant
de ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse pendant l’absence de son époux sur lui la
bénédiction et la paix, parti pour la libération de Makka, Geneviève Chauvel
écrit :
« Chaque
jour, malgré le jeûne qu’elle observe du lever[32] au
coucher du soleil, Aïcha vaque à ses devoirs de ″Mère
des Croyants″,[33]
distribuant ici et là secours et réconfort aux nécessiteux agglutinés dans la
cour de la mosquée. Chaque nuit, elle prolonge le temps de prière par des
méditations dont Muhammad[34] lui
a enseigné les vertus. Grâce à ces exercices spirituels, elle se dépouille du
monde terrestre, et son esprit flotte dans l’univers des pensées où l’on entend
la voix des anges, ou l’on ressent la paix de Dieu,[35]
comme une brise qui pénètre jusqu’au fond de l’âme et rafraîchit le cœur. […].
Ce
qu’elle a vécu au cours de ces dix dernières années, elle ne l’échangerait
contre rien au monde. […].
Aïcha,[36] qui
a connu la pauvreté au cours des premières années de son mariage, a pris
l’habitude, dès cette époque, de partager le peu qu’elle a, et s’est accoutumée
à vivre dans la sobriété en limitant ses besoins au strict minimum. La prière
et les jeûnes fréquents la guideront vers l’ascétisme et la méditation hors des
heures qui ne seront pas consacrées aux consultations diverses, à l’étude des
textes sacrés ou à la rédaction des hadiths ».[37]
Cette
épouse qu’Allaah la bénisse, très aimée du Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix, avait bien entendu pour lui un grand amour.
C’est
dans sa chambre et dans ses bras que Mohammad sur lui la bénédiction et la paix
est mort.[38]
Et
c’est dans sa chambre qu’il a été enterré.[39]
Sa
vivacité, ses connaissances et d’innombrables autres qualités ont été mises au
service des croyants et des croyantes :
« Sa
véranda est assaillie par les savants, les théologiens, les juristes et les
chercheurs qui font appel à sa mémoire comme à ses hautes compétences. Autour
d’elle se constitue un véritable centre d’études où seront formés les
spécialistes de l’exégèse coranique. De grands narrateurs de hadiths,
comme le célèbre Abou Horayra,[40] lui
présentent leurs récits afin d’en évaluer l’exactitude. Des intimes du
prophète,[41] ses propres neveux, ses
nièces, viennent suivre ses cours afin de transmettre à la postérité les récits
de la Tradition[42] les plus authentiques.
Ses enseignements sont irremplaçables car, pour chaque verset, elle restitue
les circonstances qui furent à l’origine de la révélation, les événements
historiques qu’elle considère comme une base incontournable d’une juste
interprétation. On l’écoute avec passion. On admire sa logique, son
intelligence, on approuve ses critiques, on reconnaît surtout son sens de la
rigueur et son intégrité ».[43]
Après
la mort de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix, les luttes pour le
pouvoir devenaient de plus en plus âpres et, manipulée, ‘Aa-i-cha qu’Allaah la
bénisse, s’est trouvée embrigadée dans des divisions et affrontements armés
entre les croyants et les croyantes, divisions et affrontements[44]
alimentés et entretenus par des imposteurs, des conspirateurs.[45]
« La
prière et le recueillement, le jeûne et la méditation ont fortifié son âme,
mais sa mémoire ne peut effacer les images cruelles. Dix mille hommes ont perdu
la vie pour lui avoir fait confiance, ainsi que cinq mille autres du camp d’Ali[46] qui
la croyaient coupable. Dans sa frénésie justicière,[47] elle
a provoqué l’irréparable. Des musulmans ont tué des musulmans. […].
Le
moment le plus terrible est celui où Aïcha[48]
gagne sa chambre. Le lit a été déplacé. Elle est seule, face à trois tombes qui
semblent se dresser dans l’obscurité afin de lui demander des comptes. Son
père,[49] le
calife[50] Omar[51] et
surtout le prophète,[52] son
bien-aimé. Elle s’effondre à genoux, front contre terre et sanglote à se briser
le cœur. Elle n’a jamais autant pleuré depuis le drame du collier.[53] Elle
était innocente alors et l’on attendait son aveu. « Dieu pardonne à celui
qui se repent », lui disait Muhammad[54] d’un
air suppliant. Aujourd’hui, elle porte le poids de sa faute que personne ne
pourra alléger. Elle n’en finit pas de reconnaître son erreur et se laisse
ronger par ce sentiment de culpabilité dont elle ne peut se délivrer. […].
Elle
comprend alors combien elle a été manipulée. On s’est joué de la sincérité de
son indignation devant le crime,[55]
comme de son désir violent de faire triompher la justice d’Allah[56] en
recherchant les coupables. Ceux qui l’ont entraînée, l’ont utilisée pour servir
leurs ambitions personnelles. […].
Elle
écoute ce qui se dit, analyse, mais se jure de ne plus prendre parti pour l’un
ou l’autre, car ce chemin n’est pas celui que Dieu lui a tracé. Pourquoi
l’a-t-il marié si jeune à Son Envoyé, lui donnant ainsi la chance de recevoir
les plus hauts enseignements de cette religion qui doit unir les hommes ?
Pourquoi l’a-t-il dotée d’une intelligence vive et d’une mémoire
infaillible ? À l’heure où les
vieux Compagnons ne sont plus nombreux pour raconter leurs souvenirs, à l’heure
où les jeunes cherchent les valeurs auxquelles se raccrocher, loin des vaines
ambitions nourries par la vanité et la cupidité, n’a-t-elle pas un rôle à
jouer ? Témoigner, défendre cet islam[57] qui l’a pétrie dès le berceau, dont elle a
suivi les premiers balbutiements, supporté les épreuves au temps de
l’Émigration vers Médine, et dont elle a reçu la semence de vérité de la bouche
du Messager[58] qui n’a cessé de l’initier sur la voie de la
perfection. N’est-ce pas là le modeste sentier de son destin ? […].
Après
le temps de l’erreur, elle veut racheter sa faute par une vie exemplaire,
consacrée à des jeûnes, à la prière et à la méditation. L’argent qu’elle
reçoit, sa pension de veuve du prophète[59] et
les dons spontanés, sont immédiatement redistribués aux pauvres. Il lui arrive
souvent de ne rien garder pour elle, pas même un dirham pour un morceau de
viande. Un peu d’eau fraîche et quelques dattes lui suffisent pour calmer les exigences
du corps quand l’esprit se rassasie chaque jour des écrits sacrés de la parole
divine[60] et
de celle de Muhammad[61].
[…].
Depuis
son retour de la Bataille du Chameau, son mode de vie et sa conduite, faits de
modestie et d’humilité, sont irréprochables et forcent le respect. Elle prie,
de jour comme de nuit, jeûne, distribue ses revenus en aumônes, fait le
pèlerinage chaque année, et reçoit dans sa véranda ceux qui éprouvent le besoin
de savoir ou viennent chercher auprès d’elle les certitudes qui forgeront leurs
âmes ».[62]
L’existence
ici-bas de ‘Aa-i-cha qu’Allaah la bénisse, s’est achevée en l’an cinquante six
d’alhijra,[63] à Almadiina.
BOUAZZA
[1] Sallaa Allaah ‘alayh wa sallame, sur lui la
bénédiction et la paix.
[2]
Éditions S W-Télémaque, Paris 2007.
[3] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même
institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa
almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam
les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
[4] Qui
obéit en Islaam à des règles précises qu’il convient de connaître, d’étudier et
d’analyser pour en saisir le sens profond et la portée.
[5]
Almouminoune wa almouminaate.
[6] Les
personnes au fait des événements de cette période se rendront compte de
certaines imprécisions et inexactitudes qu’il n’y a pas lieu cependant, de
relever ici.
Il
faut répéter, encore répéter, toujours répéter, que depuis des lustres, aucun
État Musulman n’existe plus nulle part et les imposteurs le savent
parfaitement.
Les
croyants et les croyantes n’ignorent pas que les ″États″ dits ″musulmans″ sont des régimes avec à leur ″tête″
des hypocrites, des traîtres, des dévoyés qui répandent les mœurs dissolues,
les vices, la puanteur et autres.
[8] Ce
n’est pas la préoccupation des pions placés par l’imposture à la ″tête″
des ″États″ dits ″musulmans″.
[9] Halaal.
[10] Haraame (le ʺrʺ roulé).
[11] Par
l’intermédiaire des Prophètes et des Messagers, sur eux la bénédiction et la
paix.
[12] Le
Message a commencé avec Aadame (Adam), sur lui la bénédiction et la paix.
[13]
Almoslimoune wa almoslimaate.
[14] Ceux
et celles qui sont véridiques.
[15] Les
patients et les patientes.
[16] Ceux
et celles qui sont recueillis.
[17]
Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate
35 et aayate 36 (verset 35 et verset 36).
[18]
Alqoraane (Le Coran) sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″
roulé), La Vache, aayate 187 (verset 187).
[19] Les
signes d’Allaah (aayaate).
[20] Dans
sa traduction du Qoraane, Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid) note
en bas de page que ″dans ce
verset il y a le rappel que la femme est de la propre nature de l’homme
c'est-à-dire qu’elle lui est, de ce point de vue, parfaitement égale et qu’il
n’a aucune raison de se croire supérieur à elle.
Il
y a le rappel que l’homme ne peut retrouver son calme, c'est-à-dire son
équilibre psychique, qu’en vivant avec la femme. C’est un rappel à l’époux
qu’il doit cohabiter avec son épouse.
Enfin
Allaah nous rappelle que la vie conjugale tire sa force des liens de tendresse
et d’amour réciproques qui unissent les deux époux et qui sont parfois
remplacés par des liens de miséricorde quand l’un d’eux est malade, ou trop
vieux, ou frappé de quelque infirmité avilissante″.
[22]
Fille d’Abou Bakr Assidiiq (le ″r″ roulé) qu’Allaah le bénisse, l’un
des premiers compagnons de l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction
et la paix, et premier chef d’État des croyants et des croyantes à la fin de
l’existence ici-bas de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
[23] Il
avait la cinquantaine à la fin de l’existence ici-bas de son épouse Kadiija
(Khadija) qu’Allaah la bénisse.
C’était
une veuve, beaucoup plus âgée que lui, très fortunée et qui l’employait dans la
gestion de ses affaires commerciales.
Il
avait vingt-cinq ans à son mariage avec elle.
Lorsque à quarante ans il a eu la mission de
transmettre Alqoraane (Le Coran) qui est la continuation, la synthèse et la
parachèvement du Message d’Allaah, elle y a cru immédiatement, et a entouré son
époux, le père de ses enfants, comme elle n’a jamais cessé de le faire, de son
amour sans faille, qui lui était d’un soutien de tous les instants.
Khadiija qu’Allaah la bénisse n’a jamais cessé de
lutter avec les croyants et les croyantes et à partager les dures épreuves avec
eux.
Son existence ici-bas s’est achevée peu de temps après
la fin d’un terrible blocus auquel l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix a été soumis avec des croyants et des croyantes, par les
ennemis de l’Islaam.
L’amour
entre Mohammad sur lui la bénédiction et la paix et Khadiija qu’Allaah la
bénisse, est connu.
‘Aa-i-cha
qu’Allaah la bénisse a dit qu’elle était jalouse de cette femme décédée.
S’agissant du Message d’Allaah, il faut rappeler que
les Prophètes et les Messagers sur eux la bénédiction et la paix, ont tous eu
pour mission de transmettre ce qui leur a été révélé par Allaah.
La multiplicité des révélations se rapporte aux
diverses étapes du Message et met en relief son essence qui est l’unicité,
l’Adoration d’Allaah l’Unique.
C’est dire que l’Islaam n’a pas commencé à l’époque où
Mohammad a entamé sa mission de Prophète et de Messager sur lui la bénédiction
et la paix.
Aadame a été le premier Envoyé sur lui la bénédiction
et la paix, et Mohammad l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et
la paix.
Mohammad est un Envoyé sur lui la bénédiction et la
paix, qui a été précédé par d’autres Envoyés sur eux la bénédiction et la paix.
[26] La
Mecque, au Sud de l’Arabie
[27]
Médine, la ville, madiinate Annabiyy (la ville du Prophète sur lui la
bénédiction et la paix).
[29] Du
fossé.
[31]
Hajjate alwadaa’e.
[32] De l’aube.
[33] Omme
almouminiine (appellation des femmes de l’ultime Prophète et Messager sur lui
la bénédiction et la paix).
[34] Sur
lui la bénédiction et la paix.
[35]
Allaah.
[36]
Qu’Allaah la bénisse.
[37] P.
305, 307 et 357.
Alqoraane,
il ne faut pas hésiter à le répéter, est la continuation, la synthèse et le
parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour
mission de le transmettre.
Assonna
a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on
parle de hadith (hadiithe, hadiite, hadite) cela renvoie à ce qui a été
rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur
lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane
n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna
procède d’Alqoraane.
[38] En
l’an X d’alhijra (632 selon le calendrier dit grégorien).
[39] À leur mort, Abou Bakr et ‘Omar qu’Allaah
les bénisse, seront enterrés avec lui dans cette chambre.
[41] Sur
lui la bénédiction et la paix.
[42] Ce
qui a trait à la vie de l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et
la paix.
[43] P.
365.
[44] Qui
ont fini, avec le temps, par mettre fin à l’État des croyants et des croyantes
qui, depuis des lustres, n’existe plus nulle part.
[45] La
bataille du chameau (ma’rakate aljamal).
[46]
Qu’Allaah le bénisse.
Cousin,
gendre du Messager sur lui la bénédiction et la paix, et quatrième chef d’État
des croyants et des croyantes, après Abou Bakr, ‘Omar et ‘Othmaane qu’Allaah
les bénisse (ce sont les quatre chefs d’État dits bien guidés, raachidiine).
[47] Elle
croyait combattre pour l’application de la justice en ce qui concerne
l’assassinat du troisième chef d’État, ‘Othmaane qu’Allaah le bénisse.
[48]
Qu’Allaah la bénisse.
[49]
Qu’Allaah le bénisse.
[50]
Alkhaliifa, le successeur.
[51]
Qu’Allaah le bénisse.
[52] Sur
lui la bénédiction et la paix.
[53]
Lorsqu’elle a été accusée d’adultère.
[54] Sur
lui la bénédiction et la paix.
[55]
L’assassinat du chef de l’État des croyants et des croyantes, ‘Othmaane
qu’Allaah le bénisse.
[56]
Allaah.
[57]
Islaam.
[58] Sur
lui la bénédiction et la paix.
[59] Sur
lui la bénédiction et la paix.
[60] La
parole d’Allaah.
[61] Sur
lui la bénédiction et la paix.
[62] P.
387, 388, 389, 391, 392 et 394.
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