Abou
Sa’iid Alkhodriyy[1] qu’Allaah le bénisse, a
entendu le Messager d’Allaah[2] sur
lui la bénédiction et la paix dire :
« Quiconque
voit ce qui est blâmable qu’il le redresse avec sa main,[3] s’il
ne peut pas, avec sa langue,[4] s’il
ne peut pas, avec son cœur[5] et
c’est le minimum de la foi[6] ».[7]
[2] Mohammad, l’ultime
Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[3] En intervenant pour
prendre des mesures qui s’imposent.
Allaah demande aux croyants et aux croyantes
(almouminoune wa almouminaate) de commander le convenable, alma’rouf, et de
proscrire le blâmable, almonekar (les ″r″ roulés).
[4] Par la parole.
[5] En
cas d’impossibilité de combattre avec la main ou avec la parole les méfaits, ce
qui est répréhensible, ce qui est blâmable, alors il faut au moins les
condamner avec son cœur, en son for intérieur.
[6] Ad’af aliimaane.
Mane ra-aa mikome monekarane falyoghayyirho biyadih
fa-ine lame yastati’e fabilisaanih fa-ine lame yastati’e fabiqalbih wa dhaalika
ad’afo aliimaane (le ″r″ roulé).
[7] Hadiite (hadiith, hadite,
hadith) rapporté par Moslime.
Lorsqu’on
parle de hadiite, cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite
de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
J’ai
déjà cité ce hadiite.
Voir :
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