mardi 28 octobre 2014

ART, ART, ART


Les « maîtres » lancent des mots, et les esclaves s’essoufflent à vouloir s’en servir, sans rien connaître.
Le mot « art » en est une illustration.
Un fourre tout que des personnes dominées par d’autres, tentent de s’approprier, sans rien y comprendre, « pour se donner un air » !
Ce mot, présenté comme « grande découverte », dégouline de partout.
Il permet aux imposteurs de poursuivre des déversements sur le fameux « apport civilisationnel » et le non moins fameux « engagement pour le bien de l’humanité » !
« Ça » vous rappelle quelque chose, « les grandes découvertes » ?
Des territoires occupés, des populations massacrées, des richesses pillés par des États « civilisés ».
Des peuples exterminés, des terres accaparées, des productions volées par des États « civilisés ».
Des musées remplis de ce qui a été usurpé aux « indigènes », aux « barbares » sous couvert de mots comme « archéologie », « recherche » et autres, des tombes dévalisées par des États « civilisés ».
Le système colonialo-impérialo-sioniste, ne ménage aucun moyen pour continuer à alimenter et à entretenir la supercherie des « grandes découvertes », en y mettant « l’art » en exergue !
L’invraisemblable est soutenu.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Et les esclaves de répéter : art, art, art.
Et d’applaudir « l’avancée prodigieuse de l’humanité » à travers le « plug anal »[1] par exemple, exposé en France, par un « artiste » des USA.[2]

BOUAZZA




[1] Ou ʺsextoyʺ (sexe et jouet en anglais), accessoire de préparation à la sodomie.
Un objet pour faciliter la pénétration anale, avec une large base afin d’éviter le risque d’aspiration par l’anus.
Pratiques connues dans les milieux de la pédérastie et de l’homosexualité, que l’Islaam dénonce, rejette, condamne, et combat.
L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[2] United States of America, États Unis d’Amérique.
Le 16 octobre 2014 (selon le calendrier dit grégorien) un ʺplug analʺ, un phallus gonflable de 24 mètres de haut (intitulé ʺtreeʺ, arbre en anglais), oeuvre de ʺl’artisteʺ américain McCarthy, a été érigé à la place Vendôme à Paris, pour l’ouverture de la foire internationale d’art contemporain (fiac).
Une semaine plus tard, ce phallus a été attaqué et dégonflé.
ʺL’artisteʺ, grassement payé, est satisfait par l’ambiance et le tapage médiatique alimentant et entretenant sa renommée.
Je reprends une partie de ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :

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