Les
« maîtres » lancent des mots, et les esclaves s’essoufflent à vouloir s’en
servir, sans rien connaître.
Le
mot « art » en est une illustration.
Un
fourre tout que des personnes dominées par d’autres, tentent de s’approprier,
sans rien y comprendre, « pour se donner un air » !
Ce
mot, présenté comme « grande découverte », dégouline de partout.
Il permet aux imposteurs de poursuivre des déversements sur le fameux
« apport civilisationnel » et le non moins fameux « engagement
pour le bien de l’humanité » !
« Ça »
vous rappelle quelque chose, « les grandes découvertes » ?
Des
territoires occupés, des populations massacrées, des richesses pillés par des
États « civilisés ».
Des
peuples exterminés, des terres accaparées, des productions volées par des États
« civilisés ».
Des
musées remplis de ce qui a été usurpé aux « indigènes », aux « barbares »
sous couvert de mots comme « archéologie », « recherche »
et autres, des tombes dévalisées par des États « civilisés ».
Le
système colonialo-impérialo-sioniste, ne ménage aucun moyen pour continuer à
alimenter et à entretenir la supercherie des « grandes découvertes »,
en y mettant « l’art » en exergue !
L’invraisemblable
est soutenu.
Les
manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les
mensonges les plus éhontés sont servis.
Et
les esclaves de répéter : art, art, art.
Et d’applaudir
« l’avancée prodigieuse de l’humanité » à travers le « plug anal »[1] par
exemple, exposé en France, par un « artiste » des USA.[2]
BOUAZZA
[1]
Ou ʺsextoyʺ (sexe et jouet en anglais), accessoire de préparation à la sodomie.
Un objet pour faciliter la pénétration anale, avec une
large base afin d’éviter le risque d’aspiration par l’anus.
Pratiques
connues dans les milieux de la pédérastie et de l’homosexualité, que l’Islaam dénonce,
rejette, condamne, et combat.
L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même
institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa
almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
[2] United States of America, États
Unis d’Amérique.
Le
16 octobre 2014 (selon le calendrier dit grégorien) un ʺplug analʺ, un phallus
gonflable de 24 mètres de haut (intitulé ʺtreeʺ, arbre en anglais), oeuvre de
ʺl’artisteʺ américain McCarthy, a été érigé à la place Vendôme à Paris, pour
l’ouverture de la foire internationale d’art contemporain (fiac).
Une
semaine plus tard, ce phallus a été attaqué et dégonflé.
ʺL’artisteʺ,
grassement payé, est satisfait par l’ambiance et le tapage médiatique
alimentant et entretenant sa renommée.
Je reprends une partie de ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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