vendredi 31 octobre 2014

IL A ENCORE PERDU UNE OCCASION DE FERMER SA GUEULE

 L’occupation sioniste de Filistiine[1] a été officialisée par le système colonialo-impérialo-sioniste en 1948.[2]
Lors de l’agression de 1967, les sionistes se sont emparés d’Alqods[3] et d’autres territoires.
Les pires méthodes de l’occupation sioniste ont toujours été appliquées contre les populations, et continuent de l’être.
Et voilà que Mahmoud Abbas, dit « président palestinien »[4] trouve que le comportement actuel des sionistes à Alqods, est « une déclaration de guerre » !
Il vaut mieux être « sourd », que de continuer à entendre des insanités pareilles.
  

BOUAZZA




[1] De la Palestine.
[2] Selon le calendrier dit grégorien.
[3] Jérusalem.
[4] Cantonné dans une réserve pour palestiniens dite ʺcisjordanieʺ, il est autorisé à jouer au ʺprésidentʺ de je ne sais quoi, et jouit de subsides provenant des pillages pratiqués par le système colonialo-impérialo-sioniste, et ses satellites, parmi lesquels les ʺÉtatsʺ dits ʺarabo-musulmansʺ.
Dans une autre réserve dite ʺGazaʺ, que le système colonialo-impérialo-sioniste ne cesse de détruire en massacrant les populations parquées qui y survivent, en attendant peut-être que quelqu’un ʺémergeʺ pour jouer au ʺprésidentʺ de je ne sais quoi, et jouir des mêmes subsides.
Voir :

« MÈRE MODERNE »

Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé et dont je parlerai encore et encore, ine chaa-e Allaah,[1] afin de souligner la nécessité de continuer à mettre les « i » sous les points.[2]
S’agissant de certaines données, il est bon en effet de les rappeler, encore les rappeler, toujours les rappeler.
« La notion de famille […] est une réalité sociale aux multiples visages et significations. Et même si elle demeure - dans son acceptation large – une vertèbre centrale dans toute société humaine, l’étude des règles et des pratiques sociales qui entourent sa constitution, qui définissent sa fonction et les liens que les membres qui la composent peuvent entretenir entre eux, révèlent une grande diversité dans ce domaine. Les connaître et comprendre leurs logiques et leurs implications nous incite à plus de relativisme et à moins d’ethnocentrisme dans la rencontre avec l’autre ».[3]
En France par exemple,[4] le modèle familial dit « dominant », est celui de la famille dite « nucléaire ».
Ce modèle, en majorité, est basé sur le couple qui, lorsqu’il a des enfants, estime que seuls les parents ont la légitimité pour décider de ce qui concerne leur progéniture, qui est leur propriété.
Et aujourd’hui, au sein de ce couple, il arrive souvent que la mère s’arroge le rôle de « je ne sais quoi », pour s’attribuer l’apanage des décisions en sa qualité « de femme libérée ».
Dans cet affrontement qu’elle impose, elle ne permet pas que le père de l’enfant soit associé au « pouvoir » dont elle s’accapare et dont elle revendique l’exclusivité.
Il est ainsi de règle qu’une femme de ce genre, ne soit d’accord sur pratiquement rien avec son con-joint.[5]
Pour ne pas être taxée de « soumise », insupportable « insulte », elle saute sur chaque occasion pour manifester son désaccord avec la position du con-joint : lorsqu’il fait froid et que le con-joint le constate, elle soutient qu’il fait chaud.
Et pour souligner l’importance de « la libération de la femme », elle n’arrête pas de cultiver le bavardage, de s’agiter pour attirer l’attention, de profiter des autres, de renforcer les gesticulations pour paraître débordée, de multiplier les tricheries, d’éviter les personnes qu’elle n’arrive pas à tromper, de s’éloigner de celles qui ne sont pas dupes, de trahir la confiance, de préférer « l’activité » dite « professionnelle » à la vie de famille, et les « collègues » au con-joint, et de recourir à l’hystérie.
J’en passe et des pires.
C’est un comportement lamentable, qui se veut « d’avant-garde » ![6]
Pour des raisons qu’elle se garde d’étayer, cette femme consent cependant à enfanter, mais cela ne veut pas dire qu’elle accepte d’être « enfermée dans le carcan maternel ».
Elle continue de trouver catastrophique d’être enceinte pendant plusieurs mois, d’être obligée de souffrir pour accoucher et d’être la seule à souffrir, alors que le con-joint échappe  à cette souffrance ![7]
Pour toutes ces raisons, et pour d’autres encore,[8] il est plus qu’important, selon les canons de sa loi, que les taches dont s’occupent encore des femmes « non libérées » pour élever les enfants, soient laissées au con-joint et à d’autres, afin de ne pas porter atteinte aux acquis de « la libération de la femme » !
Et il va de soi évidemment, que personne en dehors d’elle, ne peut savoir ce qui est dans l’intérêt de SON enfant.[9]
Et il ne faut surtout pas dire que le père, des membres de la famille ou d’autres, qui s’occupent de l’enfant, sont peut-être bien placés pour savoir ce qui est dans son intérêt.
Elle est pour les décisions prises à « l’unanimité », c’est à dire par elle, qui est « l’unanimité » !
Lorsque cette « mère moderne » est issue du processus migratoire, principalement des colonies d’Afrique du Nord, encore plus lamentable.
Elle prend les travers de la société dite d’accueil, et en accentue les tares dont elle s’empare en les affichant comme des « valeurs » de son intégration et de son assimilation.[10]
  

BOUAZZA




[1] Si Allaah veut.
[2] Comme l’écrivait le défunt Driss Chraïbi (Driis Chchraaïbii, le ʺrʺ roulé).
[3] Mohamed Taleb (Mohammad Taalib), Famille et parenté : quelques repères anthropologiques, dossier Être parent, Le Furet, n°19, avril 1996, p.15.
[4] Et dans d’autres contrées.
[5] Conjoint.
[6] ʺAvant-gardeʺ de quoi ?
[7] Il ne faut surtout pas lui parler de cuisine ou de tâches ménagères.
[8] Qu’elle est seule à connaître et qu’elle ne dévoile pas, afin de continuer à tromper.
C’est une emmerdeuse qui gagne à ne pas être connue.
[9] Dont elle ne s’occupe pratiquement pas, se presse, devant les autres, de répéter des inepties censées traduire, selon elle, les élans d’une mère aimante″.
Elle accueille la fin du week-end avec entrain, car elle est contente de retrouver les collègues du boulot et de fuir les contraintes familiales.
Les speciwomende ce calibre ne manquent pas (les specimen non plus).

jeudi 30 octobre 2014

« C’EST BIZARRE »

Des personnes ne cessent de claironner qu’elles descendent du singe,[1] et se veulent des descendants de macaque et de guenon.
Mais lorsqu’elles sont comparées à des singes, elles s’en offusquent, considèrent que c’est une insulte, une calomnie, une diffamation, une agression grave qui doit être réparée.
« C’est bizarre ».[2]
  
BOUAZZA

DÉPOTOIRS MULTIPLES ET VARIÉS


Les colonies et autres contrées dites du « tiers-monde », restent pour les métropoles des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres « loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variées.
Bien sûr, elles bénéficient de ce qui a été appelé « l’indépendance dans l’interdépendance », « l’indépendance nationale », « la révolution populaire » ou autres, statut qui s’est traduit par la multiplication des « États » supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces « États », fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain, s’acquittent des tâches qui leur sont assignées par les employeurs qui s’en débarrassent lorsqu’ils ne servent plus.
Pour les remplacer, les employeurs n’ont que l’embarras du choix : les employés ne manquent pas, tous plus serviles les uns que les autres.
Ces « États » ont des « chefs d’État », des « Gouvernements », des « Parlements » et même des « Constitutions » et des « élections démocratiques ».
Dans des contrées dites « États arabo-musulmans » par exemple, où les régimes en place sont abominables, des mises en scène exposent des « Constitutions » qui prévoient « l’élection du chef de l’État au suffrage universel »[1] et lui interdisent de faire plus de deux mandats.
C’est mis au vote, et le « peuple approuve démocratiquement ».
Lorsque l’employé continue de donner satisfaction à l’employeur, la mise en scène se transforme pour qu’à la fin du premier mandat, il fasse un deuxième et même engage « la révision de la Constitution » pour faire un troisième.
C’est mis au vote et le « peuple approuve démocratiquement ».
Et quand il donne toujours satisfaction, une autre « révision » lui permet de faire un quatrième mandat et encore une « révision » pour un cinquième puis la présidence à vie.
C’est mis au vote et le « peuple approuve démocratiquement ».
Et l’employeur peut aller jusqu’à la possibilité de passer la succession au fils.
C’est mis au vote et le « peuple approuve démocratiquement ».[2]
Si le titre de « roi » est décerné à l’employé ─ comme c’est le cas dans les parcours d’usurpateurs dits « sultans », « émirs », « chefs tribaux » et autres ─ il est bien sûr dispensé de « se faire élire » et son fils[3] lui succède si les patrons le décident.
Ce n’est pas mis au vote, mais le « peuple applaudit démocratiquement ».
Les employés, généralement sanguinaires, tyranniques, débauchés, corrompus, pourris, plongés dans les ténèbres, répètent ce que les patrons leur dictent sur « l’organisation des différents groupes de la population, sur l’État, sur la Constitution et autres » en se référant à l’Islaam dont ils prétendent représenter ─ et c’est garanti par leurs employeurs ─ l’esprit de « modération », de « tolérance », de « coopération » et de « progrès».
Pour « diversifier » la pression, les médias des dominants sont chargés de dénoncer les employés des pays dominés, au nom de la « liberté d’expression », des « droits de l’homme » et autres « principes démocratiques » défendus par les dominants.
Ils sont même autorisés, un peu partout, à critiquer les employeurs, pour embrouiller les cartes, ou comme disent les « bien-pensants », pour « informer et former l’opinion publique ».
Les employés sont manipulés à l’échelle internationale, afin de servir les intérêts du système colonialo-impérialo-sioniste qui mobilise d’énormes moyens dans le but de rendre confus ce qui est clair et complexe ce qui est simple.
Et après ?
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, n’élimineront jamais la résistance des croyants et des croyantes.[4]
Dans la mission[5] qu’Allaah a confiée à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, les croyants et les croyantes disposent de précieux enseignements sur la manière dont cet Envoyé sur lui la bénédiction et la paix, s’est occupé de l’organisation des différents groupes de la population.
Après alhijra[6] de Macca[7] à Yatrib,[8] des points importants ont été consignés dans un document, considéré par Mohammad Hamiid Allaah comme étant « la première constitution écrite d’un État dans le monde, promulguée par le souverain et présentant toutes les exigences de la vie politique : indépendance à l’égard du reste du monde, tolérance religieuse à l’égard des différents groupes de la population, organisation de la justice, assurance sociale (ma’âqil), défense, relations étrangères, législation etc...
Les sujets non-musulmans jouissaient de l’autonomie non seulement pour leur religion et leur statut personnel, mais également dans le domaine de la justice, de la loi et de la naturalisation etc... »[9]
Depuis les parents de l’humanité, Aadame[10] sur lui la bénédiction et la paix et Hawwa-e[11] qu’Allaah la bénisse, c’est l’Islaam[12] qui fait la grandeur des musulmans[13] et des musulmanes,[14] et non l’inverse.[15]

BOUAZZA



[1] Il est élu par ses patrons, mais doit faire semblant d’être candidat afin que le peuple vote et que le peuple approuve démocratiquement.
[2] Le peuple peut dénoncer démocratiquement les fraudes.
Les dominants ont mis en place pour lui des voies de recours démocratiques pour lui permettre de combattre les fraudeurs et de faire triompher la démocratie.
[3] Parce qu’il a toujours un fils.
Il y a toujours une femme généreuse pour lui en donner un.
[4] Almouminoune wa almouminaate.
[5] Transmettre Alqoraane (Le Coran) qui est la synthèse, la continuation et le parachèvement du Message d’Allaah.
[6] Le r roulé, hégire, exil (en 622 selon le calendrier dit grégorien).
[7] La Mecque.
[8] Le r roulé, Almadina, Médine.
[9] Muhammad Hamidullah, Problèmes constitutionnels aux premiers temps de l’Islam, Paris, Dar Alazhar, 1988, P. 41-42.
[10] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[11] Ève, qu’Allaah la bénisse.
[12] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[13] Moslimoune.
[14] Moslimaate.

mercredi 29 octobre 2014

« KÉBAB »


En toutes saisons, chaque fois que nous le pouvons, nous nous rendons, mon épouse et moi, au « jardin des plantes ».[1]
Parmi des petits écriteaux avec des « noms savants », semés ça et là, les multiples végétaux semblent apprécier notre émerveillement, et paraissent participer pour nous aider à mieux observer les Signes,[2] et rendre ce moment étincelant.
Au milieu de la multitude où raisonnent les voix d’enfants, le claquement d’ailes de pigeons et le croassement de corbeaux, nous sommes reconnaissants pour ces bienfaits.
Dernièrement, accolé à une allée de platanes, un manège occasionnel, avec des animaux dits sauvages, nous a décidés à envisager d’emmener, ine chaa-e Allaah,[3] nos petits-fils qui apprécient le manège.[4]
Souvent, après « le jardin des plantes », en longeant la rue des écoles, nos pas nous entraînent à la librairie « Gibert Jeune », où nous passons un bon moment à feuilleter des livres, même si nous n’en achetons pratiquement plus.
Ensuite, nous remontons le boulevard, du côté gauche, pour atteindre la boutique « Troifoirien », presque en face du « Jardin du Luxembourg », jardin où nous avons emmené nos petits-fils, afin qu’ils s’amusent en s’initiant aux jeux de voiliers entraînés par le vent, dans un beau bassin.
La joie de nos petits-fils nous réjouit et nous ravit.
Le passage à « troifoirien » se conclut généralement par l’acquisition de chocolats destinés à accompagner le café que mon épouse prend sans sucre.
Le soir, notre marche nous conduit parfois en « Turquie », un espace pour une restauration simple, à la saveur « exotique » :
« Kébab »[5] : sandwich avec grillade de viande halaal,[6] salade, tomate, oignon, sauce « andalouse », « samouraï » ou autres, frites,[7] et boissons non alcoolisées.
Maintenant,[8] je dis de ce mets qu’il satisfait « les papilles » et « les mamilles » ![9]
Le retour au bercail se fait en métro, en grande partie sur la ligne 13.
Ce moyen de transport de masse, très utile certes, gagne à ne pas être connu ![10]
  
BOUAZZA



[1] Dans le cinquième arrondissement de Paris.
[2] Aayaate.
[3] Si Allaah veut.
[4] Nous nous sommes déjà rendus dans ce jardin avec un de nos petits-fils, alors âgé d’un peu plus d’un an.
[5] Restauration dite d’origine turque, lancée en Allemagne par des turcs issus du processus migratoire, et répandue en France avec la participation de personnes originaires d’Afrique du Nord, issues du même processus.
[6] Licite, c’est à dire pour les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate), préparée en tenant compte des enseignements de l’Islaam.
L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[7] Des assiettes plus garnies sont proposées.
[8] Avant de commencer à fréquenter des espaces de cette nature, je déconseillais à nos fils, alors adolescents, de  les fréquenter en raison de l’absence de garanties dans le domaine de l’hygiène.
[9] Les papys et les mamies, dont nous faisons partie, mon épouse et moi.
[10] Nous sommes obligés de supporter le métro, mais la ligne 13, que j’ai fréquentée des années durant et que je fréquente encore, demande une endurance particulière !
Voir :

mardi 28 octobre 2014

ART, ART, ART


Les « maîtres » lancent des mots, et les esclaves s’essoufflent à vouloir s’en servir, sans rien connaître.
Le mot « art » en est une illustration.
Un fourre tout que des personnes dominées par d’autres, tentent de s’approprier, sans rien y comprendre, « pour se donner un air » !
Ce mot, présenté comme « grande découverte », dégouline de partout.
Il permet aux imposteurs de poursuivre des déversements sur le fameux « apport civilisationnel » et le non moins fameux « engagement pour le bien de l’humanité » !
« Ça » vous rappelle quelque chose, « les grandes découvertes » ?
Des territoires occupés, des populations massacrées, des richesses pillés par des États « civilisés ».
Des peuples exterminés, des terres accaparées, des productions volées par des États « civilisés ».
Des musées remplis de ce qui a été usurpé aux « indigènes », aux « barbares » sous couvert de mots comme « archéologie », « recherche » et autres, des tombes dévalisées par des États « civilisés ».
Le système colonialo-impérialo-sioniste, ne ménage aucun moyen pour continuer à alimenter et à entretenir la supercherie des « grandes découvertes », en y mettant « l’art » en exergue !
L’invraisemblable est soutenu.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Et les esclaves de répéter : art, art, art.
Et d’applaudir « l’avancée prodigieuse de l’humanité » à travers le « plug anal »[1] par exemple, exposé en France, par un « artiste » des USA.[2]

BOUAZZA




[1] Ou ʺsextoyʺ (sexe et jouet en anglais), accessoire de préparation à la sodomie.
Un objet pour faciliter la pénétration anale, avec une large base afin d’éviter le risque d’aspiration par l’anus.
Pratiques connues dans les milieux de la pédérastie et de l’homosexualité, que l’Islaam dénonce, rejette, condamne, et combat.
L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[2] United States of America, États Unis d’Amérique.
Le 16 octobre 2014 (selon le calendrier dit grégorien) un ʺplug analʺ, un phallus gonflable de 24 mètres de haut (intitulé ʺtreeʺ, arbre en anglais), oeuvre de ʺl’artisteʺ américain McCarthy, a été érigé à la place Vendôme à Paris, pour l’ouverture de la foire internationale d’art contemporain (fiac).
Une semaine plus tard, ce phallus a été attaqué et dégonflé.
ʺL’artisteʺ, grassement payé, est satisfait par l’ambiance et le tapage médiatique alimentant et entretenant sa renommée.
Je reprends une partie de ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :

lundi 27 octobre 2014

L’ENDURANCE


Alqoraane[1] et Assonna[2] traitent de l’endurance,[3] et montrent les bienfaits de cette vertu.
Face aux épreuves, les croyants et les croyantes sont appelés à faire preuve d’endurance.
L’endurance n’a rien à voir avec le « fatalisme »,[4] terme dont se gargarisent les ennemis de l’Islaam, pour qualifier l’attitude des croyants et des croyantes face aux épreuves.
L’endurance consiste à faire face aux épreuves avec piété.
Les Prophètes et les Messagers[5] sur eux la bénédiction et la paix, ont eu à faire face aux épreuves.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a résisté aux persécutions.
Les ennemis de l’Islaam,[6] avec Abou Jahl[7] à leur tête, ont décidé de bannir  le Prophète sur lui la bénédiction et la paix, son épouse Khadiija qu’Allaah la bénisse, et d’autres croyants et croyantes.
Les épreuves ont été dures et les souffrances nombreuses.
Peu de temps après la fin du terrible blocus auquel il a été soumis avec des croyants et des croyantes, s’est achevée l’existence ici-bas de Khadiija qu’Allaah la bénisse, l’épouse qui le couvrait de son amour sans faille, qui lui était d’un soutien de tous les instants, qui n’a jamais cessé de lutter à ses côtés et qui a partagé les dures épreuves avec lui.
Surmontant sa peine et sa douleur, Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, s’est rendu à Attaaif[8], à l’Est de Makka,[9] pour continuer à rappeler le fondement du Message d’Allaah,[10] l’Unicité[11] qui consiste à Adorer Allaah et à ne rien Lui associer.[12]
Il a eu à subir de nouveau la violence des ennemis de l’Islaam.
Blessé et saignant, il s’est réfugié dans un verger pour échapper au lynchage et s’est adressé à Allaah, dans cette émouvante invocation :
« Ô Allaah, à Toi je me plains de ma faiblesse, de mon peu d’astuce[13]et de ma dure condition auprès des gens.[14]
Ô le plus Miséricordieux des Miséricordieux, à qui me laisses-tu ? À un ennemi qui m’attaque ? Ou à quelqu’un[15] à qui Tu auras donné un pouvoir sur moi ?
Si Tu n’es pas en colère contre moi, je ne me fais pas de souci.
Ta Clémence Généreuse est Grande pour moi.[16]
Je me réfugie dans la Lumière de Ta Glorieuse Face[17]qui a illuminé les cieux et la terre, qui a éclairé les ténèbres et par laquelle sont ajustées les choses d’ici-bas et de l’au-delà, afin que Tu ne sois pas fâché contre moi ou que Tu ne descendes pas sur moi Ta Colère.
Il T’appartient de blâmer tant que Tu n’es pas satisfait.
Il n’y a de puissance ni de force qu’en Toi ».[18]
Et Allaah, dans Son infinie miséricorde, l’a élevé jusqu’à Lui,[19] pour le soutenir encore plus fort dans la mission qui lui a été confiée, pour toute l’humanité,[20] par le Seigneur des Univers.[21]
  

BOUAZZA



Allaah.
[1] Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah, qui a confié à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix,  la mission de le transmettre.
[2] Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith) cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane (Le Coran) n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
[3] Assabr, l’endurance, sabr, endurance (les ʺrʺ roulés).
La patience.
[4] La résignation, la renonciation, la démission, ou autres pour souligner une attitude négative.
[5] Depuis Aadame (Adam) jusqu’à Mohammad, sur eux la bénédiction et la paix.
[6] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[7] Le père de l’ignorance.
Un tortionnaire des croyants et des croyantes.
Il s’attaquait aussi au Messager, bénédiction et paix sur lui, qu’il injuriait et qu’il avait même blessé en le frappant.
Cet ennemi d’Allaah qui rêvait d’en finir avec la résistance des croyants et des croyantes, a été tué lors de la glorieuse bataille de Badr (le ʺrʺ roulé).
[8] Attaa-i-f.
[9] La Mecque.
[10] Le même fondement depuis Aadame (Adam), bénédiction et paix sur lui.
[11] Attawhiid.
[12] Les attributs divins que s’arrogent des individus, ou qui leur sont reconnus, se traduisent par l’associationnisme, achchirk(le r roulé).
L’associationnisme porte atteinte au fondement du Message d’Allaah.
Allaah ne pardonne pas qu’on Lui associe quoi que ce soit et pardonne le reste à qui Il veut.
Alqoraane (Le Coran), sourate 4 (chapitre 4), Anniçaa-e, Les Femmes, aayate 48 (verset 48).
Quiconque associe quoi que ce soit à Allaah, c’est comme s’il tombait du ciel et que les oiseaux le happaient ou que le vent le précipitait dans un abîme sans fond.
Alqoraane (Le Coran), sourate 22 (chapitre 22), Alhajj, Le Pèlerinage, aayate 31 (verset 31).
[13] Quillate hiilatii.
[14] Hawaanii ‘alaa annaas.
[15] Quariib (le ʺrʺ roulé).
[16] ‘Aafiyatak awsa’a lii.
[17] Nouri Wajhika Alkariime ((les ʺrʺ roulés).
[18] Hadiite (hadite, hadiith, hadith) rapporté par Attabaraanii (le ʺrʺ roulé), d’après ‘Abd Allaah Ibn Ja’far (le ʺrʺ roulé) qu’Allaah les bénisse.
Lorsqu’on parle de hadiite, cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[19] Un an avant alhijra (l’hégire, l’exil de Makka à Yatribe), lors du voyage nocturne et de l’ascension (alisraa-e wa almi’raaj).
[20] Je ne traite que de l’humanité dans ce texte.