J’en
ai déjà parlé, plus d’une fois.
J’en
parlerai encore et encore, ine chaa-e Allaah :[1]
Il
m’arrive de faire semblant d’être « naïf », en espérant que des
hommes et des femmes finiraient par essayer de réfléchir, afin de saisir qu’il
faut essayer de s’améliorer.
Ma
« naïveté » cependant est souvent interprétée comme de
« l’ignorance », par les personnes préoccupées d’abord par leur ego.[2]
Afin
de préserver ce qui doit l’être, lorsque je n’arrive pas à faire autrement, je
mets de la distance, je recours à la technique de tourner le dos, je m’éloigne,
je fuis.[3]
BOUAZZA
[1] Si Allaah veut.
[2]
Aujourd’hui, à soixante cinq ans passés, je peux dire que dans beaucoup de cas,
je n’ai pas su me faire comprendre et que je ne peux pas être compris par des
personnes qui considèrent que je n’ai rien à leur dire, ou qui accordent peu
d’intérêt à ce que je dis.
[3] C’est
un comportement qui ne s’applique pas seulement à des membres de ma famille
décomposée, mais qui s’étend à d’autres, dans divers domaines, lorsque je
considère que je ne peux pas faire autrement.
Les
manières de fuir sont innombrables.
Voir :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire