Pour
con-tinuer à faire croire aux zélés[1] cteurs
et aux zélées ctrices[2] que
c’est eux qui choisissent leurs zélus[3] à
« la tête de l’État », la finance internationale autorise ces
derniers, durant la conne panne[4]
électorale, et même en dehors, à attribuer tous les mots[5] à
« l’argent ».
C’est
ainsi qu’en France [6]par
exemple, le con dit da[7] de
gauche, installé au Palais de l’Élysée[8] en mai
2012,[9] a essayé de « faire jouir » les « sans dents »[10] en se
lâchant contre la finance internationale, ou que même des prétendants aux USA,[11] à la
tête de fortunes inouïes et qui ne pensent qu’au fric,[12] en font
de même.
Que
sont alors la finance internationale, les zélés cteurs, les zélées ctrices, les
zélus ?[13]
BOUAZZA
[1]
Aux élécteurs.
[2]
Aux éléctrices.
[3]
Leurs élus.
[4]
La campagne électorale
[5]
De tous les maux.
[6]
Élément ʺen bonne placeʺ dans le système colonialo-impérialo-sioniste.
[7]
Le candidat.
[8]
François Hollande, en remplacement de son alter ego de droite, Nicolas Sarkozy.
[9]
Selon le calendrier dit grégorien.
[10] C’est
ainsi qu’il appelle la popu lasse (la populace), d’après sa concubine répudiée
par un coup de fil à l’AFP (ne surtout pas con-fondre avec AFB).
[11] United
States of America, les États unis d’Amérique, construits par des européens sur
le génocide des Indiens, sur l’esclavage, sur le terrorisme, sur l’utilisation
des bombes atomiques et sur d’innombrables autres massacres et destructions qui
continuent partout.
[12]
Du fric, encore du fric, toujours du fric.
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