vendredi 3 juillet 2015

LA GRÈCE EN TIC

En ces temps de « can[1] et cul »,[2] beaucoup aimeraient « aller se faire voir[3] chez les Grecs », histoire de se sentir mieux, « paraît-il » ![4]
La Grèce en tic[5] j’entends.
Pas celle de Socrate, Platon, Aristote où autres, brandis de « ci »-de-« là », pour cacher que la Grèce Antique, « berceau de la civilisation occidentale », était esclavagiste.
Aujourd’hui, la Grèce en tic, nourrit la mascarade dite de « l’État en lutte pour « l’indépendance et la souveraineté » ![6]
« On » brandit les zélés cteurs[7] et les zélées ctrices.[8]
La dé-mo-cra-tie.
Les Grecs s’y connaissent, « dit-on ».[9]
Ré-fé-ren-dum dimanche :
Ils votent « non » : C’est la diarrhée.[10]
Ils votent « oui » : C’est la chiasse.[11]
Les zélus[12] c’est l’une et l’autre.[13]


BOUAZZA



[1] Chien.
[2] Canicule.
[3] Le désir de paraître, de se faire voir, se répand partout.
Vouloir cela en Grèce ou ailleurs, est ʺtendanceʺ comme dirait l’autre, que je ne connais pas mais dont j’ai entendu parler.
[4] Une forme de ʺtourismeʺ qui ʺfait du bien, là où ça fait malʺ.
[5] Tic :ʺPéché mignonʺ, ʺdémangeaisonʺ.
[6] D’autres en Europe et ailleurs, alimentent et entretiennent cette fiction, en se soumettant au système colonialo-impérialo-sioniste.
[7] Les électeurs.
[8] Les électrices.
[9] Le système colonialo-impérialo-sioniste aussi.
[10] La gauche.
[11] La droite.
[12] Les élus.

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