« Les
ducs à tiffes »[1] pour
Larbii[2] c’est
l’arrogance et le mépris incarnés par des êtres qui ont tout fait pour
l’empêcher de se remémorer.
Des
êtres dont la technique fait partie d’un ensemble et qui, par un habillage
trompeur, cherchent,[3] à
détruire ce qui remet en cause « les ducs à tiffes » au service de
l’imposture.[4]
Des
êtres[5] qui
prétendent que leur « travail » consiste à
« responsabiliser » les jeunes, pendant que beaucoup, sur les lieux
de leur « travail », s’échangent des pétards,[6] se
tripotent dans des recoins, se livrent à des explorations anatomiques, puis
réclament « plus de moyens pour mieux accomplir leur mission » !
Larbii,
ne parle plus de cette période.
Flots
de pensées.
Averses
d’images.
Afflux
de sensations.
Il
poursuit sa marche qui le conduit, de temps à autre, à déguster un
« Kébab »[7] : sandwich avec
grillade de viande halaal,[8]
salade, tomate, oignon, sauce « andalouse », frites,[9]
boisson non alcoolisée.[10]
BOUAZZA
[1] L’éducatif.
[2] Larbi, Al’arabii, l’Arabe
(le ʺrʺ roulé).
[3] En refusant toute
critique.
[4] Alimentée et entretenue
par des manipulateurs professionnels.
[5] Qui participent à travestir les faits.
[6] Des
joints au cannabis ou autre.
[7]
Restauration dite d’origine turque, lancée en Allemagne par des turcs issus du
processus migratoire, et répandue en France avec la participation de personnes
originaires d’Afrique du Nord, issues du même processus.
[8]
Halal, licite.
[9] Des assiettes plus garnies
sont proposées.
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