Certains
prénoms se référant aux Plus Beaux Noms d’Allaah,[1] sont
précédés du terme « ‘abd » qui signifie serviteur.
Ainsi,
le prénom ‘Abd Alkariime[2] par
exemple, qui veut dire serviteur du Généreux devient, en France,
« abdel »[3]dans
l’usage de tous les jours, en raison de la manie des « raccourcis » et
aussi, parce que la connaissance du sens de ces prénoms est limitée.
Les
personnes qui portent ces prénoms sont, pour beaucoup, issues du processus
migratoire et originaires de colonies dites musulmanes.[4]
Parfois,
pour ne pas dire souvent, ne connaissant pas grand-chose de l’Islaam,[5] ces
personnes s’empressent elles-mêmes de souligner qu’elles s’appellent
« abdel ».[6]
Qu’Allaah
nous éclaire et nous guide.[7]
BOUAZZA
[1]
Asmaa-e Allaah Alhosnaa.
[2]
Le ʺrʺ roulé, en français, la transcription est généralement Abd El krim.
[3]
Serviteur de ʺelʺ.
[4]
Généralement d’Afrique du Nord.
[5] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le
demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État des croyants et
des croyantes( almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
[6]
Ces mêmes individus se disent ʺbeursʺ (ʺbeurettesʺ pour les femelles) afin de ne pas dire arabes.
Femelles
d’origine de pays dits « arabo-musulmans », appelées ainsi
(« beurs » pour les mâles) afin d’effacer de leur mémoire le mot
« arabe et musulman ».
Le
mérite de cette « trouvaille » (s’appuyant sur ce le soi-disant
« verlan ») revient à la gauche, aux socialos, du temps de leur
tonton François Mitterrand et de l’équipe de propagande dite « touche pas à mon pote »,
pour effacer de la mémoire, la portée des mots arabe et
musulman.
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes,
toutes les armes sont mobilisées depuis des lustres, et les mots sont une arme
des plus redoutables.
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