L’Islaam
n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe,
de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les
représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne
peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État
des croyants et des croyantes[2]
n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur
l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice,
la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation,
le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce,
les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus,
nulle part, mais les membres de la communauté[3] des
croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde
d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Alqoraane[4] est
la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime¨Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Ses comportements durant sa mission constituent
Assonna.
Alqoraane et Assonna sont les fondements de
l’Adoration.[5]
Les
« États » dits « musulmans », mis en place pour servir
l’imposture n’ont rien à voir avec l’Islaam.
Les
employés installés à la « tête » de ces « États » dits
« musulmans », assoiffés d’argent, d’horreurs, de vices et de sang,
répandent la pourriture, commettent les crimes les plus abominables, et les
plus nauséabonds, recourent à la torture sous toutes ses formes, sodomisent et
massacrent des hommes, violent, méprisent, humilient et tuent des femmes,
maltraitent et font disparaître des enfants.
Ils
ont des comptes bancaires partout, des lingots d’or, des pierres précieuses,
des bijoux de grande valeur, des fermes modèles, des haras, des propriétés
immobilières sans nombre, des résidences dans les « grandes
capitales » et au bord de « plages pour milliardaires », des
palaces, des tableaux de peintres de renom, des cabarets, des boîtes de nuit,
des salles de jeu, des restaurants, des voitures luxueuses, des avions, des
bateaux.
Ils
affament et détruisent avec l’appui de leurs employeurs, investissent sans
compter dans les lieux de la débauche, se font livrer par vols entiers des
débauchés dits stars, artistes et autres, des alcools et des drogues à
profusion, des mets pour « civilisés » que les « barbares »
ne connaissent même pas de nom, raffolent de sexe sans frontières, de
pédophilie et de partouzes mondialistes.
Ils salissent et souillent tout, recourent à la
tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la censure, aux usurpations, aux
vols, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux
tricheries, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux
supplices, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés
inimaginables.
Pour eux, l’humain est réduit à moins que rien.
Et
ce sont ces « États » qui veulent donner des « leçons
d’Islaam ».
Le
mois de ramadaane[6] par exemple est pour ces
« États » l’occasion d’alimenter et d’entretenir la confusion afin
d’aiguiser certaines différences d’appréciation au sein des croyants et des
croyantes, les transformer en contradictions principales et introduire le chaos[7] pour
maintenir la division et les affrontements.
À chaque début du mois de ramadaane, ces
imposteurs deviennent des « musulmans » du mois de ramadaane et
mettent tout en œuvre afin que la date de commencement de ce mois fabuleux,
immense don d’Allaah aux croyants et aux croyantes, soit remise en cause et
donne lieu aux innombrables interprétations qui alimentent le clanisme et le
tribalisme condamnés par Alqoraane et Assonna.
Ce
ne sont pas ces « États » qui font les croyants et les croyantes qui,
par la miséricorde d’Allaah, sont partout.
Des
croyants et des croyantes, qui ont résisté, résistent et résisteront à la
confusion, à la manipulation, à l’imposture, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
Qu’Allaah
nous éclaire et nous guide.[8]
BOUAZZA
[1] Adam sur lui la
bénédiction et la paix.
[2] Almouminoune wa
almouminaate.
[3] Alomma, la matrie.
Le ʺrʺ roulé.
[4] Le Coan.
[5] Al’ibaada.
Mois de jeûne en Islaam.
Un mois où de l’aube (et non du lever du soleil comme
c’est souvent indiqué) au coucher du soleil, les personnes saines d’esprit et
pubères s’abstiennent de manger et de boire.
Les époux et les épouses s’abstiennent d’avoir des
rapports sexuels, avant la rupture de la journée de jeûne.
S’agissant
des relations sexuelles en général, il est à rappeler qu’en dehors du mariage,
l’Islaam les condamne.
Le mois de ramadaane est un mois propice aux efforts
pour se ressourcer afin de s’améliorer, pour essayer de faire de son existence
ici-bas, une existence alimentée par le Message d’Allaah.
Un mois pour continuer, avec plus de force encore, le
parcours dans la Voie d’Allaah.
Le début de ce mois fabuleux est dans quelques jours,
ine chaa-e Allaah (si Allaah veut).
[7] Alfitna.
[8] Je ne fais que reprendre
ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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