« Ils »
font semblant d’être « scandalisés » que le Qatar, qui exécute leurs
ordres sans broncher, ait été désigné pour accueillir la coupe dite du monde de
football en 2022, [1]
en ayant eu recours à la corruption.
« Ils »,
se sont les maîtres des puits de pétrole et de gaz de cet « État »
dit « musulman », mis en place par les employeurs du système
colonialo-impérialo-sioniste.
Le
Qatar est un financeur de tout ce que ce système ordonne.
Y
compris, bien sûr, des manifestations « sportives internationales »,
dont le coût pourrait subvenir pendant des mois, aux besoins des 95% de la
population, composée d’immigrés, dont beaucoup sont traités en esclaves.
Les
médias[2] de ces
imposteurs jouent, encore une fois, à « la vierge effarouchée »,
étalent « leur dégoût » de la corruption, de ses conséquences et
autres.
Pour
cette coupe dite du monde de football, « le cas tare »[3] était
disposé à obéir aux ordres et à financer la construction de stades et de
terrains climatisés.
Finalement,
il a été dispensé par ses employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste,
de le faire comme cela était prévu pour
permettre aux joueurs des métropoles, de supporter la température très élevée
en été.
Cette
coupe du monde est maintenant programmée par les employeurs, entre novembre et
décembre 2022, période où la température ne nécessite pas que les stades et les
terrains soient climatisés.
Le
régime de l’imposture au Qatar, au service du système
colonialo-impérialo-sioniste, comme les autres « États » dits
« musulmans », est composé au « sommet », d’oppresseurs, de
pilleurs, de corrompus, de corrupteurs, de criminels et autres.
Les
employés placés à sa « tête » sont assoiffés d’argent, de richesses,
de vices et de sang.
Ils
répandent la pourriture et recourent aux horreurs.
Ils
entassent partout ce qu’ils volent, augmentent leurs propriétés et terrorisent
les populations.
Ils
sèment la débauche et la turpitude.
Ils salissent et souillent tout, recourent à la
tyrannie, à la torture, à la corruption, à la dépravation, à la censure, aux
usurpations, aux impostures, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons,
aux tromperies, aux tricheries, aux enlèvements, aux séquestrations, aux
emprisonnements, aux supplices, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et
autres à des degrés inimaginables.
Leurs employeurs s’en débarrassent parfois lorsqu’ils
ne peuvent pas faire autrement, pour les remplacer par leurs semblables en
ayant recours à un « autre » discours destiné à maintenir la
confusion, la manipulation et l’imposture.
Ils les connaissent mieux que quiconque, n’ignorent
rien de leurs crimes qu’ils entretiennent et couvrent de mille et une manières.
Ces employeurs savent que ces « États »
n’ont rien à voir avec l’Islaam[4] et que
depuis des lustres, l’État des croyants et des croyantes[5] n’existe
plus nulle part.[6]
Ces
imposteurs, dont les médias jouent à « la vierge effarouchée », sont
coutumiers, depuis toujours, des pires comportements, à tous les niveaux et
partout.
Ils
montent les coups les plus inimaginables, pratiquent les manipulations les plus
incroyables, recourent à la débauche, à la turpitude, aux massacres, aux
destructions, aux crimes de toutes sortes et à toutes les horreurs.
BOUAZZA
[1]
Selon le calendrier dit grégorien.
[2]
ʺAnglo-saxonsʺ en tête.
[3]
Le Qatar.
[4] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à
faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État des croyants et
des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
[5]
Almouminoune wa almouminaate.
[6]
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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