Il
se voit encore plus âgé, avec des os qui fléchissent en lui et une tête allumée
de blancheur, marchant à petits pas vers un petit jardin, un petit sac en
plastique à la main avec des petits morceaux de pain, pour servir à manger à
des pigeons.
Les
pigeons l’entourent et au bout d’un moment, partent dans un envol majestueux et
reviennent tournoyer au dessus de sa tête.
Il
les fixe et son rictus devient un sourire, puis un rire qui se confond avec le
claquement des ailes et lui rappelle les vagues de la mer.[1]
BOUAZZA
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