lundi 10 novembre 2014

UN RIRE QUI SE CONFOND AVEC LE CLAQUEMENT DES AILES


Il se voit encore plus âgé, avec des os qui fléchissent en lui et une tête allumée de blancheur, marchant à petits pas vers un petit jardin, un petit sac en plastique à la main avec des petits morceaux de pain, pour servir à manger à des pigeons.
Les pigeons l’entourent et au bout d’un moment, partent dans un envol majestueux et reviennent tournoyer au dessus de sa tête.
Il les fixe et son rictus devient un sourire, puis un rire qui se confond avec le claquement des ailes et lui rappelle les vagues de la mer.[1]
  

BOUAZZA

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire