Alqoraane[1] et
Assonna[2] traitent
des fils et des filles,[3] des
enfants, et offrent aux parents le meilleur pour faire de leur mieux afin de
fonder une famille, et d’assurer l’éducation des enfants sur la base des
enseignements de l’Islaam.[4]
Le
couple, fondé sur le mariage entre l’homme et la femme peut permettre à ses
derniers de devenir parents.
Les
parents sont investis de la responsabilité d’élever les enfants dans la Voie d’Allaah.
Les
enfants sont un dépôt[5] précieux
confié par Allaah aux parents, qui sont tenus de veiller sur ce dépôt, en
faisant ce qu’ils peuvent dans cette Voie.
L’amour
des enfants aide les parents à respecter leurs droits, à les protéger, à les
défendre, à contribuer à leur épanouissement.
Les
enfants sont aussi des épreuves et les parents sont appelés à réfléchir
sérieusement quant à leurs obligations, à méditer sur le sens profond du
fabuleux
cycle de la naissance, du destin de chaque être, et donc de l’enfant,
qui n’appartient ni au père, ni à la mère, et qui est appelé à accomplir ce
pourquoi il est ici-bas.
Qu’Allaah
pardonne nos pratiques blâmables et nous en éloigne, pardonne nos fautes, nous
aide à résister à achachaytaane[6] et à
ceux et à celles qui suivent sa voie, nous éclaire, nous guide et nous couvre
de Sa miséricorde.[7]
BOUAZZA
[1]
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message
d’Allaah, qui a confié à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix, la mission de le
transmettre.
[2] Assonna
a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on
parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith) cela renvoie à ce qui a été rapporté
concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix.
Alqoraane
(Le Coran) n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans
Alqoraane.
Assonna
procède d’Alqoraane.
[3] Albaniine wa albanaate.
[4] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux
pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même
institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa
almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
[5] Amaana.
[6] Á satan.
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