J’avais
à peine trois ans lorsque j’ai été arraché[1] à ma
mère.
Il y
a de cela des dizaines d’années maintenant.
Aujourd’hui,
j’ai presque soixante cinq ans,[2] et des
angoisses m’assaillent toujours.
Ces
angoisses sont-elles imputables à l’événement de l’arrachement ?
Je
communique ces angoisses à diverses personnes qui se posent, peut-être, cette
question, ou d’autres.
Qu’Allaah
nous éclaire, nous guide et nous couvre de Sa miséricorde.[3]
BOUAZZA
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