Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois, et dont je
parlerai encore, ine chaa-e Allaah.[1]
Il
est bon en effet de répéter, encore répéter, toujours répéter des données afin
qu’émerge ce qui est faussé, travesti et autres.
J’ai
souligné le comportement de personnes manipulatrices, qui ne font pas d‘effort
afin de changer et qui se veulent des « femmes libérées » !
Elle sont nées en métropole, usent de mots
falsifiés, dénaturés, faussés, détournés, vidés de leur sens, « afin d’être
à la page » ![2]
Elles
sont originaires d’Afrique du Nord pour beaucoup d’entre elles, et sont de
« culture » dite « musulmane ».
Elles
sont ainsi issues du processus migratoire né du colonialisme, et sont flattées
d’afficher comme « valeurs » des travers qu’elles devraient
combattre.
Elles sont un produit de la « colopole ».[3]
Du viol de la colonie[4]
par la métropole.
Depuis peu, un certain discours de la ré-pub-lique,[5]
tente de les incorporer, « en leur qualité de femmes libérées »,
à la tambouille dite « politique » afin de donner du
« peps »[6]
à « lalla cité »[7] et à la
« difirsitii ».[8]
Ce
discours, pour continuer d’entretenir les confusions et les amalgames, proclame
que « lisse lame la hic »[9] de ces « femmes
libérées », de ces « métropolitaines basanées », de ces
« beurettes » et de certains « beurs », [10] est
« compatible avec la ré-pub-lique ».[11]
Les
croyants et les croyantes[12] pensent
que ces personnes peuvent changer, se réformer, s’améliorer, devenir meilleures.
L’Islaam[13]
aide les personnes dans ce cheminement, afin qu’elles saisissent le Message
d’Allaah.
Il appartient alors aux personnes de
manifester le désir de s’éloigner de ce qui est blâmable[14]
et de faire de leur mieux pour suivre ce qui est convenable.[15]
La
mémoire peut résonner au rythme de mots inoubliés.
De
mots qui font voler en éclats les illusions.
Gomment
les chimères.
Regagnent
le cœur, puis se répandent dans tout l’être.
Elle
peut raisonner au rythme qui vient d’avant notre présence ici-bas.
Celui
du Sens et du Lien.
De
la Lumière.
Rythme
des graines qui germent.
Des
fleurs qui embaument l’immensité.
Rythme
des invocations.
De
la louange.
Des
couleurs originelles.
Du
souvenir de Demain.
Rythme
des êtres pour qui le temps ne compte pas et qui ne mesurent pas l'espace.
Des hommes et des femmes qui
ont le souffle.
Qui savent que l’avenir est à
la piété.[16]
« Par
le soleil et par sa clarté.
Par
la lune quand elle le suit.
Par
le jour quand il l’éclaire.
Par
la nuit quand elle l’enveloppe.
Par
le ciel et par Celui qui l’a construit.
Par
la terre et par Celui qui l’a étendue.
Par
l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.
Et
lui a inspiré son immoralité et sa piété.
A
réussi celui qui l’a purifiée.
Et a
perdu celui qui l’a corrompue ».[17]
BOUAZZA
[1]
Si Allaah veut.
[2] Ce qui se traduit chez elles par mal élevées,
irrespectueuses, parlant à tort et à travers, capricieuses, vaniteuses,
sournoises, arrogantes, désagréables, têtues et se dissimulant derrière des
masques trompeurs, afin de mener certaines actions nuisibles, y compris contre
des personnes avec qui elles ont des liens familiaux.
Elles cultivent, de manière maladive, les tendances à
l’opposition stérile, au nombrilisme aigu, qui les pousse à n’importe quoi pour
attirer l’attention et se mettre en ʺvaleurʺ.
Elles ont recours à de multiples ʺtours de
passe-passeʺ pour refuser d’écouter ce qui ne fait pas frétiller leur ego et
pour continuer à se comporter n’importe comment.
Elles interprètent les faits à leur convenance afin de
s’attribuer ʺle beau rôleʺ et maintenir la confusion qui leur permet de
s’accaparer de tout ce qu’elles peuvent.
Mesurer la gravité et les conséquences de leur actes
ne les effleure pas, ne fait pas partie
de leurs préoccupations.
[3] Contraction des mots "colonie" et
"métropole", qui dans le cas de la France par exemple, rappelle,
encore et encore, la continuation des interventions, en Afrique et ailleurs,
pour maintenir la domination et entretenir des régimes mis en place par le
système colonialo-impérialo-sioniste.
[4] Qui
reste pour la France colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de matières
premières et de main d’œuvre, un marché
pour tout écouler, un point stratégique pour les militaires, un terrain
d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres "loisirs touristes" de ce genre, un dépotoir, une
décharge d’immondices dans tous les domaines.
Les
employés mis à la "tête" des "États" des colonies exécutent les ordres de
leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et
souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à
la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux
mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux
tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux
emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries,
aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la
décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[5] Du mot
ʺRépubliqueʺ, institution dont se réclament pratiquement tous les ʺÉtatsʺ du
monde, mais qui est présentée par les ʺgauloisʺ, comme un immense privilège
réservé à la France!
Cette ré-pub-lique dont on ne cesse de nous rebattre
les oreilles, doit à Jean Pierre Chevènement par exemple, d'avoir été conjuguée
à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de
l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand.
Le mythe errant qui soutenait, ʺautrefois jadisʺ, que
l’Afrique du Nord c’est la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman
selon les canons de sa loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Son tonton (installé sur le trône du Palais de
l’Élysée pendant quatorze ans), était, bien entendu, un adepte de ʺdes femmes
libéréesʺ, pour varier les plaisirs.
[6] ″Pep″,
du mot ″pepper″, poivre en anglais, épice appréciée dans la cuisine, surtout
par ceux et celles qui aiment manger et pisser (épicé).
[7] Dame
cité, la laïcité.
La propagande utilise aussi l’expression ″islam de tolérance″, qui fait
penser aux maisons du même nom.
[10] Le ″mérite″
de cette "trouvaille", s’appuyant sur le soi-disant "verlan",
revient à la gauche, aux socialistes, du temps de leur tonton François
Mitterrand et de l’équipe de propagande dite "touche
pas à mon pote".
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes,
toutes les armes sont mobilisées depuis des lustres, et les mots sont une arme
de destruction massive.
Les vocables ″beurs″ et ″beurettes″, supposés vouloir dire ″arabes″ en verlan, visent en fait à détruire dans ″la métropole″, la mémoire
des personnes issues du processus migratoire, originaires de ″la colonie″ dite ″arabo-musulmane″.
[11] Qui s’arroge le droit de fixer ce qui est
ʺcompatibleʺ et ce qui n’est pasʺcompatibleʺ, concernant l’Islaam, fixé par
Allaah et transmis à l’humanité par les Prophètes et les Messagers sur eux la
bénédiction et la paix.
[12]
Almouminoune wa almouminaate.
[13] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même
institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa
almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
[16]
Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
[17]
Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à
aayate 10 (verset 1 au verset 10).
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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