dimanche 30 novembre 2014

« UNE FEMME LIBRE »

Selon le Daily Mail[1] de vendredi 20 novembre 2014,[2] une femme de quarante trois ans, enceinte, mère de six enfants âgés de trois à quatorze ans, a quitté la Grande Bretagne en abandonnant ses enfants, pour l’Australie où l’attendait un amant.
Ne sachant pas où était sa mère, le plus âgé des enfants a téléphoné aux grands-parents afin de leur signaler son absence.
Au bout de six semaines, cette britannique est revenue au pays où elle a été arrêtée.
La décision du tribunal s’est limitée à du sursis.[3]
Une femme libre ![4]
  
BOUAZZA

samedi 29 novembre 2014

AU DELÁ DU TEMPS ET DE L’ESPACE


Les croyants et les croyantes[1] savent d’où ils viennent et où ils vont.
Ils marchent parmi des hommes, des femmes, des enfants et autres, en faisant de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.[2]
Au delà du Temps et de l’Espace, ils avancent, se replient, puis avancent.[3]
Au rythme de laa Ilaah illaa Allaah, Mohammad Raçoul[4] Allaah.[5]
Ils font ce qu’ils peuvent ici-bas comme si c’était la demeure de toujours et se préparent à rejoindre l’au-delà à tout instant.[6]
« Et l’avenir est à la piété ».[7]
  
BOUAZZA



La peinture qui illustre ce texte est de moi : Elle représente la Demeure Sacrée d’Allaah (Bayte Allaah Alharaam), alka’ba (la kaaba) à Makka (la Mecque).
[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[3] La vague des croyants et des croyantes.
[4] Le r roulé, Messager.
[5] Il n’y a de Divinité qu’Allaah, Mohammad est le Messager d’Allaah.
[6] Référence à un hadiite (hadite, hadiith, hadith) attribué à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite, cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
[7] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont je parle sans cesse.
Voir :

vendredi 28 novembre 2014

CON-CITOYEN

- Ousse wiije ?
- Tu le sais bien.
- O billi[1] de lalla cité ?[2]
- En effet, tu arrives au pays de la laïcité.
- One frais[3] ?
- Exactement.
 - I ji fii afouar[4] con-tact[5] afic[6] elle ?
- Tu n’es pas convaincu ?
- Jou swii[7] con-vaincu, mssiou.[8]
- La métropole va faire de toi un vrai concitoyen.
- Con-citoyen ?
- Exactement.
- De coulounii ?[9]
- Oui de la colonie, car l’indépendance dans l’interdépendance,[10] n’a pas défait les liens,[11] qui t’attachent à la métropole.[12]
- Coup main ?[13]
- Et tes confrères[14] qui résistent, n’y peuvent rien.
- Cons frères ?[15]

BOUAZZA



[1] Au pays.
[2] Dame cité.
[3] En vrai ? ?
[4] Et je vais avoir.
[5] Contact.
[6] Avec.
[7] Je suis.
[8] Monsieur.
[9] Coulouni, mangez-moi.
[10] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[11] Aux chaines.
[12] Il s’agit de ʺcolopoleʺ (contraction des mots "colonie" et "métropole), pour dire, encore et encore, que les interventions de la soldatesque française, des soldatesques dites occidentales en Afrique et ailleurs, afin de maintenir la domination et entretenir des régimes mis en place à cet effet, illustrent, on ne peut plus clairement, ce phénomène.
Un flot de détritus qui perdure, présenté comme "bienfaiteur" par les imposteurs à tous les niveaux.
[13] Comment ?.
[14] Il vise l’Islaam.
[14] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.

jeudi 27 novembre 2014

JE SUIS LE PREMIER DES MUSULMANS

« Dis : mon Seigneur m’a guidé à un chemin droit, une religion droite, nation d’Ibraahiime[1] monothéiste, et il ne faisait pas partie des associateurs. Dis : ma prière, mes actes de dévotion, ma vie et ma mort appartiennent à Allaah, Le Seigneur[2] des Univers. Nul associé à Lui, et voilà ce qui m’a été ordonné et je suis le premier des musulmans ».[3]



[1] Abraham sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Le Maître.
[3] Alqoraane (le Coran), sourate 6 (chapitre 6), Alan’aam, Les Bestiaux, aayate 161 à aayate 163 (verset 161 au verset 163).
L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :

mercredi 26 novembre 2014

« SPÉCIALISTES DE LISSE LAME»

Se prévalant de leur titre de « spécialistes de lisse lame»,[1] de leur conne pétance[2] con-cernant[3] « lisse lame au logis »,[4] ou de leur fac-ulté[5] de « péter en arabe », ils sont partout, exécuteurs des ordres de leurs maîtres, chargés de s’attaquer à Alqoraane[6] et à Assonna,[7] pour continuer d’alimenter la haine contre l’Islaam,[8] et pour entretenir l’imposture.
Que sont ces imposteurs qui veulent éradiquer les croyants et les croyantes ?[9]
« De la cendre qu’emporte le vent en un jour de tempête ».[10]
Les croyants et les croyantes ont résisté, résistent et résisteront jusqu’à la fin de l’existence ici-bas, aux agressions, aux impostures.[11]
  
BOUAZZA



[1] ʺSpécialistes de l’islamʺ.
[2] La compétence.
[3] Concernant.
[4] L’islamologie.
[5] Faculté.
[6] Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah, qui a confié à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix,  la mission de le transmettre.
[7] Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith) cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane (Le Coran) n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
[8] L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[9] Almouminoune wa almouminaate.
[10] Fii yawme ‘aaçife.
Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14), Ibraahiime, Abraham, aayate 18 (verset 18).

mardi 25 novembre 2014

NOUS NOUS LAISSONS ALLER


Au lieu de faire des efforts pour nous améliorer à la lumière des enseignements de l’Islaam,[1] nous nous laissons aller et trouvons mille et une raisons afin de ne pas délaisser des comportements blâmables.
Ces comportements qui jalonnent notre quotidien ne sont pas « insignifiants » comme nous nous le répétons à tort, pour nous donner « bonne conscience » en adaptant à notre « sauce » ce qui doit être tout simplement rejeté, mais que nous n’arrivons pas à abandonner.
Nous ne faisons pas grand-chose pour nous ressaisir et nous nous sentons même « valorisés », en nous illustrant par des attitudes condamnables.
Qu’Allaah nous éclaire et nous guide afin de faire de notre mieux pour suivre Alqoraane[2] et Assonna.[3]

BOUAZZA



[1] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[2] Le Coran.
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu la mission de le transmettre.
[3] Ce qui a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadiith, hadite, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant cette conduite.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Voir :

lundi 24 novembre 2014

RIEN NEMPÊCHERA LA RÉSISTANCE


Des serviteurs de l’imposture, dits « journalistes », soutiennent avec arrogance, qu’ils sont « au service de la vérité ».
Ils exécutent, sans sourciller, les ordres d’employeurs, ennemis de l’Islaam.[1]
Leurs agressions sont présentées comme de « l’information ».
Ils s’attaquent, par exemple, aux croyantes[2] parce qu’elles se couvrent les cheveux,[3]ne sont pas dévêtues, ne fréquentent pas les bars, ne vont pas dans les boîtes de nuit, n’ont pas de rapports sexuels en dehors du mariage avec un homme,[4] ne s’adonnent pas à l’adultère, ne vont pas à des soirées ou autres pour tomber dans la débauche, tiennent au témoignage[5] qu’il n’y a d’Ilaah[6] qu’Allaah[7] et que Mohammad[8] est le Messager d’Allaah, accomplissent la prière,[9] respectent le mois de jeûne,[10] s’acquittent du prélèvement purificateur,[11] se rendent au pèlerinage.[12]
Les serviteurs de l’imposture, dits « journalistes » éructent, perdent tout sens de la retenue et usent de toutes les insanités.
Mais rien n’empêchera la résistance qui continuera jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
« Et l’avenir est à la piété ».[13]

BOUAZZA



[1] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[2] Mouminaate.
Cible, avec les croyants (almouminoune) des agressions en tous genres.
[3] Tout est entrepris pour leur retirer ce qui couvre leurs cheveux.
Foulard, ou autre, dit voile, voile de l’horreur, voile de l’oppression, "tchador", avec des connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de multiples autres agressions..
En France et ailleurs, des textes ont été mis en place pour condamner le port du foulard et l’interdire dans des lieux dits publics.
[4] L’Islaam dénonce, rejette, condamne et combat le mariage entre des personnes du même sexe.
[5] Achchahaada.
[6] Divinité.
[7] Dieu.
[8] L’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[9] Assalaate, assalaa.
[10] Le mois de ramadaane (le r roulé).
Mois de jeûne, assawme, assiyaame.
Mois où de l’aube au coucher du soleil, les personnes saines d’esprit et pubères s’abstiennent de manger et de boire.
Les époux et les épouses s’abstiennent d’avoir des rapports sexuels.
Mois propice aux efforts pour se ressourcer afin de s’améliorer, pour essayer de faire de son existence ici-bas, une existence alimentée par le Message d’Allaah.
Mois pour continuer, avec plus de force encore, le parcours dans la Voie d’Allaah.
[11] Azzakaate.
[12] Alhajj à la Demeure Sacrée d’Allaah (Bayte Allaah Alharaame) à Makka (la Mecque).
[13] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
J’en parlerai encore et encore, ine chaa-e Allaah (si Allaah veut).
Voir :

dimanche 23 novembre 2014

ANTIPATHIQUES

Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois, et dont je parlerai encore, ine chaa-e Allaah.[1]
Il est bon en effet de répéter, encore répéter, toujours répéter des données afin qu’émerge ce qui est faussé, travesti et autres.
J’ai souligné le comportement de personnes manipulatrices, qui ne font pas d‘effort afin de changer et qui se veulent des « femmes libérées » !
Elle sont nées en métropole, usent de mots falsifiés, dénaturés, faussés, détournés, vidés de leur sens, « afin d’être à la page » ![2]
Elles sont originaires d’Afrique du Nord pour beaucoup d’entre elles, et sont de « culture » dite « musulmane ».
Elles sont ainsi issues du processus migratoire né du colonialisme, et sont flattées d’afficher comme « valeurs » des travers qu’elles devraient combattre.
Elles sont un produit de la « colopole ».[3]
Du viol de la colonie[4] par la métropole.
Depuis peu, un certain discours de la ré-pub-lique,[5] tente de les incorporer, « en leur qualité de femmes libérées », à la tambouille dite « politique » afin de donner du « peps »[6] à « lalla cité »[7] et à la « difirsitii ».[8]
Ce discours, pour continuer d’entretenir les confusions et les amalgames, proclame que « lisse lame la hic »[9] de ces « femmes libérées », de ces « métropolitaines basanées », de ces « beurettes » et de certains « beurs », [10] est « compatible avec la ré-pub-lique ».[11]
Les croyants et les croyantes[12] pensent que ces personnes peuvent changer, se réformer, s’améliorer, devenir meilleures.
L’Islaam[13] aide les personnes dans ce cheminement, afin qu’elles saisissent le Message d’Allaah.
Il appartient alors aux personnes de manifester le désir de s’éloigner de ce qui est blâmable[14] et de faire de leur mieux pour suivre ce qui est convenable.[15]
La mémoire peut résonner au rythme de mots inoubliés.
De mots qui font voler en éclats les illusions.
Gomment les chimères.
Regagnent le cœur, puis se répandent dans tout l’être.
Elle peut raisonner au rythme qui vient d’avant notre présence ici-bas.
Celui du Sens et du Lien.
De la Lumière.
Rythme des graines qui germent.
Des fleurs qui embaument l’immensité.
Rythme des invocations.
De la louange.
Des couleurs originelles.
Du souvenir de Demain.
Rythme des êtres pour qui le temps ne compte pas et qui ne mesurent pas l'espace.
Des hommes et des femmes qui ont le souffle.
Qui savent que l’avenir est à la piété.[16]
« Par le soleil et par sa clarté.
Par la lune quand elle le suit.
Par le jour quand il l’éclaire.
Par la nuit quand elle l’enveloppe.
Par le ciel et par Celui qui l’a construit.
Par la terre et par Celui qui l’a étendue.
Par l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.
Et lui a inspiré son immoralité et sa piété.
A réussi celui qui l’a purifiée.
Et a perdu celui qui l’a corrompue ».[17]
  
BOUAZZA



[1] Si Allaah veut.
[2] Ce qui se traduit chez elles par mal élevées, irrespectueuses, parlant à tort et à travers, capricieuses, vaniteuses, sournoises, arrogantes, désagréables, têtues et se dissimulant derrière des masques trompeurs, afin de mener certaines actions nuisibles, y compris contre des personnes avec qui elles ont des liens familiaux.
Elles cultivent, de manière maladive, les tendances à l’opposition stérile, au nombrilisme aigu, qui les pousse à n’importe quoi pour attirer l’attention et se mettre en ʺvaleurʺ.
Elles ont recours à de multiples ʺtours de passe-passeʺ pour refuser d’écouter ce qui ne fait pas frétiller leur ego et pour continuer à se comporter n’importe comment.
Elles interprètent les faits à leur convenance afin de s’attribuer ʺle beau rôleʺ et maintenir la confusion qui leur permet de s’accaparer de tout ce qu’elles peuvent.
Mesurer la gravité et les conséquences de leur actes ne les effleure pas,  ne fait pas partie de leurs préoccupations.
[3] Contraction des mots "colonie" et "métropole", qui dans le cas de la France par exemple, rappelle, encore et encore, la continuation des interventions, en Afrique et ailleurs, pour maintenir la domination et entretenir des régimes mis en place par le système colonialo-impérialo-sioniste.
[4] Qui reste pour la France colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de matières premières et de main d’œuvre, un marché pour tout écouler, un point stratégique pour les militaires, un terrain d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres "loisirs touristes" de ce genre, un dépotoir, une décharge d’immondices dans tous les domaines.
Les employés mis à la "tête" des "États" des colonies exécutent les ordres de leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[5] Du mot ʺRépubliqueʺ, institution dont se réclament pratiquement tous les ʺÉtatsʺ du monde, mais qui est présentée par les ʺgauloisʺ, comme un immense privilège réservé à la France!
Cette ré-pub-lique dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles, doit à Jean Pierre Chevènement par exemple, d'avoir été conjuguée à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand.
Le mythe errant qui soutenait, ʺautrefois jadisʺ, que l’Afrique du Nord c’est la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman selon les canons de sa loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Son tonton (installé sur le trône du Palais de l’Élysée pendant quatorze ans), était, bien entendu, un adepte de ʺdes femmes libéréesʺ, pour varier les plaisirs.
[6] ″Pep″, du mot ″pepper″, poivre en anglais, épice appréciée dans la cuisine, surtout par ceux et celles qui aiment manger et pisser (épicé).
[7] Dame cité, la laïcité.
[8] Le r roulé, diversité.
[9] L’islam laïc″.
La propagande utilise aussi l’expression islam de tolérance, qui fait penser aux maisons du même nom.
[10] Le mérite de cette "trouvaille", s’appuyant sur le soi-disant "verlan", revient à la gauche, aux socialistes, du temps de leur tonton François Mitterrand et de l’équipe de propagande dite "touche pas à mon pote".
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes, toutes les armes sont mobilisées depuis des lustres, et les mots sont une arme de destruction massive.
Les vocables beurs et beurettes, supposés vouloir dire arabes en verlan, visent en fait à détruire dans la métropole, la mémoire des personnes issues du processus migratoire, originaires de la colonie dite arabo-musulmane.
[11]  Qui s’arroge le droit de fixer ce qui est ʺcompatibleʺ et ce qui n’est pasʺcompatibleʺ, concernant l’Islaam, fixé par Allaah et transmis à l’humanité par les Prophètes et les Messagers sur eux la bénédiction et la paix.
[12] Almouminoune wa almouminaate.
[13] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[14] Almonekar (le ″r roulé).
[15] Alma’rouf (le r roulé).
[16] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
[17] Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10 (verset 1 au verset 10).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :