Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois, et dont je
parlerai encore, ine chaa-e Allaah.
Il
est bon en effet de répéter, encore répéter, toujours répéter des données afin
qu’émerge ce qui est faussé, travesti et autres.
J’ai
souligné le comportement de personnes manipulatrices, qui ne font pas d‘effort
afin de changer et qui se veulent des « femmes libérées » !
Elle sont nées en métropole, usent de mots
falsifiés, dénaturés, faussés, détournés, vidés de leur sens, « afin d’être
à la page » !
Elles
sont originaires d’Afrique du Nord pour beaucoup d’entre elles, et sont de
« culture » dite « musulmane ».
Elles
sont ainsi issues du processus migratoire né du colonialisme, et sont flattées
d’afficher comme « valeurs » des travers qu’elles devraient
combattre.
Elles sont un produit de la « colopole ».
Du viol de la colonie
par la métropole.
Depuis peu, un certain discours de la ré-pub-lique,
tente de les incorporer, « en leur qualité de femmes libérées »,
à la tambouille dite « politique » afin de donner du
« peps »
à « lalla cité »
et à la
« difirsitii ».
Ce
discours, pour continuer d’entretenir les confusions et les amalgames, proclame
que « lisse lame la hic »
de ces « femmes
libérées », de ces « métropolitaines basanées », de ces
« beurettes » et de certains « beurs », est
« compatible avec la ré-pub-lique ».
Les
croyants et les croyantes
pensent
que ces personnes peuvent changer, se réformer, s’améliorer, devenir meilleures.
L’Islaam
aide les personnes dans ce cheminement, afin qu’elles saisissent le Message
d’Allaah.
Il appartient alors aux personnes de
manifester le désir de s’éloigner de ce qui est blâmable
et de faire de leur mieux pour suivre ce qui est convenable.
La
mémoire peut résonner au rythme de mots inoubliés.
De
mots qui font voler en éclats les illusions.
Gomment
les chimères.
Regagnent
le cœur, puis se répandent dans tout l’être.
Elle
peut raisonner au rythme qui vient d’avant notre présence ici-bas.
Celui
du Sens et du Lien.
De
la Lumière.
Rythme
des graines qui germent.
Des
fleurs qui embaument l’immensité.
Rythme
des invocations.
De
la louange.
Des
couleurs originelles.
Du
souvenir de Demain.
Rythme
des êtres pour qui le temps ne compte pas et qui ne mesurent pas l'espace.
Des hommes et des femmes qui
ont le souffle.
Qui savent que l’avenir est à
la piété.
« Par
le soleil et par sa clarté.
Par
la lune quand elle le suit.
Par
le jour quand il l’éclaire.
Par
la nuit quand elle l’enveloppe.
Par
le ciel et par Celui qui l’a construit.
Par
la terre et par Celui qui l’a étendue.
Par
l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.
Et
lui a inspiré son immoralité et sa piété.
A
réussi celui qui l’a purifiée.
Et a
perdu celui qui l’a corrompue ».
BOUAZZA
Ce qui se traduit chez elles par mal élevées,
irrespectueuses, parlant à tort et à travers, capricieuses, vaniteuses,
sournoises, arrogantes, désagréables, têtues et se dissimulant derrière des
masques trompeurs, afin de mener certaines actions nuisibles, y compris contre
des personnes avec qui elles ont des liens familiaux.
Elles cultivent, de manière maladive, les tendances à
l’opposition stérile, au nombrilisme aigu, qui les pousse à n’importe quoi pour
attirer l’attention et se mettre en ʺvaleurʺ.
Elles ont recours à de multiples ʺtours de
passe-passeʺ pour refuser d’écouter ce qui ne fait pas frétiller leur ego et
pour continuer à se comporter n’importe comment.
Elles interprètent les faits à leur convenance afin de
s’attribuer ʺle beau rôleʺ et maintenir la confusion qui leur permet de
s’accaparer de tout ce qu’elles peuvent.
Mesurer la gravité et les conséquences de leur actes
ne les effleure pas, ne fait pas partie
de leurs préoccupations.
Contraction des mots "colonie" et
"métropole", qui dans le cas de la France par exemple, rappelle,
encore et encore, la continuation des interventions, en Afrique et ailleurs,
pour maintenir la domination et entretenir des régimes mis en place par le
système colonialo-impérialo-sioniste.
Cette ré-pub-lique dont on ne cesse de nous rebattre
les oreilles, doit à Jean Pierre Chevènement par exemple, d'avoir été conjuguée
à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de
l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand.
Le mythe errant qui soutenait, ʺautrefois jadisʺ, que
l’Afrique du Nord c’est la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman
selon les canons de sa loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Son tonton (installé sur le trône du Palais de
l’Élysée pendant quatorze ans), était, bien entendu, un adepte de ʺdes femmes
libéréesʺ, pour varier les plaisirs.
La propagande utilise aussi l’expression ″islam de tolérance″, qui fait
penser aux maisons du même nom.
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes,
toutes les armes sont mobilisées depuis des lustres, et les mots sont une arme
de destruction massive.
Les vocables ″beurs″ et ″beurettes″, supposés vouloir dire ″arabes″ en verlan, visent en fait à détruire dans ″la métropole″, la mémoire
des personnes issues du processus migratoire, originaires de ″la colonie″ dite ″arabo-musulmane″.
L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.