Du
sexe en « politique » dans les pays « cifilizés »,[1] les
« zélés-cteurs »[2] et
les « zéléés-ctrices »[3] en
raffolent.
Au
temps de Sarkozy et de ses histoires avec ses femmes, les hurlements de la
gauche contre la droite ne cessaient pas.
Aujourd’hui,
les histoires de François Hollande[4] avec
ses femmes ne regardent que lui, dit la gauche, et toute
« révélation » est une « atteinte à la vie privée » et
donnera lieu à des poursuites judiciaires et patati et patata.
Cela
excite encore plus les « zélés-cteurs » et les
« zéléés-ctrices » et les fait même jouir.
Les
« révélations » ne manquent pas quant aux « déboires
conjugaux » de chefs d’État et de Gouvernement qui s’adonnent chez eux,
dans des palaces ou ailleurs à des orgies, sur les frasques de ministres putes
et « sauteurs », sur d’autres qui s’envoient en l’air dans des
bureaux, des ascenseurs et des chiottes, sur des députés, des sénateurs et
autres « élus » qui copulent à qui mieux mieux dans des véhicules de
« service » et des recoins de bâtiments « publics », qui se
font des fellations, se lèchent et fricotent dans de multiples endroits
d’institutions diverses, qui aménagent mille et une rencontres pour se livrer à
des enculeries et autres explorations anatomiques, sur des membres racoleurs de
partis politiques, toute tendance con-fondue, qui usent de leur corps pour
recruter, sur ceux et celles qui font l’éloge de la « promotion
canapé »,[5] et qui défendent la
fornication, l’homosexualité, le lesbianisme, l’adultère et autres.
Les
« zélés-cteurs » et les « zéléés-ctrices » en redemandent.
Cependant
dit l’amoral[6] de gauche, il ne faut pas
hésiter à condamner les « zabus »,[7] sans
toutefois offrir aux « zénnemis »,[8] des
« zarmes »[9] pour
niquer la « démocratie » et la « civilisation ».[10]
Et sachez
qu’il n’y a pas que le sexe en « politique », il y a aussi le cul.[11]
BOUAZZA
[1] ʺCivilisés.ʺ
[2] Les électeurs.
[3] Les électrices.
[4] Le
révolutionnaire de gauche, installé sur
″le trône″ du Palais de l’Élysée en mai 2012 (selon le calendrier dit
grégorien), en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite,
Nicolas Sarkozy.
[6] ʺLa moraleʺ.
[7] Les abus.
[8] Aux ennemis.
[9] Des armes.
[10] Suivez mon regard, même si vous ne me voyez pas.
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