lundi 6 janvier 2014

« CUISINE IMMANGEABLE »


Il est bon de répéter, encore répéter, toujours répéter des données afin qu’émerge ce qui est faussé, travesti et autres.
Les médias aux ordres[1] veillent à alimenter et à entretenir le faux, en passant sous silence ce qui se rapporte au Vrai.
En France, la gauche et la droite, avec leurs « diverses variantes », agissent dans ce sens et sont interchangeables lorsqu’il s’agit de ce qui a trait, par exemple, à l’Islaam.[2]
Et ce n’est un secret pour personne que l’opposition à l’Islaam en France, est très ancrée et se confond avec le mépris des « arabes ».[3]
Depuis quelque temps cependant, des français, « spécimens » des « arabes », des « musulmans »[4] de service, sont ajoutés à la tambouille dite « politique » afin de donner du « peps »[5] à « lalla cité »[6] et à la « difirsitii ».[7]
Ces « spécimens » sont exhibés comme preuve de « l’intégmilation »[8] et de « loufirtoure ».[9]
Ils sont utilisés pour dire qu’avec l’Islaam, il n’y a pas de « réussite ».[10]
Deux ou trois ministres, deux ou trois députés, deux ou trois sénateurs, quelques présidents d’associations, des artistes, des écrivains, des journalistes, des élus municipaux, départementaux, régionaux, et peut-être bientôt deux ou trois maires,[11] deux ou trois présidents de conseils généraux et autres.
Pour ces « arabes » et « musulmans » de service, l’employeur offre quelques subsides, ouvre un peu les médias qui « comptent », les maisons d’édition « sérieuses », les cercles de « qualité » et les voilà, exemplaires dans leur allégeance.
L’employeur se vante de sa longue pratique de l’utilisation des « compétences » de la « diversité », dans la cuisine dite « politique ».
Dans certaines émissions télévisées par exemple, des femmes de ces « spécimens », « femmes libérées » comme il se doit, viennent s’étaler sur les plateaux, prêtes pour certaines d’entre elles, à s’envoyer en l’air,[12] devant les caméras, afin de con-vaincre les téléspectateurs et les téléspectatrices, de leur évolution cul-turelle et de leur ouverture aux autres.
Des chro-niqueurs[13] et niqueuses[14] sexe-tasient.[15]
Les patrons de ces émissions,[16] « des français de souche » répétent-ils avec arrogance, brandissent comme des trophées, ces « beurettes »[17] des colonies, des ghéttos, [18] bonnes à tout faire, intégmilées, à qui la métropole, « généreuse » bien sûr, a permis de « réussir ».
À la télévision, dans d’autres médias, dans des officines multiples et variées, ces « beurettes » sont exposées pour débiter les insanités qui leur sont dictées contre les croyants et les croyantes,[19], con-tinuant ainsi à bénéficier de l’os de porc, qui les fait jouir et leur épargne « le manque ».
Pour cet os de porc à ronger qui leur est jeté, les « spécimens », mâles ou femelles, sont incités, bien entendu, à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à cet os de la « ré-pub-lique ».[20]
Les croyants et les croyantes, ici comme ailleurs, ne mangent évidemment  pas de cette cuisine et poursuivent la résistance.
Ils n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir sur les publications, pas de pouvoir cinématographique, pas de pouvoir artistique, pas de président de la république, pas de ministre, pas de représentant à l’assemblée nationale, pas de représentant au sénat, pas de président de conseil régional, pas de président de conseil général, pas de maire, pas de président de parti politique, pas de patron d’une entreprise importante, pas de…
Ils ont le pouvoir de poursuivre la résistance, de résister jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Avec le soutien d’Allaah, Le Seigneur des Univers.[21]
BOUAZZA




[1] Ces médias, de droite ou de gauche, appartiennent ou sont contrôlés par des fortunés qui font partie des décideurs qui alimentent et entretiennent l’imposture.
Les journalistes et autres sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent ces décideurs.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[3] Parmi lesquels ceux installés en France, issus du processus migratoire, originaires pour la plupart d’Afrique du Nord, objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations et autres déconsidérations et dont les pays d’origine sont pour la France colonialo-impérialo-sioniste, des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres"loisirs touristes" de ce genre, des dépotoirs multiples et variés, des décharges d’immondices dans tous les domaines.
Les pourris, mis à la "tête" des "États" de ces pays exécutent les ordres de leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[4] En France, les ʺarabesʺ sont les ʺmusulmansʺ et vice-versa.
Il est bon de rappeler, encore une fois, que l’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
[5] ″Pep″, du mot ″pepper″, poivre en anglais, épice appréciée dans la cuisine, surtout par ceux et celles qui aiment manger et pisser (épicé).
[6] Dame cité, la laïcité.
[7] Le r roulé, diversité.
[8] Contraction des mots intégration et assimilation.
[9] Le r roulé, l’ouverture.
[10] Ces ʺspécimensʺ sont présentés comme des échantillons de ʺréussiteʺ.
[11] Sur 36682 (au 1er janvier 2009, selon le calendrier dit grégorien).
[12] Á copuler.
[13] Chroniqueurs.
[14] Chroniqueuses.
[15] S’extasient.
[16] Et des autres.
[17] Femelles d’origine de pays dits arabo-musulmans, appelées ainsi pour faire oublier les mots "arabe" et Islaam.
Beurs pour les mâles.
Le mérite de cette "trouvaille" (s’appuyant sur le soi-disant "verlan") revient à la gauche, aux socialistes du temps de leur tonton François mythe errant (Mitterrand) et de l’équipe de propagande sioniste dite "touche pas à mon pote" (S.O.S. racisme).
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes, toutes les armes sont mobilisées depuis des lustres et les mots sont une arme de destruction massive.
Dans la guerre livrée à l’Islaam, les vocables beurs et beurettes, supposés vouloir dire arabes en verlan, visent en fait à participer à la destruction dans la métropole, de la mémoire des personnes issues du processus migratoire, originaires de la colonie.
[18]Cités de banlieue où sont parquées en majorité des populations originaires d’Afrique du Nord et du reste de l’Afrique, issues du processus migratoire.
Des personnes de ces cités de rebut, de désagrégation, de décomposition et de trafics multiples, sont prêtes à tout pour être ailleurs.
[19] Almouminoune wa almouminaate.
[20] Institution dont se réclament pratiquement tous les ʺÉtatsʺ du monde, mais qui est présentée ici, comme un immense privilège réservé à la France!
Cette ré-pub-lique dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles, doit à Jean Pierre Chevènement par exemple, d'avoir été conjuguée à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand.
Le mythe errant qui soutenait, ʺautrefois jadisʺ, que le Maghreb c’est la France, et qu’un bon arabe,c'est-à-dire musulman selon les canons de sa loi, est un arabe (donc musulman), mort.
Son tonton mythe errant (installé sur le trône du Palais de l’Élysée pendant quatorze ans), était, bien entendu, un adepte de ʺl'intégration républicaineʺ, de ʺl’intégmilationʺ.

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