Il
est bon de répéter, encore répéter, toujours répéter des données afin qu’émerge
ce qui est faussé, travesti et autres.
Les
médias aux ordres[1] veillent à alimenter et à
entretenir le faux, en passant sous silence ce qui se rapporte au Vrai.
En
France, la gauche et la droite, avec leurs « diverses variantes »,
agissent dans ce sens et sont interchangeables lorsqu’il s’agit de ce qui a
trait, par exemple, à l’Islaam.[2]
Et
ce n’est un secret pour personne que l’opposition à l’Islaam en France, est
très ancrée et se confond avec le mépris des « arabes ».[3]
Depuis
quelque temps cependant, des français, « spécimens » des
« arabes », des « musulmans »[4] de
service, sont ajoutés à la tambouille dite « politique » afin de
donner du « peps »[5] à « lalla
cité »[6] et à la
« difirsitii ».[7]
Ils sont utilisés pour dire qu’avec l’Islaam, il n’y a pas
de « réussite ».[10]
Deux
ou trois ministres, deux ou trois députés, deux ou trois sénateurs, quelques
présidents d’associations, des artistes, des écrivains, des journalistes, des
élus municipaux, départementaux, régionaux, et peut-être bientôt deux ou trois
maires,[11] deux
ou trois présidents de conseils généraux et autres.
Pour
ces « arabes » et « musulmans » de service, l’employeur
offre quelques subsides, ouvre un peu les médias qui « comptent »,
les maisons d’édition « sérieuses », les cercles de
« qualité » et les voilà, exemplaires dans leur allégeance.
L’employeur se vante de sa longue pratique de
l’utilisation des « compétences » de la « diversité », dans
la cuisine dite « politique ».
Dans
certaines émissions télévisées par exemple, des femmes de ces
« spécimens », « femmes libérées » comme il se doit, viennent
s’étaler sur les plateaux, prêtes pour certaines d’entre elles, à s’envoyer en
l’air,[12]
devant les caméras, afin de con-vaincre les téléspectateurs et les
téléspectatrices, de leur évolution cul-turelle et de leur ouverture aux autres.
Les patrons
de ces émissions,[16] « des
français de souche » répétent-ils avec arrogance, brandissent comme des
trophées, ces « beurettes »[17] des colonies,
des ghéttos, [18] bonnes à tout faire, intégmilées,
à qui la métropole, « généreuse » bien sûr, a permis de
« réussir ».
À la télévision, dans d’autres médias,
dans des officines multiples et variées, ces « beurettes » sont
exposées pour débiter les insanités qui leur sont dictées contre les croyants
et les croyantes,[19], con-tinuant
ainsi à bénéficier de l’os de porc, qui les fait jouir et leur épargne
« le manque ».
Pour cet os de porc à ronger qui leur est jeté, les
« spécimens », mâles ou femelles, sont incités, bien entendu, à se
combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à cet os de la
« ré-pub-lique ».[20]
Les
croyants et les croyantes, ici comme ailleurs, ne mangent évidemment pas de cette cuisine et poursuivent la
résistance.
Ils n’ont
pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire,
pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir sur les
publications, pas de pouvoir cinématographique, pas de pouvoir artistique, pas
de président de la république, pas de ministre, pas de représentant à
l’assemblée nationale, pas de représentant au sénat, pas de président de
conseil régional, pas de président de conseil général, pas de maire, pas de
président de parti politique, pas de patron d’une entreprise importante, pas
de…
Ils
ont le pouvoir de poursuivre la résistance, de résister jusqu’à la fin de
l’existence ici-bas.
Avec
le soutien d’Allaah, Le Seigneur des Univers.[21]
BOUAZZA
[1] Ces
médias, de droite ou de gauche, appartiennent ou sont contrôlés par des
fortunés qui font partie des décideurs qui alimentent et entretiennent
l’imposture.
Les
journalistes et autres sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent
ces décideurs.
[2]
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à
faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[3] Parmi
lesquels ceux installés en France, issus du processus migratoire, originaires
pour la plupart d’Afrique du Nord, objets de discriminations, de
stigmatisations, d’humiliations et autres déconsidérations et dont les pays
d’origine sont pour la France colonialo-impérialo-sioniste, des réserves de
matières premières et de main d’œuvre,
des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des
terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres"loisirs touristes" de ce genre, des dépotoirs multiples
et variés, des décharges d’immondices dans tous les domaines.
Les
pourris, mis à la "tête" des "États" de ces pays exécutent les ordres de
leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et souillent
tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la
débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux
mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux
tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux
emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries,
aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la
décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[4] En France, les ʺarabesʺ
sont les ʺmusulmansʺ et vice-versa.
Il est bon de rappeler, encore une fois, que l’Islaam
n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe,
de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
[5]
″Pep″, du mot ″pepper″, poivre en anglais, épice appréciée dans la cuisine,
surtout par ceux et celles qui aiment manger et pisser (épicé).
[6] Dame
cité, la laïcité.
[7] Le ″r″
roulé, diversité.
[8]
Contraction des mots ″intégration″ et ″assimilation″.
[9] Le ″r″
roulé, l’ouverture.
[10] Ces
ʺspécimensʺ sont présentés comme des échantillons de ʺréussiteʺ.
[12] Á copuler.
[13] Chroniqueurs.
[14] Chroniqueuses.
[15] S’extasient.
[16] Et des autres.
[17]
Femelles d’origine de pays dits ″arabo-musulmans″, appelées ainsi pour faire oublier
les mots "arabe" et ″Islaam″.
″Beurs″
pour les mâles.
Le
mérite de cette "trouvaille" (s’appuyant sur le soi-disant "verlan")
revient à la gauche, aux socialistes du temps de leur tonton François mythe errant
(Mitterrand) et de l’équipe de propagande sioniste dite "touche pas à mon
pote" (S.O.S. racisme).
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes,
toutes les armes sont mobilisées depuis des lustres et les mots sont une arme
de destruction massive.
Dans la guerre livrée à l’Islaam, les vocables ″beurs″ et ″beurettes″, supposés
vouloir dire ″arabes″ en verlan, visent en
fait à participer à la destruction dans la métropole, de la mémoire des personnes issues du processus
migratoire, originaires de la colonie.
[18] ″Cités de banlieue″ où sont parquées en majorité des
populations originaires d’Afrique du Nord et du reste de l’Afrique, issues du
processus migratoire.
Des
personnes de ces ″cités″ de rebut, de désagrégation, de
décomposition et de trafics multiples, sont prêtes à tout pour être ailleurs.
[19] Almouminoune wa
almouminaate.
[20]
Institution dont se réclament pratiquement tous les ʺÉtatsʺ du monde, mais qui
est présentée ici, comme un immense privilège réservé à la France!
Cette ré-pub-lique dont on ne cesse de nous rebattre
les oreilles, doit à Jean Pierre Chevènement par exemple, d'avoir été conjuguée
à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de
l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand.
Le mythe errant qui soutenait, ʺautrefois jadisʺ, que
le Maghreb c’est la France, et qu’un bon arabe,c'est-à-dire musulman selon les
canons de sa loi, est un arabe (donc musulman), mort.
Son tonton mythe errant (installé sur le trône du
Palais de l’Élysée pendant quatorze ans), était, bien entendu, un adepte de
ʺl'intégration républicaineʺ, de ʺl’intégmilationʺ.
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