Les
socialistes n’ont de leçon à recevoir de personne pour piétiner des droits à
tous les niveaux.
L’arrogance,
le mépris, la haine et autres, ont toujours été et restent, des moyens d’action
qu’ils maîtrisent.
En
matière de rafles et autres violations des droits les plus élémentaires de
l’être humain, les socialistes en France excellent : Les indigènes et
autres victimes en témoignent depuis des lustres.
S’agissant
des expulsions aussi, la gauche est mieux que performante.
Elle
est au top et se sent atteinte dans sa conne-pétance,[1]
lorsqu’il est dit qu’en 2013,[2] les
expulsions ont baissé.
Le
ministère de l’intérieur proteste et soutient que la gauche fait mieux que la
droite.
Déjà,
lorsque François Mitterrand à été installé sur le trône du Palais de l’Élysée
comme président de la ré-pub-lique,[3] la
conne-pétance de la gauche a été atteinte dans ce domaine également et la
réponse a été exactement la même : la gauche expulse plus d’étrangers que
la droite, parole de Gaston Defferre, ministre de l’intérieur du
révolutionnaire de gauche Francois Mitterrand.[4]
La métropole
fait ce qu’elle veut avec les colonies,[5] qui
sont, bien entendu, des « États » jouissant pleinement de « l’indépendance,
dans l’interdépendance »[6] et ce
n’est pas François Hollande, le révolutionnaire de gauche qui va le nier.[7]
Vous
pouvez donc con-tinuer[8] à dormir
sur vos deux oreilles, Manuel Valls,[9] le
premier flic de France comme il tient à le souligner, ministre de l’intérieur
du révolutionnaire de gauche, François Hollande, veille sur votre sommeil.
Dormez
bien et n’oubliez pas les culs révolutionnaires et les verges de gauche.[10]
BOUAZZA
[1]
Compétence.
[2]
Selon le calendrier dit grégorien.
[3] Du mot
ʺRépubliqueʺ, institution dont se réclament pratiquement tous les ʺÉtatsʺ du
monde, mais qui est présentée par ʺles gauloisʺ, comme un immense privilège
réservé à la France!
Cette ré-pub-lique dont on ne cesse de nous rebattre
les oreilles, doit à Jean Pierre Chevènement par exemple, d'avoir été conjuguée
à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de
l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand.
Mythe errant qui soutenait, ʺautrefois jadisʺ, que
l’Afrique du Nord c’est la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman selon
les canons de sa loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Son tonton mythe errant (installé sur le trône du
Palais de l’Élysée pendant quatorze ans), le révolutionnaire de gauche,
défenseur ʺdes valeurs sacrées de la ré-pub-liqueʺ.
[4]
Mythe errant.
[5] Qui
restent pour la France colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de matières
premières et de main d’œuvre, un marché
pour tout écouler, un point stratégique pour les militaires, un terrain
d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres"loisirs touristes" de ce genre, un dépotoir, une
décharge d’immondices dans tous les domaines.
Les
pourris, mis à la "tête" des "États" des colonies exécutent les ordres de
leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et
souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à
la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux
mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux
tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux
emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries,
aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la
décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[6] Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
[7] Installé
sur le trône du Palais de l’Élysée en mai 2012, en remplacement de son alter
ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.
L’homme
du ʺniquennatʺ, selon le terme du neveu de François Mitterrand, Frédéric
Mitterrand (ex-ministre de la cul-ture de Nicolas Sarkozy), parlant du
ʺquinquennat de François le niqueurʺ, de la pratique hollandaise des parties de
jambes en l’air, des frasques du révolutionnaire de gauche, ʺqui les nique
toutesʺ.
(Interview à une radio belge le 16/01/2014).
[8]
Continuer.
[9] Qui n’arrête pas de s’agiter en usant de tous les
sens du terme ″connerie″, pour
devenir comme son ″pote″, président de la
ré-pub-lique.
Ce Michel Poniatowski de gauche, croit en ses ″chances″ : il sait ce qu’il faut aux ″cons″, son ″pote″ aussi.
C’est ainsi qu’il gesticule à tout bout de champ, fait
feu de tout bois, utilise d’énormes moyens de l’État afin de servir l’ordre de
ses maîtres.
Il veut à tout prix par exemple, en finir avec ″les roms de Roumanie et de Bulgarie″, ainsi qu’avec d’autres ″faciès″.
Les ″cons″ s’excitent.
Premier flic de France, l’étalon souligne qu’il va se
les faire et que ″l’ordre public″ régnera,
parole de répressif de gauche.
Des campements sont rasés et continuent de l’être et
des populations, hommes, femmes et enfants sont pourchassés, y compris dans les
écoles.
Les ″cons″ jouissent :
Oui, des roms sont ″français″ et alors ?
Ils sont ″français″ comme le sont des maghrébins, c'est-à-dire, des
bougnoules, des ratons, des melons, des musulmans.
La porte parole du Gouvernement de François Hollande,
le révolutionnaire de gauche dit président de la ré-pub-lique, qui est aussi
ministre de ce même François Hollande, révolutionnaire de gauche dit président
de la ré-pub-lique, a été chargée de lire une déclaration selon laquelle Manuel
Valls, le ministre de l’intérieur de François Hollande, le révolutionnaire de
gauche dit président de la ré-pub-lique, procède avec ″fermeté et humanité″.
La
déclaration de cette employée dite porte parole du révolutionnaire de gauche
installé sur ″le trône″ du Palais de l’Élysée, ne fait que
confirmer qu’elle donne satisfaction dans la répétition de ce qui lui est
demandé de répéter.
C’est cette même employée, connue des caméras de
France et de Navarre, qui a répété et continue de répéter, que le mariage des
homosexuels et des lesbiennes, qui a été légalisé par son employeur, François
Hollande, le révolutionnaire de gauche dit président de la ré-pub-lique, est un
bienfait pour l’humanité.
Mais revenons à Manuel Valls, sa femme s’enflamme,
con-fesse son ravissement en apprenant qu’un ″sondage″ révèle que d’innombrables françaises rêvent de
s’envoyer en l’air avec son Manuel, son ″grand amour″ (Le Point du 04/10/2013, internet).
Il
est vrai qu’avec la cinquième ré-pub-lique (avant aussi, bien sûr), après
Charles de Gaulle, et surtout depuis le révolutionnaire de gauche, François
Mitterrand, le sexe est partout et s’expose au Palais de l’Élysée, un peu comme
dans ″la télé réalité″ qui con-tribue à cette cul-ture du
ʺcerveauʺ entre les cuisses.
[10] Du sexe en ʺpolitiqueʺ dans les pays ʺcifilizésʺ
(civilisés), les ʺzélés-cteursʺ (les électeurs) et les ʺzéléés-ctricesʺ (les
électrices) en raffolent.
Au temps de Nicolas Sarkozy et de ses histoires avec
ses femmes, les hurlements de la gauche contre la droite ne cessaient pas.
Aujourd’hui, les histoires de François Hollande, le
révolutionnaire de gauche, avec ses femmes ne regardent que lui, dit la gauche,
et toute ʺrévélationʺ est une ʺatteinte à la vie privéeʺ et donnera lieu à des
poursuites judiciaires et patati et patata.
Cela excite encore plus les ʺzélés-cteursʺ et les ʺzéléés-ctricesʺ
et les fait même jouir.
Les
ʺrévélationsʺ ne manquent pas quant aux ʺdéboires conjugauxʺ de chefs d’État et
de Gouvernement qui s’adonnent chez eux, dans des palaces ou ailleurs à des
orgies, sur les frasques de ministres putes et ʺsauteursʺ, sur d’autres qui
s’envoient en l’air dans des bureaux, des ascenseurs et des chiottes, sur des
députés, des sénateurs et autres ʺzélusʺ (élus, avec la liaison) qui copulent à
qui mieux mieux dans des véhicules de ʺserviceʺ et des recoins de bâtiments ʺpublicsʺ,
qui se font des fellations, se lèchent et fricotent dans de multiples endroits
d’institutions diverses, qui aménagent mille et une rencontres pour se livrer à
des enculeries et autres explorations anatomiques, sur des membres racoleurs de
partis politiques, toute tendance con-fondue, qui usent de leur corps pour
recruter, sur ceux et celles qui font l’éloge de la ʺpromotion canapéʺ ( ou
comment utiliser son vagin et autres orifices et organes pour ″réussir professionnellement″) et qui défendent la fornication, l’homosexualité,
le lesbianisme, l’adultère et autres.
Les « zélés-cteurs » et les
« zéléés-ctrices » en redemandent.
Voir :
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