Ils usent de multiples moyens
pour s’afficher, s’exhiber, « être visibles » et proclamer leur
discours qui se veut une participation, une contribution à « l’air du
temps », à « la modernité ».
Ils se veulent chargés d’un rôle
d’opposition à ce qu’ils considèrent comme « rétrograde »,
« ringard » et expriment leur désir de donner libre cours à des
pulsions, à des impulsions en désignant comme une menace, ceux qui ont une
approche autre.
Ils se veulent des « modèles »,
mâles et femelles de pays dits « musulmans »,[1] en
plein chaos.
Estampillés « la hic[2] »
et « cifilizi »,[3] ils espèrent,
eux aussi, en finir avec les « ignorants », les
« obscurantistes », les « fanatiques », les
« barbus », les « voilées », les « islamistes »,
les « terroristes » et optent pour la confusion afin de présenter les
croyants et les croyantes[4] comme
un danger à éradiquer et l’Islaam[5] comme
un virus redoutable à éliminer par tous les moyens.
Les « inspirateurs » de
ces « modèles », rejetant l’Islaam et le combattant depuis toujours ─
et de plus en plus en ces temps où tout est mis en oeuvre pour s’attaquer
partout aux croyants et aux croyantes accusés de tous les maux ─ attendent
d’eux qu’ils soutiennent « clairement » que « le déclin des
musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de
participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les
peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de
l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour
eux-mêmes et pour le reste du monde… »[6]
Et à chaque agression contre les
croyants et les croyantes, les « modèles » sont tenus de se mettre en
avant pour y participer ou approuver en mots salis, enlaidis, abîmés,
falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris,
nauséabonds, qui grossissent le flot des maux qui ont dégouliné, dégoulinent et
dégoulineront de partout, au service de l’imposture.
Parmi ces « modèles »,
certains sont intarissables sur « la charia »,[7]
« la fatwa »,[8]
« le tchador »,[9]
« le jihad »[10]
auxquels ils ne connaissent rien.
─ « Voyez-vous, la
broublimatic[11] de lisse-lame[12] est
à situer dans le con-texte[13]
économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les
caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et
autres.
Sou finoumiine[14] où
tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs
degrés.
Li broumii digrii[15] se
divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point
dans la première catégorie, soulif[16] ce
que « les zis toriens »[17]
appellent, en usant d’une sémantique « cou nu »,[18] les
« hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[19]… ».
Ils sont satisfaits de ce qu’ils
sont et s’y complaisent.
Ils courent à leur perte en
croyant aller vers la réussite.
Allaah nous dit dans Alqoraane :[20]
« Quiconque prend le droit
chemin le prend pour lui-même et quiconque s’égare, s’égare à son propre
détriment ».[21]
[1] Pays
dotés "d’États" fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
Ces "États"
n’ont rien à voir avec l’Islam qui les rejette, les dénonce, les
condamne et les combat.
Les croyants et les
croyantes le savent, n’ignorent pas que les individus placés à la ″tête″
de ces ″États″ sont des imposteurs et que depuis
des lustres, aucun État Musulman n’existe plus, nulle part.
[2] Laïcs.
[3] Civilisés.
[4] Almouminoune wa
almouminaate.
[5]
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à
faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[6]
Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177.
L’auteur cite ces mots pour
montrer le discours auquel recourent ceux et de celles qui ont combattu,
combattent et combattront les croyants
et les croyantes.
[7]
Achcharii’a, la législation dont ils ne parlent que pour inspirer le dégoût et l’horreur.
[8] Alfatwaa, avis, l’usage
qui est fait du mot vise à faire sentir la terreur et l’arbitraire.
[9] Terme
iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les
cheveux et considéré par des ennemis des croyants et des croyantes, comme une
atteinte intolérable à la "libération
de la femme″.
Dit
"voile" et autres, avec des
connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des
injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des
maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de
multiples autres agressions.
Le
foulard est désigné comme "signe d’oppression" dans les pays ″des droits de l’homme″.
[10]
Aljihaad, effort, lutte, combat.
Mais ce mot est employé
pour parler de "guerre" livrée par les "terroristes islamistes
contre la Civilisation".
[12] L’Islaam.
[13] Contexte.
[14] Ce phénomène.
[16] Soulève.
[17] Les historiens.
[18] Connue.
[20] Alqoraane est la
synthèse, la continuation et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[21] Alqoraane (Le Coran),
sourate 17 (chapitre 17), Alisraa-e, Le Voyage Nocturne, aayate 15 (verset 15).
Voir :
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