mardi 18 juin 2013

QUICONQUE S’ÉGARE S’ÉGARE À SON PROPRE DÉTRIMENT



Ils usent de multiples moyens pour s’afficher, s’exhiber, « être visibles » et proclamer leur discours qui se veut une participation, une contribution à «  l’air du temps », à « la modernité ».
Ils se veulent chargés d’un rôle d’opposition à ce qu’ils considèrent comme « rétrograde », « ringard » et expriment leur désir de donner libre cours à des pulsions, à des impulsions en désignant comme une menace, ceux qui ont une approche autre.
Ils se veulent des « modèles », mâles et femelles de pays dits « musulmans »,[1] en plein chaos.
Estampillés « la hic[2] » et « cifilizi »,[3] ils espèrent, eux aussi, en finir avec les « ignorants », les « obscurantistes », les « fanatiques », les « barbus », les « voilées », les « islamistes », les « terroristes » et optent pour la confusion afin de présenter les croyants et les croyantes[4] comme un danger à éradiquer et l’Islaam[5] comme un virus redoutable à éliminer par tous les moyens.
Les « inspirateurs » de ces « modèles », rejetant l’Islaam et le combattant depuis toujours ─ et de plus en plus en ces temps où tout est mis en oeuvre pour s’attaquer partout aux croyants et aux croyantes accusés de tous les maux ─ attendent d’eux qu’ils soutiennent « clairement » que « le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[6]
Et à chaque agression contre les croyants et les croyantes, les « modèles » sont tenus de se mettre en avant pour y participer ou approuver en mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds, qui grossissent le flot des maux qui ont dégouliné, dégoulinent et dégoulineront de partout, au service de l’imposture.
Parmi ces « modèles », certains sont intarissables sur « la charia »,[7] « la fatwa »,[8] « le tchador »,[9] « le jihad »[10] auxquels ils ne connaissent rien.
─ « Voyez-vous, la broublimatic[11] de lisse-lame[12] est à situer dans le con-texte[13] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et autres.
Sou finoumiine[14] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumii digrii[15] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[16] ce que « les zis toriens »[17] appellent, en usant d’une sémantique « cou nu »,[18] les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[19]… ».
Ils sont satisfaits de ce qu’ils sont et s’y complaisent.
Ils courent à leur perte en croyant aller vers la réussite.
Allaah nous dit dans Alqoraane :[20]
« Quiconque prend le droit chemin le prend pour lui-même et quiconque s’égare, s’égare à son propre détriment ».[21]
 
BOUAZZA


[1] Pays dotés "d’États" fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Ces "États"  n’ont rien à voir avec l’Islam qui les rejette, les dénonce, les condamne et les combat.
Les croyants et les croyantes le savent, n’ignorent pas que les individus placés à la tête de ces États sont des imposteurs et que depuis des lustres, aucun État Musulman n’existe plus, nulle part.
[2] Laïcs.
[3] Civilisés.
[4] Almouminoune wa almouminaate.
[5] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[6] Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177.
L’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et de celles qui ont combattu, combattent et combattront  les croyants et les croyantes.
[7] Achcharii’a, la législation dont ils ne parlent que pour  inspirer le dégoût et l’horreur.
[8] Alfatwaa, avis, l’usage qui est fait du mot vise à faire sentir la terreur et l’arbitraire.
[9] Terme iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux et considéré par des ennemis des croyants et des croyantes, comme une atteinte intolérable à la "libération de la femme″.
Dit "voile" et autres, avec des connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de multiples autres agressions.
Le foulard est désigné comme "signe d’oppression" dans les pays des droits de l’homme.
[10] Aljihaad, effort, lutte, combat.
Mais ce mot est employé pour parler de "guerre" livrée par les "terroristes islamistes contre la Civilisation".
[11] Le r roulé, la problématique.
[12] L’Islaam.
[13] Contexte.
[14] Ce phénomène.
[15] Les r roulés, le premier degré.
[16] Soulève.
[17] Les historiens.
[18] Connue.
[19] Les r roulés, terroristes.
[20] Alqoraane est la synthèse, la continuation et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.

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