Lorsque l’homme avec qui elle est
en couple,[1] le
révolutionnaire de gauche François Hollande, a été installé sur le trône du
Palais de l’Élysée[2] en mai 2012,[3] Valérie
Trierweiler, qui a toujours proclamé qu’elle veut continuer à « gagner sa
vie », a pris possession de bureaux au Palais de l’Élysée et s’est
attribuée du personnel rémunéré par l’État, en restant journaliste de
l’hebdomadaire de droite,[4]
Paris-Match, pour « gagner sa vie ».
Elle a fait beaucoup parler d’elle
pour des engagements du même genre.
Et la revoilà qui proclame à la
télévision[5]
qu’elle est mère, qu’elle a des enfants, qu’elle lave leur linge et qu’elle
passe l’aspirateur.
La femme de Nicolas Sarkozy,[6] celle
d’avant la Bruni,[7] avait dit, il y a de cela
un certain temps déjà, que ce qui lui manquait en tant qu’épouse de, c’était de
faire les courses au centre commercial « monoprix », avec son fils.
Elle aussi est mère et elle aussi
a des enfants.
De gauche ou de droite, les
femmes de la « haute » en France sont comme les femmes de la
« basse ».[8]
Elles font partie des masses
laborieuses.
« Formidable »,
non ?[9]
BOUAZZA
[1] Elle était épouse et mère
lorsqu’elle l’a connu.
Elle a divorcé.
Lui a continué à être avec Ségolène Royal (ils
n’étaient pas mariés) et leurs enfants.
Ils se sont séparés par la
suite, sans pour autant qu’il ne se marie avec Valérie Trierweiler.
[2] En
remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite Nicolas Sarkozy,
suite à ce qui est appelé l’élection présidentielle.
[3] Selon le calendrier dit
grégorien.
[4] La
presse dite de droite ou de gauche, et les médias en général, appartiennent ou
sont contrôlés par des fortunés qui font partie des décideurs.
Les journalistes sont des
employés tenus de se soumettre à ce que veulent ces décideurs.
[6] Cécilia, née Cécile Maria
Sara Isabel Ciganer-Albéniz.
[7] Carla Gilberta Bruni
Tedeschi.
[8] La base.
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