dimanche 30 juin 2013

« ELLES SONT UN DANGER »

Des « journalistes »[1] aux ordres sont chargés de fournir régulièrement des « informations » à « l’opinion publique » mettant à l’index les croyantes[2] parce qu’elles ne fréquentent pas les bars, ne vont pas dans les boîtes de nuit ou autres lieux de débauche, ont des relations sexuelles dans le cadre du mariage[3] et ne s’adonnent pas à l’adultère, ne se droguent pas, ne prennent pas d’alcool, ne mangent pas de porc, accomplissent la prière,[4] jeûnent, donnent azzakaate,[5] se rendent au pèlerinage,[6] font de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande[7] et sont donc selon ces « journalistes » aux ordres, « un danger pour la libération de la femme, pour l’émancipation féminine, pour les droits de l’homme, pour la civilisation et pour l’humanité ».[8]
 
BOUAZZA


[1] Employés par des médias appartenant à des fortunés qui font partie de ceux et de celles qui alimentent et entretiennent l’imposture.
Ces journalistes et autres, sont tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
C’est ainsi et le discours sur le journaliste au service de la vérité par exemple, ne trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
S’agissant de l’Islaam, ces journalistes éructent, sèment la souillure, la pourriture et la puanteur, perdent tout sens de la retenue et usent de toutes les insanités.
[2] Almouminaate.
Ce traitement, en pire, est appliqué aux croyants (almouminoune).
[3] Entre un homme et une femme et non entre des homosexuels, des lesbiennes et autres.
[4] Assalaa, assalaate.
[5] Azzakaate, le prélèvement purificateur, l’aumône légale.
[6] À la Demeure Sacrée d’Allaah (Bayte Allaah Alharaame).
[7] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.

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