Des « journalistes »[1] aux
ordres sont chargés de fournir régulièrement des « informations » à
« l’opinion publique » mettant à l’index les croyantes[2] parce
qu’elles ne fréquentent pas les bars, ne vont pas dans les boîtes de nuit ou
autres lieux de débauche, ont des relations sexuelles dans le cadre du mariage[3] et ne
s’adonnent pas à l’adultère, ne se droguent pas, ne prennent pas d’alcool, ne
mangent pas de porc, accomplissent la prière,[4]
jeûnent, donnent azzakaate,[5] se rendent
au pèlerinage,[6] font de leur mieux pour
Adorer Allaah, comme Allaah le demande[7] et sont donc selon
ces « journalistes » aux ordres, « un danger pour la libération
de la femme, pour l’émancipation féminine, pour les droits de l’homme, pour la
civilisation et pour l’humanité ».[8]
BOUAZZA
[1] Employés
par des médias appartenant à des fortunés qui font partie de ceux et de celles
qui alimentent et entretiennent l’imposture.
Ces ″journalistes″
et autres, sont tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
C’est ainsi et le discours
sur ″le journaliste au service
de la vérité″ par exemple, ne
trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
S’agissant de l’Islaam, ces
″journalistes″ éructent, sèment la souillure, la
pourriture et la puanteur, perdent tout sens de la retenue et usent de toutes
les insanités.
[2] Almouminaate.
Ce traitement, en pire, est appliqué aux croyants
(almouminoune).
[3] Entre un homme et une
femme et non entre des homosexuels, des lesbiennes et autres.
[4] Assalaa, assalaate.
[5] Azzakaate, le prélèvement
purificateur, l’aumône légale.
[6] À la Demeure Sacrée d’Allaah (Bayte Allaah
Alharaame).
[7]
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à
faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[8]
Voir :
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