Le
système colonialo-impérialo-sioniste qui se prend pour le « maître »
du monde, répand son imposture dans les multiples domaines : religieux, politique,
économique, financier, militaire, technologique et autres.
Les
« États » dits « arabo-musulmans », mis en place par lui,
sont moins que rien pour lui.
Les
massacres des populations de Filistiine[1] et
d’autres régions dites « arabo-musulmanes », ne cessent de le
rappeler.
Le
système colonialo-impérialo-sioniste rêve d’éradiquer l’Islaam[2] et
utilise, parmi ses serviteurs, les employés des « États » dits
« arabo-musulmans ».
Ces
employés sont généralement des tyrans, des criminels et des exécutants de
basses œuvres. Des sanguinaires qui pillent, s’enrichissent, jouissent, détruisent,
exterminent en veillant sur les intérêts de leurs employeurs.
Ces
employés « des zétats zindépendants »,[3]
assoiffés d’argent, d’horreurs, de vices et de sang, répandent la pourriture,
commettent les crimes les plus abominables et les plus nauséabonds, recourent à
la torture sous toutes ses formes, sodomisent et massacrent des hommes,
violent, méprisent, humilient et tuent des femmes, maltraitent et font
disparaître des enfants.
Ils
ont des comptes bancaires partout, des lingots d’or, des pierres précieuses,
des bijoux de grande valeur, des fermes modèles, des haras, des propriétés
immobilières sans nombre, des résidences dans les « grandes
capitales » et au bord de « plages pour milliardaires », des
palaces, des tableaux de peintres de renom, des cabarets, des boîtes de nuit,
des salles de jeu, des restaurants, des voitures luxueuses, des avions, des
bateaux.
Ils
affament et détruisent avec l’appui de leurs employeurs, investissent sans
compter dans les lieux de la débauche, se font livrer par vols entiers des débauchés
dits stars, artistes et autres, des alcools et des drogues à profusion, des
mets pour « civilisés » que les « barbares » ne connaissent
même pas de nom, raffolent de sexe sans frontières, de pédophilie et de
partouzes mondialistes.
Ils salissent et souillent tout, recourent à la
tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la censure, aux usurpations, aux
vols, aux impostures, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux
tromperies, aux tricheries, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements,
aux supplices, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des
degrés inimaginables.
Leurs employeurs s’en débarrassent parfois lorsqu’ils
ne peuvent pas faire autrement, pour les remplacer par leurs semblables en
ayant recours à un « autre » discours destiné à maintenir la
confusion, la manipulation, l’imposture.
Ces employeurs, qui connaissent mieux que quiconque
leurs employés, et qui n’ignorent rien de leurs crimes qu’ils entretiennent et
qu’ils couvrent de mille et une manières afin de rester des employeurs et de
continuer l’oppression, savent que ces « États » n’ont rien à voir
avec l’Islaam et n’ignorent pas que depuis des lustres, l’État des croyants et
des croyantes[4] n’existe nulle part.
Ce
ne sont donc pas ces « États » dits « arabo-musulmans » qui
sont visés par les multiples agressions contre l’Islaam à l’échelle planétaire.
Ce
ne sont pas ces « États », qui ont résisté, qui résistent et qui
résisteront à la confusion, à la manipulation, à l’imposture et autres, jusqu’à
la fin de l’existence ici-bas.[5]
BOUAZZA
[1] Palestine.
[2] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État des croyants et
des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
[4]
Almouminoune wa almouminaate.
[5] Je ne fais que reprendre
ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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