dimanche 3 août 2014

MOINS QUE RIEN

Le système colonialo-impérialo-sioniste qui se prend pour le « maître » du monde, répand son imposture dans les multiples domaines : religieux, politique, économique, financier, militaire, technologique et autres.
Les « États » dits « arabo-musulmans », mis en place par lui, sont moins que rien pour lui.
Les massacres des populations de Filistiine[1] et d’autres régions dites « arabo-musulmanes », ne cessent de le rappeler.
Le système colonialo-impérialo-sioniste rêve d’éradiquer l’Islaam[2] et utilise, parmi ses serviteurs, les employés des « États » dits « arabo-musulmans ».
Ces employés sont généralement des tyrans, des criminels et des exécutants de basses œuvres. Des sanguinaires qui pillent, s’enrichissent, jouissent, détruisent, exterminent en veillant sur les intérêts de leurs employeurs.
Ces employés « des zétats zindépendants »,[3] assoiffés d’argent, d’horreurs, de vices et de sang, répandent la pourriture, commettent les crimes les plus abominables et les plus nauséabonds, recourent à la torture sous toutes ses formes, sodomisent et massacrent des hommes, violent, méprisent, humilient et tuent des femmes, maltraitent et font disparaître des enfants.
Ils ont des comptes bancaires partout, des lingots d’or, des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur, des fermes modèles, des haras, des propriétés immobilières sans nombre, des résidences dans les « grandes capitales » et au bord de « plages pour milliardaires », des palaces, des tableaux de peintres de renom, des cabarets, des boîtes de nuit, des salles de jeu, des restaurants, des voitures luxueuses, des avions, des bateaux.
Ils affament et détruisent avec l’appui de leurs employeurs, investissent sans compter dans les lieux de la débauche, se font livrer par vols entiers des débauchés dits stars, artistes et autres, des alcools et des drogues à profusion, des mets pour « civilisés » que les « barbares » ne connaissent même pas de nom, raffolent de sexe sans frontières, de pédophilie et de partouzes mondialistes.
Ils salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables.
Leurs employeurs s’en débarrassent parfois lorsqu’ils ne peuvent pas faire autrement, pour les remplacer par leurs semblables en ayant recours à un « autre » discours destiné à maintenir la confusion, la manipulation, l’imposture.
Ces employeurs, qui connaissent mieux que quiconque leurs employés, et qui n’ignorent rien de leurs crimes qu’ils entretiennent et qu’ils couvrent de mille et une manières afin de rester des employeurs et de continuer l’oppression, savent que ces « États » n’ont rien à voir avec l’Islaam et n’ignorent pas que depuis des lustres, l’État des croyants et des croyantes[4] n’existe nulle part.
Ce ne sont donc pas ces « États » dits « arabo-musulmans » qui sont visés par les multiples agressions contre l’Islaam à l’échelle planétaire.
Ce ne sont pas ces « États », qui ont résisté, qui résistent et qui résisteront à la confusion, à la manipulation, à l’imposture et autres, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.[5]
  

BOUAZZA



[1] Palestine.
[2] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[3] Des États indépendants.
[4] Almouminoune wa almouminaate.

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