Des chro-niqueurs et niqueuses, des commentateurs et
tateuses, des collaborateurs et rateuses, des dis-coureurs et coureuses,
chieurs et pisseuses, salariés de détenteurs de médias dont ils exécutent les
ordres,[1]
déversent, encore et encore, leurs ordures, des mots salis, enlaidis, abîmés,
falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris,
nauséabonds pour grossir le flot des maux qui dégoulinent de partout.
Ils con-tinuent de se contorsionner dans tous les sens et
y vont de leur "danse du ventre" afin de répandre le faux.
Ceux et celles qui ont un cerveau,[2]
savent que ce sont des mensonges et autres pour alimenter et entretenir l’imposture.[3]
BOUAZZA
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