Il est bon de répéter, encore
répéter, toujours répéter des données afin qu’émerge ce qui est faussé, caché,
dissimulé, enfoui, camouflé, masqué, travesti et autres.
Les médias aux ordres[1]
veillent à « monter en épingle » tout ce qui peut permettre de
continuer à alimenter et à entretenir le faux, en passant sous silence ce qui
se rapporte au Vrai.
En France, la gauche et la
droite, avec leurs « diverses variantes », agissent dans ce sens et
sont interchangeables lorsqu’il s’agit de ce qui a trait à l’Islaam.[2]
En effet, la France de gauche et
de droite, a eu recours, a recours et ne manquera pas d’avoir recours à
d’innombrables agressions contre les croyants et les croyantes.[3]
Et à chaque agression, à l’image
des « politiques » et autres, des commentateurs et tateuses,
collaborateurs et rateuses, discoureurs et coureuses, salariés de magnats de
médias dont ils exécutent les ordres, ont déversé, déversent et déverseront
leur haine en mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés,
souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds, pour grossir le flot des
maux qui ont dégouliné, dégoulinent et dégoulineront de partout, au service de
l’imposture.
Dans ces agressions, tout est mis
en œuvre pour nourrir les tromperies.
Les crimes de la gauche comme
ceux de la droite sont niés par des discours qui, invariablement, continuent
d’être servis sous les mêmes mensonges.
L’opposition à l’Islaam, très
ancrée, se confond avec le profond mépris témoigné aux « arabes ».[4]
Depuis peu en France, des
français, « spécimens » des « arabes » et des
« musulmans » de service, sont ajoutés à la cuisine dite
« politique », pour donner du « peps »[5] à la
« difirsitii ».[6]
Pour ces « arabes » et
« musulmans » de service, l’employeur, arrogant et méprisant, offre
quelques subsides,[9] ouvre un peu les médias
qui « comptent », les maisons d’édition « sérieuses », les
cercles de « qualité » et voilà les « intégmilés »,
exemplaires dans leur allégeance à la corruption,[10] à la
débauche,[11] et à tout ce qui est
blâmable.[12]
Pour l’os de porc à ronger qui leur est jeté, ces français, « spécimens »
des « arabes » et des « musulmans » de service, sont
incités bien entendu à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus
attachés à cet os de la « ré-pub-lique », de ses organisations
d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et de tout
ce qui contribue à la tambouille de la « difirsitii ».
Les « femmes libérées »
parmi ces « arabes » et ces « musulmans » de service, très
ouvertes comme il se doit, sont exposées dans des émissions de télévision, dans
des publications, dans des endroits dits « artistiques », ainsi que dans
des lieux de « la libération de la femme ».
Parfois, elles sont exposées dans
de « grandes réceptions », pour souligner les plaisirs de la
« différence », et la « réussite » des nouveaux visages des
« droits de l’homme ».[13]
Ces « arabes » et ces
« musulmans » de service, en raison du processus migratoire que l’employeur
« explique » à sa façon,[14] et
des liens avec les pays dits « arabo-musulmans », sont mis à
contribution dans les agressions contre l’Islaam, « pour servir l’esprit
de tolérance ».[15]
En effet, l’employeur rejetant
l’Islaam et le combattant depuis toujours ─ et de plus en plus en ces temps où
tout est mis en oeuvre pour s’attaquer partout aux croyants et aux croyantes,
accusés de tous les maux ─ les encourage à tout faire pour soutenir que
« le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant
ses adhérents de participer au progrès de l’humanité[16]
[…] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des
croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de
l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[17]
Et ainsi, pour vanter la « ré-pub-lique »
et la « laïcité », la droite, le centre, la gauche et autres
brandissent comme des trophées, des « beurettes »[18] des
ghettos,[19] dites
« intégmilées ».[20]
À
la télévision, dans d’autres médias, dans des officines des services de
renseignements, dans des organismes chargés du suivi de « la mouvance
islamiste », elles se sentent « importantes », débitent des
insanités, ressassent des insultes et tiennent fermement à l’os de porc qui les
fait jouir.[21]
BOUAZZA
[1] Ces
médias, de droite ou de gauche, appartiennent ou sont contrôlés par des
fortunés qui font partie des décideurs qui alimentent et entretiennent
l’imposture.
Les journalistes et autres
sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent ces décideurs.
[2]
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la banédiction et la paix, consiste à
faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[3] Almouminoune wa
almouminaate.
[4]
Objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations et autres
déconsidérations et dont les pays d’origine sont pour la France
colonialo-impérialo-sioniste, des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des
points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des
armements, des lieux de pédophilie, des dépotoirs multiples et variés, des
décharges d’immondices dans tous les domaines.
Les dévoyés, mis à la "tête"
des "États" de ces pays exécutent les ordres de leurs employeurs
colonialo-impérialo-sionistes, salissent et souillent tout, recourent à la
tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux
usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux
trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux
enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux
tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés
inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la
putréfaction.
[10] Alfaçaade.
[11] Alfaahicha.
[13] Qui
ont été enseignés à certains de leurs parents par le colonialisme ″civilisateur″ qui leur apprenait que leurs ancêtres étaient les
gaulois.
[14] Sans
rappeler qu’il est une des conséquences les horreurs du colonialisme.
[15] Celui des maisons du même
nom.
[16] Une de ″ces femmes
libérées″, en service commandé, a été envoyée partout pour
s’extasier devant les caméras sur le mariage des homosexuels et des lesbiennes,
″progrès de l’humanité″
(mariage légalisé par le gouvernement de gauche en avril 2013, selon le
calendrier dit grégorien).
[17]
Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177
(l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et de
celles qui ont combattu, combattent et combattront les croyants et les croyantes).
[18]
Femelles d’origine de pays dits ″arabo-musulmans″, appelées ainsi pour faire oublier
les mots "arabe" et ″Islaam″.
″Beurs″
pour les mâles.
Le mérite de cette "trouvaille" (s’appuyant sur le soi-disant "verlan")
revient à la gauche, aux socialistes du temps de leur tonton François Mythe Errant
(Mitterrand) et de l’équipe de propagande sioniste dite "touche pas à mon
pote" (S.O.S. racisme).
Dans
la guerre contre les croyants et les croyantes, toutes les armes sont
mobilisées depuis des lustres, et les mots sont une arme de destruction massive.
Dans
la guerre livrée à l’Islaam, les vocables ″beurs″ et ″beurettes″, supposés vouloir dire ″arabes″ en verlan, visent en fait à détruire dans ″la métropole″, la mémoire
des personnes issues du processus migratoire, originaires de ″la colonie″ dite ″arabo-musulmane″.
[19] ″Cités de banlieue″ où sont parquées en majorité des
populations originaires d’Afrique du Nord et du reste de l’Afrique, issues du
processus migratoire.
Des personnes de ces ″cités″
de rebut, de désagrégation, de décomposition et de trafics multiples, sont
prêtes à tout pour être ailleurs.
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