« La bonté pieuse[1] n’est
pas de tourner vos visages du côté du Levant[2] et du
Couchant[3] mais
la bonté pieuse est de croire à Allaah, au Jour dernier,[4] aux
Anges, au Livre et aux Prophètes, de donner de son bien, quelque amour qu’on en
ait,[5] aux
proches, aux orphelins, aux nécessiteux,[6] aux
voyageurs indigents,[7] à
ceux qui demandent l’aide[8] et
pour le rachat de captifs,[9]
d’accomplir la Prière,[10]
d’acquitter l’impôt purificateur,[11] et
ceux qui remplissent leurs engagement lorsqu’ils s’engagent, et les endurants
dans l’adversité,[12] la
souffrance[13] et au plus fort du
combat.[14]
Voilà les véridiques[15] et
voilà les pieux ».[16]
[4] La Résurrection, le Jour
du Jugement Dernier.
[5]
Kachriid écrit que ″plus on
aime la chose qu’on donne, plus l’aumône est méritoire. Celui qui donne une
chose parce qu’il n’en connaît pas la valeur ou parce qu’elle n’a pas de
valeur, celui-là a très peu de mérite : Allaah Est Bon et n’accepte que
les bonnes choses.
Dans le don il y a un vrai
acte de foi où l’on fait passer la Valeur d’Allaah au-dessus de toute valeur.
Salaah Addine Kachriid
(Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban),
Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410
(1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 34.
[6] Almaçaakiine, les pauvres.
[7] Ibn assabiil.
[8] Assaa-i-liine, les
demandeurs, les mendiants.
[10] Assalaa, assalaate.
[11] Azzakaa, azzakaate,
l’aumône légale.
[12] Alba-e-çaa-e-
[14] Hiine alba-e-ç.
[15] Assaadiqoune.
[16] Almottaqoune.
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2),
Albaqara, La Vache, aayate 177 (verset 177).
Voir :
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