mercredi 3 avril 2013

« CIFILIZI »



Ils sont français, des hommes et des femmes issus du processus migratoire, originaires de pays dits « musulmans », principalement des colonies d’Afrique du Nord.[1]
Depuis peu en France, certains, parmi ces hommes et ces femmes, sont ajoutés à la cuisine dite « politique », pour donner du « peps »[2] à la « difirsitii ».[3]
Ils sont exhibés comme preuve de « l’intégmilation »[4] et de « loufirtoure ».[5]
Des individus plus creux les uns que les autres, en extase devants leurs maîtres de droite et de gauche.
Deux ou trois ministres, deux ou trois députés, deux ou trois sénateurs, quelques présidents d’associations, des artistes, des écrivains, des journalistes, des élus municipaux, départementaux, régionaux, et peut-être bientôt deux ou trois maires,[6] deux ou trois présidents de conseils généraux et autres.
Des « arabes de service » estampillés « laïcs », qui s’opposent à l’Islaam[7] et sont considérés comme « cifilizi ».[8]
Pour ces « cifilizi », l’employeur offre des subsides,[9]ouvre des médias, des maisons d’édition, et les voilà qui veulent en finir avec les « indigènes », les « ignorants », les « fanatiques », les « obscurantistes », les « terroristes ».
L’employeur a une longue pratique de l’utilisation des « compétences » de ces individus plus creux les uns que les autres.
Dans les administrations, dans les services du B.A.I.,[10] des renseignements généraux, d’espionnage, de contre-espionnage, de suivi des « mouvances islamistes », les universités, les établissements scolaires, les médias, les entreprises, les organismes de spectacles, de sport, de cultes, les associations et autres, il continue d’entretenir un « domaine réservé » où il place des « exilés d’opinion », des « réfugiés politiques », des « combattants de la liberté », des « écrivains », des « penseurs », des « philosophes », des « artistes », des « journalistes », des « intervenants » de radio, de télévision, des « militants multi-cartes » gardés parmi les accessoires utilisés et utilisables.
Ces employés bénéficient aussi de certains emplois de porte-serviettes « élus » ou autres dans diverses institutions où des os de porc à ronger leur sont réservés.
Ils sont incités bien entendu à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la « Ré-pub-lique », de ses organisations d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et de tout ce qui contribue à la tambouille de la « difirsiti ».
Les « femmes libérées » parmi ces « cifilizi », très ouvertes comme il se doit, sont exposées parfois dans de « grandes réceptions », pour souligner les plaisirs de la « différence », et la « réussite » des nouveaux visages des « droits de l’homme ».[11]
Parfois, elles sont même autorisées à soutenir « lisse-lame-la-hic ».[12]
Lorsque les « cifilizi » parlent ou écrivent, ils ont souvent recours à des termes recherchés parce qu’ils ont toujours peur de ne pas être à la « hauteur » dans leur « mission cifilizatrice » contre les croyants et les croyantes.[13]
L’employeur rejetant l’Islaam et le combattant depuis toujours ─ et de plus en plus en ces temps où tout est mis en oeuvre pour s’attaquer partout aux croyants et aux croyantes accusés de tous les maux ─ encourage les « cifilizi » à s’exprimer pour soutenir que « le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[14]
En France, la gauche et la droite, avec leurs « diverses variantes », ont d’innombrables points communs.
Le premier a trait à la haine de l’Islaam.
La France, de gauche et de droite, a eu recours, a recours et ne manquera pas d’avoir recours à d’innombrables agressions contre les croyants et les croyantes.
Et à chaque agression, à l’image des « politiques » et autres, des commentateurs et tateuses, collaborateurs et rateuses, discoureurs et coureuses, chieurs et pisseuses, salariés de magnats de médias dont ils exécutent les ordres,[15] ont déversé, déversent et déverseront leur haine en mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds, pour grossir le flot des maux qui ont dégouliné, dégoulinent et dégoulineront de partout, au service de l’imposture.
Dans ces agressions, tout est mis en œuvre par les imposteurs pour continuer à alimenter et à entretenir les tromperies.
Les crimes de la gauche comme ceux de la droite sont niés par des discours qui, invariablement, continuent d’être servis sous couvert de « bien-être de l’humanité » et de « défense de la civilisation ».
Cette opposition à l’Islaam est très ancrée et se confond avec le profond mépris témoigné aux « arabes ».[16]
Parmi les « cifilizi », certains sont intarissables sur « la charia »,[17] « la fatwa »,[18] « le tchador »,[19] « le jihad »[20] auxquels ils ne connaissent rien.
Le fait qu’ils soient issus du processus migratoire, originaires de pays dits « musulmans » leur vaut d’être désignés comme « connaisseurs ».
Certains sont alors parfois admis parmi des propagandistes de tous bords, se disant « islamologues » ou « spécialistes de l’islam », se rattachant ainsi à une « discipline universitaire » dite « islamologie » et monnayant leur « compétence » sur le marché de l’imposture.
Ils sont présents dans diverses institutions et à différents niveaux.
Ils reçoivent de l’argent de multiples officines pour débiter des insanités, ressasser d’interminables insultes et participer à entretenir le faux.
─ « Voyez-vous, la broublimatic[21] de lisse-lame[22] est à situer dans le con-texte[23] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et autres.
Sou finoumiine[24] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumii digrii[25] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[26] ce que le con-frère[27] appelle, en usant d’une sémantique connue, les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[28]… ».
Pendant qu’un « cifilizi » débite ce genre de nullité par exemple, sa conne-sœur[29] aux charmes plus lucratifs que les siens, même s’il est très demandé, s’extasie devant les caméras sur le mariage des homosexuels et des lesbiennes, évolution de l’humanité balbutie-t-elle, que la loi du gouvernement de gauche va légaliser.
En France, les croyants et les croyantes n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir intellectuel, pas de pouvoir sur les publications, pas de pouvoir cinématographique, pas de pouvoir artistique, pas de pouvoir sportif, pas de président de la république, pas de ministre, pas de représentant à l’assemblée nationale, pas de représentant au sénat, pas de président de conseil régional, pas de président de conseil général, pas de maire, pas de président de parti politique, pas de président directeur général d’une entreprise importante et pas de beaucoup de choses.
Mais par la miséricorde d’Allaah, ils ont le pouvoir de résister.
Et ils résistent et résisteront jusqu’à la fin de l’existence ici-bas contre quiconque veut les empêcher de faire de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.[30]


BOUAZZA


[1] Maghreb.
[2]  Du mot Pep, qui vient de pepper, poivre en anglais, épice appréciée dans la cuisine pour ses propriétés dites stimulantes.
[3] Le r roulé, diversité.
[4] Contraction des mots intégration et assimilation.
[5] Le r roulé, l’ouverture.
[6] Sur 36682 communes (au 1er janvier 2009, selon le calendrier dit grégorien).
[7] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[8] Civilisés.
[9] Subventions.
[10] Bureau des Affaires Indigènes à l’idéologie calquée sur le modèle du Bureau des Affaires Indiennes.
L’appellation est autre, mais c’est du contenu qu’il est question.
[11] Qui ont été enseignés à certains membres des familles de ces femmes ouvertes, par le colonialisme civilisateur qui leur apprenait que leurs ancêtres étaient les Gaulois.
[12] L’islam laïc.
[13] Almouminoune wa almouminaate.
[14] Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177 (l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et de celles qui ont combattu, combattent et combattront  les croyants et les croyantes).
[15] Ces médias, de droite et de gauche, appartiennent à des fortunés qui font partie de ceux et de celles qui alimentent et entretiennent l’imposture.
Les journalistes et autres employés, sont  tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
C’est ainsi, et le verbiage sur le journaliste au service de la vérité par exemple, ne trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[16] Objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations et autres déconsidérations et dont les pays d’origine sont pour la France colonialo-impérialo-sioniste, des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres"loisirs touristes" de ce genre, des dépotoirs multiples et variés, des décharge d’immondices dans tous les domaines, j’en passe et des pires.
Les pourris, mis à la "tête" des "États" de ces pays exécutent les ordres de leurs employeurs colonialo-impérialo-sionistes, salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[17] Achcharii’a, la législation, mais le terme est utilisé en France pour inspirer le dégoût et l’horreur.
[18] Alfatwaa, avis, mais l’usage qui en est fait en France vise à faire sentir la terreur et l’arbitraire.
[19] Terme iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux et considéré par des "français de souche", comme une atteinte intolérable à la "libération de la femme″.
Dit "voile" et autres, avec des connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de multiples autres agressions.
La gauche le désigne comme "signe d’oppression", et l’un de ses colonisés de service, installé aujourd’hui sur un fauteuil moelleux, a prédit, il y a déjà de longues années, la victoire du jean.
Des textes ont été mis en place pour condamner le port du foulard dans des lieux dits publics.
Mais en dépit des interdictions, ce foulard continue de fleurir.
Son parfum et sa couleur ne cessent de se répandre.
Un printemps avec son chant joyeux.
Le chant de la résistance qui terrifie ses ennemis.
[20] Aljihaad, effort, lutte, combat.
En France, le mot est employé pour parler de "guerre" livrée par les "terroristes islamistes contre la Civilisation".
[21] Le r roulé, la problématique.
[22] L’Islaam.
[23] Contexte.
[24] Ce phénomène.
[25] Les r roulés, le premier degré.
[26] Soulève.
[27] Confrère.
[28] Les r roulés, terroristes.
[29] Consoeur.
[30] La soldatesque au niveau international avec ses armes de toutes sortes, son arsenal nucléaire, ses satellites et ses divers appareils, ses missiles de l’horreur, ses avions bombardiers, ses drones, ses hélicoptères de destruction, ses navires et ses porte-avions de carnage, ses chars, ses véhicules blindés, ses innombrables moyens de massacres, l’allégeance des États dits du Tiers-monde mis en place pour servir le système colonialo-impérialo-sioniste et dont les pays où ils sévissent sont des terrains de jeu de cette soldatesque, toute la répression, l’oppression, les tortures, les enlèvements, les arrestations, les disparitions, les prisons, les bagnes, les différents lieux d’enfermement, et le pire de cette armada, n’éliminera pas l’Islaam, n’éliminera pas les croyants et les croyantes.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
Voir :

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