Ils sont français, des hommes et
des femmes issus du processus migratoire, originaires de pays dits
« musulmans », principalement des colonies d’Afrique du Nord.[1]
Depuis peu en France, certains,
parmi ces hommes et ces femmes, sont ajoutés à la cuisine dite
« politique », pour donner du « peps »[2] à la
« difirsitii ».[3]
Des individus plus creux les uns
que les autres, en extase devants leurs maîtres de droite et de gauche.
Deux ou trois ministres, deux ou
trois députés, deux ou trois sénateurs, quelques présidents d’associations, des
artistes, des écrivains, des journalistes, des élus municipaux, départementaux,
régionaux, et peut-être bientôt deux ou trois maires,[6] deux
ou trois présidents de conseils généraux et autres.
Des « arabes de
service » estampillés « laïcs », qui s’opposent à l’Islaam[7] et
sont considérés comme « cifilizi ».[8]
Pour ces « cifilizi »,
l’employeur offre des subsides,[9]ouvre des
médias, des maisons d’édition, et les voilà qui veulent en finir avec les
« indigènes », les « ignorants », les
« fanatiques », les « obscurantistes », les
« terroristes ».
L’employeur a une
longue pratique de l’utilisation des « compétences » de ces individus
plus creux les uns que les autres.
Dans les administrations, dans
les services du B.A.I.,[10] des
renseignements généraux, d’espionnage, de contre-espionnage, de suivi des
« mouvances islamistes », les universités, les établissements
scolaires, les médias, les entreprises, les organismes de spectacles, de sport,
de cultes, les associations et autres, il continue d’entretenir un
« domaine réservé » où il place des « exilés d’opinion »,
des « réfugiés politiques », des « combattants de la
liberté », des « écrivains », des « penseurs », des
« philosophes », des « artistes », des
« journalistes », des « intervenants » de radio, de
télévision, des « militants multi-cartes » gardés parmi les
accessoires utilisés et utilisables.
Ces employés bénéficient aussi de certains emplois de porte-serviettes
« élus » ou autres dans diverses institutions où des os de porc à
ronger leur sont réservés.
Ils sont incités bien entendu à se combattre mutuellement afin
qu’émergent les plus attachés à ces os de la « Ré-pub-lique », de ses
organisations d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême
droite et de tout ce qui contribue à la tambouille de la
« difirsiti ».
Les « femmes libérées »
parmi ces « cifilizi », très ouvertes comme il se doit, sont exposées
parfois dans de « grandes réceptions », pour souligner les plaisirs
de la « différence », et la « réussite » des nouveaux
visages des « droits de l’homme ».[11]
Parfois, elles sont même
autorisées à soutenir « lisse-lame-la-hic ».[12]
Lorsque les
« cifilizi » parlent ou écrivent, ils ont souvent recours à des
termes recherchés parce qu’ils ont toujours peur de ne pas être à la
« hauteur » dans leur « mission cifilizatrice » contre les
croyants et les croyantes.[13]
L’employeur rejetant l’Islaam et
le combattant depuis toujours ─ et de plus en plus en ces temps où tout est mis
en oeuvre pour s’attaquer partout aux croyants et aux croyantes accusés de tous
les maux ─ encourage les « cifilizi » à s’exprimer pour soutenir que
« le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant
ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence,
plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles
sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela
vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[14]
En France, la gauche et la
droite, avec leurs « diverses variantes », ont d’innombrables points
communs.
Le premier a trait à la haine de
l’Islaam.
La France, de gauche et de
droite, a eu recours, a recours et ne manquera pas d’avoir recours à
d’innombrables agressions contre les croyants et les croyantes.
Et à chaque agression, à l’image
des « politiques » et autres, des commentateurs et tateuses,
collaborateurs et rateuses, discoureurs et coureuses, chieurs et pisseuses,
salariés de magnats de médias dont ils exécutent les ordres,[15] ont
déversé, déversent et déverseront leur haine en mots salis, enlaidis, abîmés,
falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds,
pour grossir le flot des maux qui ont dégouliné, dégoulinent et dégoulineront
de partout, au service de l’imposture.
Dans ces agressions, tout est mis
en œuvre par les imposteurs pour continuer à alimenter et à entretenir les
tromperies.
Les crimes de la gauche comme
ceux de la droite sont niés par des discours qui, invariablement, continuent
d’être servis sous couvert de « bien-être de l’humanité » et de « défense
de la civilisation ».
Cette opposition à l’Islaam est
très ancrée et se confond avec le profond mépris témoigné aux
« arabes ».[16]
Parmi les « cifilizi »,
certains sont intarissables sur « la charia »,[17]
« la fatwa »,[18]
« le tchador »,[19]
« le jihad »[20]
auxquels ils ne connaissent rien.
Le fait qu’ils soient issus du processus migratoire, originaires de
pays dits « musulmans » leur vaut d’être désignés comme
« connaisseurs ».
Certains sont alors parfois admis parmi des propagandistes de tous bords,
se disant « islamologues » ou « spécialistes de l’islam »,
se rattachant ainsi à une « discipline universitaire » dite
« islamologie » et monnayant leur « compétence » sur le
marché de l’imposture.
Ils sont présents dans diverses institutions et à différents niveaux.
Ils reçoivent de l’argent de
multiples officines pour débiter des insanités, ressasser d’interminables
insultes et participer à entretenir le faux.
─ « Voyez-vous, la
broublimatic[21] de lisse-lame[22] est
à situer dans le con-texte[23]
économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les
caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et
autres.
Sou finoumiine[24] où
tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs
degrés.
Li broumii digrii[25] se
divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point
dans la première catégorie, soulif[26] ce
que le con-frère[27] appelle, en usant d’une
sémantique connue, les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire
les tirouristes[28]… ».
Pendant qu’un
« cifilizi » débite ce genre de nullité par exemple, sa conne-sœur[29] aux
charmes plus lucratifs que les siens, même s’il est très demandé, s’extasie
devant les caméras sur le mariage des homosexuels et des lesbiennes, évolution
de l’humanité balbutie-t-elle, que la loi du gouvernement de gauche va légaliser.
En France, les croyants et les
croyantes n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de
pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de
pouvoir intellectuel, pas de pouvoir sur les publications, pas de pouvoir
cinématographique, pas de pouvoir artistique, pas de pouvoir sportif, pas de
président de la république, pas de ministre, pas de représentant à l’assemblée
nationale, pas de représentant au sénat, pas de président de conseil régional,
pas de président de conseil général, pas de maire, pas de président de parti
politique, pas de président directeur général d’une entreprise importante et
pas de beaucoup de choses.
Mais par la miséricorde d’Allaah,
ils ont le pouvoir de résister.
Et ils résistent et résisteront
jusqu’à la fin de l’existence ici-bas contre quiconque veut les empêcher de
faire de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.[30]
BOUAZZA
[1] Maghreb.
[2] Du mot ″Pep″, qui vient de ″pepper″,
poivre en anglais, épice appréciée dans la cuisine pour ses propriétés dites
stimulantes.
[6] Sur
36682 communes (au 1er janvier 2009, selon le calendrier dit
grégorien).
[7]
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à
faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[9] Subventions.
[10] Bureau des Affaires
Indigènes à l’idéologie calquée sur le modèle du Bureau des Affaires Indiennes.
L’appellation est autre, mais c’est du contenu qu’il
est question.
[11] Qui
ont été enseignés à certains membres des familles de ces ″femmes ouvertes″, par le colonialisme ″civilisateur″ qui leur apprenait que leurs ancêtres étaient les
Gaulois.
[13] Almouminoune wa
almouminaate.
[14]
Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177
(l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et de
celles qui ont combattu, combattent et combattront les croyants et les croyantes).
[15] Ces
médias, de droite et de gauche, appartiennent à des fortunés qui font partie de
ceux et de celles qui alimentent et entretiennent l’imposture.
Les journalistes et autres
employés, sont tenus de se soumettre à
ce que veulent les employeurs.
C’est ainsi, et le verbiage
sur ″le journaliste au service
de la vérité″ par exemple, ne
trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[16]
Objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations et autres
déconsidérations et dont les pays d’origine sont pour la France colonialo-impérialo-sioniste,
des réserves de matières premières et de main d’œuvre,
des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des
terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres"loisirs touristes" de ce genre, des dépotoirs multiples
et variés, des décharge d’immondices dans tous les domaines, j’en passe et des
pires.
Les pourris, mis à la "tête"
des "États" de ces pays exécutent les ordres de leurs employeurs
colonialo-impérialo-sionistes, salissent et souillent tout, recourent à la
tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux
usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux
trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux
enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux
tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés
inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la
putréfaction.
[17]
Achcharii’a, la législation, mais le terme est utilisé en France pour inspirer
le dégoût et l’horreur.
[18] Alfatwaa, avis, mais
l’usage qui en est fait en France vise à faire sentir la terreur et
l’arbitraire.
[19]
Terme iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les
cheveux et considéré par des "français
de souche", comme une atteinte
intolérable à la "libération de
la femme″.
Dit
"voile" et autres, avec des
connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des
injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des
maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de
multiples autres agressions.
La
gauche le désigne comme "signe d’oppression", et l’un de ses
colonisés de service, installé aujourd’hui sur un fauteuil moelleux, a prédit,
il y a déjà de longues années, la victoire du jean.
Des
textes ont été mis en place pour condamner le port du foulard dans des lieux
dits publics.
Mais
en dépit des interdictions, ce foulard continue de fleurir.
Son
parfum et sa couleur ne cessent de se répandre.
Un
printemps avec son chant joyeux.
Le
chant de la résistance qui terrifie ses ennemis.
[20]
Aljihaad, effort, lutte, combat.
En France, le mot est
employé pour parler de "guerre" livrée par les "terroristes
islamistes contre la Civilisation".
[22] L’Islaam.
[23] Contexte.
[24] Ce phénomène.
[26] Soulève.
[27] Confrère.
[29] Consoeur.
[30] La soldatesque au niveau international avec ses armes
de toutes sortes, son arsenal nucléaire, ses satellites et ses divers
appareils, ses missiles de l’horreur, ses avions bombardiers, ses drones, ses
hélicoptères de destruction, ses navires et ses porte-avions de carnage, ses
chars, ses véhicules blindés, ses innombrables moyens de massacres,
l’allégeance des ″États″ dits du ″Tiers-monde″ mis en
place pour servir le système colonialo-impérialo-sioniste et dont les pays où
ils sévissent sont des terrains de jeu de cette soldatesque, toute la
répression, l’oppression, les tortures, les enlèvements, les arrestations, les
disparitions, les prisons, les bagnes, les différents lieux d’enfermement, et
le pire de cette armada, n’éliminera pas l’Islaam, n’éliminera pas les croyants
et les croyantes.
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
Voir :
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