Les
variétés de la « salade niçoise » sont nombreuses, et suscitent
d’interminables commentaires.
Si
l’appellation ne change pas, les ingrédients diffèrent, y compris lorsque les
uns et les autres s’accordent à admettre que dans la « recette », il
y a des tomates, des poivrons, des oignons, du basilic, de la laitue, des
olives noires, des oeufs durs, du thon, du citron ou du vinaigre, du sel, du
poivre et de l’huile d’olive.
Avec
mon épouse, nous avons séjourné du mercredi 20 au samedi 30 mai 2015[1] à Nice,
d’où ce « prélude culinaire » qui peut être « goûté » de
mille et une manières.
Le
départ du TGV[2]
de Paris, gare de Lyon a eu lieu à 14 heures 19.
L’arrivée
à la gare de Nice, plus de 950 kilomètres après, à l’extrême Sud-Est, a eu lieu
à 19 heures 58 ![3]
le
voyage, ainsi que le séjour, nous ont été offerts par notre fils aîné et sa
femme.[4]
Nous
connaissions déjà cette ville du département des Alpes Maritimes,[5] en
région Provence-Alpes-Côte d’Azur.[6]
Peu
de temps après le départ du train, mon épouse a commencé la lecture de
« Pickpocket », un roman japonais de Nakamura Fuminori.[7]
De
mon côté, j’ai repris la lecture, pour la énième fois, d’un écrit d’une
centaine de pages, de Driis Chchraaïbii,[8] sur
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Deux
heures de TGV plus tard, des vaches blanches[9]
profitaient de champs verts.
Quelques
chevaux faisaient de même.
Tout
d’un coup, une pelleteuse jaune, non loin de la voie ferrée.
Je
pense à l’un de mes petits enfants qui apprécie ces engins.
Un
panneau signalant déjà le département de l’Isère,[10] me fait
penser à un autre de mes petits-fils qui a quitté la région parisienne pour ce
département, depuis quelques mois.
Á 17
heures 15, premier arrêt à la gare d’Aix-en-Provence, puis un peu plus d’une
heure après, arrêt à celle de Toulon.
J’avais
terminé la lecture de l’écrit sur Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur
lui la bénédiction et la paix.[11]
Après
l’arrêt à Saint-Raphaël, la mer nous tend les bras.
Albahr[12] alabyad
almotawassite.
La
mer blanche intermédiaire.
La
mer Méditerranée.
Arrêt
à Cannes.
Puis
c’est Nice.
Le
lendemain, au « Campo[13]
caffèe », en face du « Café de Turin », nous avons tout de suite
humé l’air de l’Italie, et tout le long du séjour, nous avons gardé la
sensation d’être dans ce pays.[14]
D’ailleurs,
lorsque nous avons voulu prendre quelque chose pour une de mes soeurs installée
en région parisienne, nous avons pris des pâtes et une sauce italiennes.
La
« Promenade du Paillon », du nom du fleuve qui coule sous le jardin,[15]
commencée la première fois après le « Campo caffèe » par
« l’Allée des Italiens », a été une de nos activités quotidiennes
pendant tout le séjour.
C’est
une promenade que nous avons faite dans tous les sens, et à différents moments
de la journée.
Les
jeux pour les enfants sont tout simplement fantastiques.
Le
grand espace avec des jets d’eau enchante tout le monde et les enfants, ravis, ne
s’en lassent pas : les brumisateurs et les jets d’eau en hauteur ont
permis à mon épouse de s’émerveiller et de retrouver un goût d’enfance.
Le
père de mon épouse était Italien.
Né
en 1903 en Italie du Nord.
Arrivé
en France à l’âge de 16 ans pour travailler.
Á sa
mort, sa fille a trouvé dans le grenier, écrite par lui, au fond de sa boîte à
outils en bois, la phrase[16] suivante :
« In mezzo del camin della mia vita,
mi ritrovai in una selva oscura, chè la dritta via era smarita ».[17]
Un exilé.
Un étranger.
Un
immigré.
Ses
parents étaient des paysans pauvres.
Il
faisait partie d’une fratrie de six enfants : trois filles et trois
garçons.
Il
était l’aîné.
En
1931, il avait épousé une femme dont les parents étaient commerçants[18] dans le
département de la Drôme ;[19] elle
faisait partie d’une fratrie de cinq enfants : quatre garçons et elle
même.
Le
père de mon épouse avait toujours travaillé dans le bâtiment.
Jusqu’à
sa retraite.
Pendant
l’occupation de la France par l’Allemagne durant ce qui a été appelé la
deuxième guerre mondiale,[20] il
avait été déporté, dans le cadre du « Service du Travail Obligatoire »,[21] pour
être employé dans une ferme.
Quelques
années après son retour en France, il avait retrouvé sa femme.
Au
bout d’un certain temps,[22] ils
avaient eu un enfant.
Une
fille.
La
seule.
Elle
préparait l’agrégation d’italien[23] lorsque
j’ai fait sa connaissance, peu de temps après mon arrivée du Maroc de
« l’indépendance dans l’interdépendance »,[24] pour
poursuivre des
études
universitaires en France.[25]
Je
l’ai rencontré au siège d’une association où elle était venue, comme moi, pour
s’engager à assurer, bénévolement, des cours d’alphabétisation dans des foyers
utilisés par les oppresseurs pour parquer des travailleurs immigrés,
originaires d’Afrique du Nord principalement.
Des
foyers pour « bougnoules ».[26]
Elle
était venue pour me rencontrer, et je m’étais déplacé pour elle, mais nous
l’ignorions.
C’est
peut-être à partir de cette époque que j’avais commencé à m’intéresser de plus en plus à l’Italie.
C’est
un pays où il m’a été donné de me rendre plusieurs fois, en compagnie de celle
qui est devenue mon épouse.
Nous
nous sommes rendus plusieurs fois chez une de ses cousines installée, avec son
mari,[27] à
Turin.
Nous
avons séjourné également dans leur maison à la montagne, à Santa Maria
Maggiore, maison qui date, paraît-il, de 1697,[28] et dans
leur appartement sur la côte méditerranéenne, à Bordighera, en Ligurie, au
printemps, en dehors de la période estivale et de l’invasion des estivants.
Mes
pensées continuent de voyager, et me voilà avec Haçane Ibn Alwazzaane,[29] capturé
par des pirates au XVIème siècle, offert au Pape et devenu
géographe.
Le
géographe Jean Léon de Médicis, dit Léon l’Africain :
«
[…] Après avoir vécu à Grenade, sa ville natale, à Fès, à Tombouctou, au Caire,
à Constantinople, Léon passe plusieurs années à Rome, où il enseigne l’arabe,
écrit la partie hébraïque d’un dictionnaire polyglotte, et rédige en italien,
sa célèbre « description de l’Afrique », qui va rester pendant quatre
siècles une référence essentielle […].
Homme
d’Orient et d’Occident […] »[30].
« À Rome, tu étais « le fils de
l’Africain », en Afrique, tu seras « le fils du Roumi. »[31] Où que
tu sois, certains voudront fouiller ta peau et tes prières. […]. Garde toi de
ployer sous la multitude […]. Lorsque l’esprit des hommes te paraîtra étroit,
dis-toi que la terre de Dieu est vaste […]. N’hésite jamais à t’éloigner,
au-delà de toutes les mers, au-delà de toutes les frontières … »[32]
Cela
va faire quarante deux ans, cet été, que je suis marié.
Mon
épouse et moi sommes parents et grands-parents, par la miséricorde d’Allaah.
Tout
est mouvement.
Tout
est transformation.
Sobhaane
Allaah, Rabb[33]
al’aalamiine.
Gloire
à Allaah, Seigneur des univers.
La
mer et le ciel se rejoignent.
Des
images, des couleurs, des mouvements jaillissent.
Des
mots clairsemés s’associent.
Des
souvenirs s’assemblent.
Des
pensées se rassemblent.
Un
temps et un espace Autres.
« Une
vague vient du fond du passé et, lente, dandinante, puissante, déferle. Explose
et fait exploser les souvenirs comme autant de bulles d’écume […].
Une
autre vague vient par-dessus la première et fulgure. Etincelle et ruisselle
d’une vie nouvelle. Sans nombre, débordant par-delà les rives du temps, de
l’éternité à l’éternité d’autres vagues naissent et meurent, se couvrant et se
renouvelant, ajoutant leur vie à la vie. D’aussi loin qu’on les entende, toutes
ont la même voix, répètent le même mot : paix, paix, paix ».[34]
Vagues de sensations.
Coulée de sérénité.
Ruissellement
de paix.
Battements du cœur, tels les battements du cœur de la mère,
que l’enfant béni garde en lui.
Des bienfaits d’Allaah, encore des bienfaits, toujours des
bienfaits.
Reconnaissance.
En
prenant nos repas sur le balcon,[35] nous
avons bénéficié de la présence régulière de mouettes, dans le ciel : un
régal.
Dans
des moments de quiétude de ce genre, je pense parfois à mes petits-enfants.
Les deux m’appellent Bagui.[36]
C’est le plus jeune,[37] d’un
mois et demi, qui m’a prénommé ainsi.
Le plus âgé[38] a
adopté cette appellation.
Pour eux, cela veut dire grand-père, puisque je suis leur
grand-père.
C’est un fabuleux bienfait d’Allaah d’avoir des petits-enfants.[39]
Ils
renforcent en moi le parfum de l’aube de la vie.
Par
le simple fait de me regarder, ils savent me redire le cycle fabuleux, la voie
du destin de chaque être et donc de l’enfant, qui n’appartient ni au père, ni à
la mère, et qui doit accomplir ce pourquoi il est ici-bas, en attendant de
rejoindre l’au-delà.
Qu’Allaah
nous aide à faire de notre mieux pour l’Adorer.
Qu’Il
nous éclaire et nous guide.
Pendant
la période du voyage, il est permis de réduire à « rak’atayne »[42] les
prières de quatre « rak’aate ».[43]
Autrement
dit les prières d’« addohr »,[44]
d’« al’asr »,[45] et
d’« al’ichaa-e »[46] sont
réduites de moitié.
Il
est possible de faire ce qui est appelé « jam’e taqçiir »,[47] qui se
traduit par la prière d’« addohr » raccourcie et puis immédiatement
après, par celle d’« al’asr » raccourcie également.
Ce
« groupement raccourcissement » est un « jam’e taqdiime »,[48] c’est à
dire la possibilité d’accomplir une prière avant l’heure.
En
période de voyage, il est aussi possible d’attendre « al’asr » puis
faire « addohr » en raccourcissant et en enchaînant avec la prière
d’« al’asr » raccourcie.
Ce
« groupent-raccourcissement » est appelé « jam’e
ta-e-khiir »[49]
Il
est possible par ailleurs d’accomplir la prière d’« al’ichaa-e »
raccourcie, tout de suite après celle d’« almaghrib »[50] qui,
elle, reste inchangée.
Il
est possible bien sûr de retarder la prière d’« almagrib » pour la
faire avec la prière d’« al’ichaa-e », en raccourcissant cette
dernière.
La
période du voyage peut être courte ou longue.
La
durée n’a pas été déterminée.
La
distance par rapport au domicile habituel n’a pas été fixée, pas plus que le
moyen de locomotion.
La
possibilité d’écourter la prière et de faire des groupements pendant la durée
du voyage est ainsi donnée dans l’acceptation la plus large.
Peux-t-on
parler de Nice sans parler de la « Promenade des Anglais » ?
Un
peu moins de deux semaines avant notre séjour dans cette ville, [51] presque
sept mille[52]
employés du « groupe » dit chinois,« TIENS »,[53] à qui
ce « groupe » a « offert » un séjour en France, ont
débarqué à Nice où, habillés d’uniformes bleus, ils se sont appliqués, a former
avec leur corps, la plus longue phrase vue des « hauteurs » :
« Le
rêve de Tiens est Nice sur la Côte d’Azur » !
Qu’aurait
dit Confucius ?[54]
Je
riz[55]
jaune !
Fermons
cette parenthèse, dite « chinoise », pour rappeler qu’il y a de cela
deux siècles, des Anglais argentés, de plus en plus nombreux à hiverner à Nice,
ont contribué par leur fortune, à aménager un sentier au bord de la mer, qui a
pris, avec le temps, le nom de « Promenade des Anglais ».
Suite
à de multiples travaux à diverses périodes, c’est aujourd’hui l’avenue qui
longe ce bord de mer.
Avec
une certaine catégorie de palaces.[56]
Et
bien sûr, le flux ininterrompu de véhicules et de « promeneurs ».[57]
C’est
au milieu des fleurs et de la verdure qui coupe ce bord de mer, que j’ai
installé l’escargot arrivé à Nice avec nous.
Á la
veille du voyage, mon épouse a décidé de prendre des feuilles d’une plante du petit
jardin de la maison où nous sommes installés.
Lorsqu’elle
avait sorti les feuilles de cette plante en arrivant à Nice, elle a été
surprise par la présence d’un escargot parmi ces feuilles.
Il
fallait donc lui trouver un lieu de « résidence ».
Je
ne sais pas si j’ai fait le bon choix en l’installant pour son installation.
C’est
un endroit où s’installent des « pleins aux as »,[58] et il
aurait peut-être aimé se trouver dans un coin plus modeste.
Il
pourra toujours le chercher si tel est son souhait, n’est-ce pas ?
Dans
mon parcours quant à moi, il n’y a pas de « pleins aux as ».
Les
bas salaires me connaissent, ce qui fait par exemple que la pension de retraite[59] qui
m’est allouée, est symbolique.
Avec
la pension versée à mon épouse, plus conséquente que la mienne,[60] nous
arrivons à faire face à divers besoins : alhamdo lillaah.[61]
Déjà,
lorsque nous étions au Maroc, en dépit des situations
« privilégiées » de mon père[62] et de
mon frère aîné,[63]
j’ai attendu de longs mois, avant de toucher ce qui était alloué aux personnes
assujetties au service dit civil, dont j’ai fait partie pendant deux ans, à mon
retour au Maroc.[64]
Et
c’est avec le salaire versé, sans retard, à mon épouse, professeur dans un
lycée, que nous faisions « bouillir la marmite » comme dirait je ne
sais pas qui.[65]
Par
la suite, en ma qualité d’avocat stagiaire, je ne voulais pas de
« l’argent sale », l’argent qui se fait en dehors de l’éthique.
En
France, je n’ai pas changé.
Á
notre retour dans ce pays, je n’ai pas trouvé d’emploi dans l’immédiat.
Cette situation me laissait le temps pour accompagner
nos deux fils à l’école, et les retrouver dès la sortie.
Sur le chemin de l’école, l’eau coulait le long du
trottoir.
Je tenais les enfants chacun par une main en les
encourageant car il fallait d’un saut « traverser la rivière ».
Passer à l’autre rive.
Je
leur contais une histoire et l’eau qui coulait le long du trottoir, c’était
« la rivière » au bord de laquelle il nous arrivait de nous mettre
accroupis, les doigts dans le liquide pour sentir le courant.
Un
père savourant de bons moments.
Je
me remémore avec émotion et reconnaissance.
Après un certain temps, j’ai fini par avoir un emploi
de subalterne.[66]
Il va de soi que je ne m’attendais pas à autre chose
en quittant le Maroc.
Par ailleurs, je ne me suis pas installé en
France pour « faire
carrière » !
Pourquoi avoir quitté le Maroc alors ?
Peut-être
parce que j’avais du mal à me situer.
Je
ne savais pas comment lutter.
Comment
résister.
Je
craignais peut-être de sombrer dans le marécage.
De
devenir une ordure.
De
ne pas échapper à la pourriture.
D’en
être peut-être une victime.
Quelles
étaient mes convictions réelles ?
Quelles
étaient mes vraies motivations ?
Quelles
idées avais-je de la suite de mon parcours ici-bas ?
C’était
flou.
J’étais
inquiet.
J’avais
peur pour mon épouse.
Je
craignais pour nos deux enfants.
Quelle
était la part des facteurs personnels ?
La
part des facteurs familiaux ?
La
part des facteurs sociaux ?
J’ai
quitté le Maroc en août 1981.[67]
Quelques
jours auparavant, je recevais encore des personnes au cabinet où j’effectuais
mon stage d’avocat et je déambulais, avec « la robe noire »[68] au
tribunal où l’avocat est à « la justice », ce que la prostituée est
au proxénète.
Je
suis parti un matin.
En
plein été.
En
pleine lumière.
Quelques
semaines seulement venaient de s’écouler depuis des événements sanglants,[69] à ddaar
lbidaa[70] et dans
d’autres villes, contre le régime de l’imposture :
Les
hommes, les femmes, les enfants en marche.
L’arsenal
du maintien de « l’ordre ».
La
panoplie répressive.
Les
milliers d’arrestations.
Les
camps de détention et de torture.
Les
blessés et les tués.
Les
procès en vertu de la loi colonialiste[71]sur les
manifestations contraires à « l’ordre » et réprimant les atteintes au
respect dû à « l’autorité ».[72]
Des
saisons ont succédé aux saisons.[73]
J’ai
retrouvé, par la miséricorde d’Allaah, ce que j’ai failli perdre.
Penser
à Allaah en observant le jour qui se lève, le soleil et ses lueurs matinales,
la lune quand elle vient après lui, la nuit qui s’étend, les canards qui
évoluent dans l’eau, les oiseaux qui se déplacent dans les airs, et
d’innombrables autres signes.[74]
Faire
ce que je peux ici-bas comme si c’était la demeure de toujours, et me préparer
à rejoindre l’au-delà à tout instant.
Saisir
la dialectique de l’équilibre en Islaam.[75]
J’ai
compris qu’avant même que je ne sois ici-bas, Allaah m’a offert de l’Adorer.
Notre
histoire commence avant notre apparition ici-bas.
Ce
commencement est marqué par notre engagement.
Un
acte par lequel nous reconnaissons qu’Allaah Est notre Seigneur.
Nous
sommes donc créés avec une disposition naturelle à la Croyance à Allaah.
« Alfitra »,[76] la
nature conformément à laquelle nous sommes croyants.
Nous
naissons croyants et croyantes.[77]
Des
changements interviennent ensuite, tout au long de l’existence ici-bas.
Certains
gardent cette croyance, d’autres la perdent et parfois, selon des modalités
différentes, des cheminements divers et des voies multiples, y retournent.[78]
Qu’ai-je
fait de mon engagement ?
Ma
crainte d’Allaah[79]
est grande chaque fois que je me pose cette question qui me renvoie à mes
manquements, à mes égarements, à mes erreurs et autres.
« Par
le soleil et par sa clarté.
Par
la lune quand elle le suit.
Par
le jour quand il l’éclaire.
Par
la nuit quand elle l’enveloppe.
Par
le ciel et par Celui qui l’a construit.
Par
la terre et par Celui qui l’a étendue.
Par
l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.
Et
lui a inspiré son immoralité et sa piété.
A
réussi celui qui l’a purifiée.
Et a
perdu celui qui l’a corrompue ».[80]
Qu’Allaah
me Pardonne et déverse sur moi Sa miséricorde.[81]
Je
reviens à la « Promenade des Anglais », et à l’un de ses bâtiments.
Le
« CUM ».
Le
Centre Universitaire Méditerranéen.
Cela
fait penser à l’Université de Nice, et au régime de l’imposture au Maroc.
En
effet, le « prince héritier » a été mis à la « tête » de
« l’État » à la disparition du tyran dit Hassan II, roi du Maroc,
afin d’assurer la continuité du régime de l’imposture,[82] au
service du système colonialo-impérialo-sioniste.
Cet
autocrate dit Mohammad VI, roi du Maroc, est docteur en droit[83] de
l’Université de Nice,[84] où il
n’a jamais mis les pieds.[85]
Il n’y a pas longtemps, ce figurant a usé de l’un de
ses « droits divins »[86] dit
« droit de grâce » au profit d’un pédophile[87]
d’Espagne, en continuant à porter atteinte à ce qui est fondamental et en
piétinant, comme il l’a toujours fait, les droits les plus élémentaires.
Les
personnes qui ont eu le courage de manifester leur indignation ont eu à faire
face à la répression féroce bien connue.
La
situation ayant pris des dimensions internationales, le régime de l’arrogance
et du mépris a eu recours à ses bavardages stériles, creux, vides, accompagnés
de combines et de magouilles invraisemblables, pour alimenter et entretenir le
faux, apprécié par le système colonialo-impérilo-sioniste, son employeur.
Dans
beaucoup de cas, lorsque ce régime de la turpitude craint les remontrances de
son employeur ─ qui parfois fait semblant de
« désapprouver » ce que lui-même apprécie chez ses employés ─ il fait appel, entre autres, à la cynique et
insultante « technique » du « roi sain » et de
« l’entourage malsain », afin que le premier reste toujours protégé.[88]
Autrement
dit, « le roi sain », « sacré », n’a rien à voir avec ce
qui est commis « à l’insu de son plein gré ».[89]
Et
« alfaçaade »[90]
continue.
C’est
la fin du séjour à Nice.
Nous
avons pris le train à 15 heures 04 et nous sommes arrivés à Paris à 20 heures
43.
Le
« voyage » dans la marche de l’impermanence ici-bas, vers la
permanence de l’au-delà se poursuit quant à lui, et Seul Allaah connaît le début
et la fin de ce « voyage ».
« Ô
être humain ! Qu’est-ce qui t’a trompé au sujet de ton Seigneur, Le Généreux ? »[91]
BOUAZZA
[1] Selon le calendrier dit
grégorien.
[2] Train à Grande Vitesse.
[3] Au lieu de 19 heures 55.
[4] En octobre 2012, ils nous ont offert un séjour au
bord de la mer, en dehors de la période estivale durant laquelle nous fuyons
les côtes surpeuplées.
C’était
à Saint-Jean-de-Luz dans le Pays Basque, au Sud-Ouest, les Pyrénées Atlantiques
(64), en région Aquitaine (j’en est parlé dans un texte intitulé ʺEuskadiʺ).
[5] Département 06.
[6] PACA.
[7] Éditions Philippe
Picquier, Arles, 2013 (ce roman policier a été publié au Japon en 2009).
Driss
Chraïbi, L’homme du Livre, roman, Éditions Balland-Eddif, 1995.
Écrivain d’origine du Maroc, il est arrivé en France
en 1945, il n’avait pas encore vingt ans, pour suivre des études
universitaires.
Il s’est installé dans ce pays et y a vécu jusqu’à la
fin de son existence ici-bas, survenue le premier avril 2007, à l’âge de 81 ans
(il était alors installé à Crest dans la Drôme ; son corps a été ramené au
Maroc et enterré à Casablanca).
Il a beaucoup écrit pour exprimer une sorte de
ʺnostalgie de l’enfanceʺ, pour ʺrappelerʺ, pour ʺne pas oublierʺ, pour ʺse
ressouvenirʺ, pour ʺentrevoirʺ.
ʺFils
du Levant et de la Berbérie écoutez : l’Orient est en voie de mort. Il est
derrière votre dos avec ses Damas, ses Baghdad et ses divisions sans fin qui
ensanglantent la terre et dénaturent la parole de Dieu. Plus jamais vous n’y
retournerez. Vous êtes ici à présent, en Occident, et c’est comme si vous
veniez d’y naître. Parce que, moi, je vous dis que c’est ici, en Occident, que
se lèvera désormais le soleil du monde !ʺ (Naissance à l’aube,
Paris, éditions du Seuil, 1986, p.55-56).
J’ai beaucoup lu cet écrivain, et il
m’arrive donc encore de relire certains de ses écrits, comme celui-ci, en dépit
de quelques inexactitudes dans ce qui est rapporté.
[9] Des charolaises peut-être.
[10] 38.
[11]
Alqoraane, le ʺrʺ roulé, est la continuation, la synthèse et le parachèvement
du Message d’Allaah.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a été chargé
par Allaah de le transmettre.
Une mission de réaffirmation de l’Islaam, et d’annonce
de la fin de la révélation.
[12] Leʺrʺ roulé.
[13] Champ.
[14] Je n’ignore pas que Nice a été arrachée par la
France, avec d’autres territoires, à l’Italie il y a plus d’un siècle.
[15] Et
dont l’embouchure m’a permis d’observer une tourterelle délaissant la mer
salée, pour s’abreuver de l’eau du fleuve, en sachant de science certaine que
l’eau de l’embouchure est douce.
Sobhaane
Allaah, Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
Gloire
à Allaah, Seigneur des univers.
[16] Attribuée à Dante.
[17] ″Au milieu du chemin de ma vie, je me retrouvais dans
une forêt obscure, parce que j’avais perdu le droit chemin″.
[18] Ils tenaient une
boulangerie-épicerie.
[19] Département 26.
[20] Une
énorme importance continue d’être accordée à cette période d’occupation au nom
de ce qui est appelé ʺle devoir de mémoireʺ, entretenu par un flot constant de
publications, de films, d’images, de conférences, de discours, de cérémonies,
de célébrations, de commémorations, d’hommages, de décorations et autres.
Mais
lorsque des personnes des pays qui ont connu le colonialisme et ses horreurs
pendant des dizaines et des dizaines d’années veulent parler de ces horreurs,
la France qui poursuit les horreurs colonialo-impérialo-sionistes leur impose
le silence avec orgueil, arrogance, et mépris en leur demandant de ʺtourner la
pageʺ et même d’être reconnaissants pour l’apport ʺcivilisationnelʺ du
colonialo-impérialo-sionisme ʺqui continue de veiller sur les valeurs de
l’humanitéʺ !
À
la "libération" de la France par exemple, la métropole festoyait
pendant que dans les colonies, les populations qui résistaient au colonialisme
continuaient d’être massacrées partout, même si des centaines de milliers de
personnes parmi ces populations ont servi de chair à canon contre l’Allemagne.
Les
crimes qui se poursuivent, sont des "inventions
des obscurantistes, des fanatiques, des intégristes, des islamistes, des
terroristes, des antisémites, des barbares, des ennemis des lumières, des
femmes, de la démocratie", répètent
lesʺcivilisésʺ.
[21] Le S.T.O.
[22] Trois ans.
[23] Qu’elle n’a pas obtenue,
et qu’elle à laquelle elle ne s’est plus présentée.
[24]
Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est
traduit dans les colonies par la multiplication des "États"
supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de
servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
Le colonialisme a dépecé le Maroc pour en faire une
colonie morcelée et partagée principalement entre la France et l’Espagne.
Le terme de protectorat utilisé, a été considéré
ʺjuridiquementʺ mieux adapté pour ʺcamouflerʺ les crimes colonialistes.
Après avoir commis des horreurs avec le colonialisme
en Afrique, l’État français par exemple, continue de considérer ce continent
comme ses chiottes.
Les occasions ne manquent pas, depuis l’octroi des
ʺindépendances dans les interdépendancesʺ, pour disserter sur les tas de droits
(l’État de droit), l’étable de la loi (les tables de la loi), et poursuivre les
pillages, les persécutions, les oppressions, les destructions et autres.
En métropole, chaque fois qu’un figurant, de droite ou
de gauche, est installé sur le trône du Palais de l’Élysée, il rend visite aux
employés des colonies, aux serviteurs du système colonialo-impérialo sioniste,
dits ʺchefs d’Étatʺ, pour chier un discours, supposé apporter ʺun nouveau
parfumʺ aux indigènes.
Le dernier lauréat du trône, le révolutionnaire de
gauche François Hollande, ne déroge pas à la règle de ceux qui, au niveau
international, distribuent les rôles aux figurants, et tiennent encore à ce que
l’Afrique continue d’être caca africa.
Les colonies restent pour le système
colonialo-impérialo-sioniste des réserves de matières premières et de main
d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les
militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des dépotoirs
multiples et variés et des décharges d’immondices.
Ces colonies sont dotées de moyens pour opprimer,
mâter, briser, terroriser et massacrer ceux et celles qui résistent.
À cet effet, le système colonialo-impérialo-sioniste
leur vend les armes nécessaires et se charge de la formation.
Ces armes sont vendues au prix fort par ce trafiquant,
qui alimente, oriente, entretient et contrôle les conflits armés fomentés entre
ses employés.
Doté d’avions bombardiers des plus performants dans
les exterminations, d’une flotte maritime pour les agressions, d’innombrables
chars de carnage, de missiles, d’équipements militaires les plus récents,
d’armements sophistiqués, d’armes nucléaires, le système
colonialo-impérialo-sioniste entretient et répand la terreur.
Dans ce domaine, une certaine ʺpréséanceʺ est reconnue
à la France en Afrique, qu’elle continue de considérer comme sa ʺchoseʺ.
Ainsi en Afrique, et dans d’autres régions, la merde
gicle et dégouline de partout.
Nauséabonde.
L’esclavage a fait des ravages.
Les crimes colonialistes n’ont rien épargné.
Le système colonialo-impérialo sioniste continue
d’alimenter, d’entretenir et de répandre la puanteur et les ténèbres.
Les régimes mis en place par ce système, sanguinaires
et tyranniques, constituent un terrible virus.
Ce qui a été appelé ʺla fin de l’apartheidʺ en Afrique
du Sud, ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ ou ʺla révolutionʺ dans les
autres parties, n’a pas débarrassé les Indigènes des massacres, des carnages,
des destructions, des pillages, des génocides, des déportations, des
enfermements, des viols, des tortures, des haines, des humiliations, des
corruptions, des débauches, des horreurs et autres crimes.
[25] Après le baccalauréat,
obtenu en 1969.
[26]
C’est à cette époque que j’ai appris qu’en France, les personnes originaires
d’Afrique du Nord, sont appelées bougnoules, sales arabes et autres.
J’ai
commencé alors à vouloir comprendre les divers aspects du processus migratoire
auquel je ne connaissais rien.
Je
me suis lancé dans les ʺarcanesʺ de ce processus concernant les Africains, et
plus particulièrement les Africains du Nord., les ʺbougnoulesʺ.
Et
au long des années, j’ai compris, de mieux en mieux, comment le colonialisme
français a imposé dans les colonies à des populations entières de chercher des
moyens de subsistance dans des conditions inimaginables.
Beaucoup
parmi elles, rurales, se sont trouvées dans des faubourgs de villes nouvelles
coloniales, contraintes de s’adapter à des modes de survie dans des
bidonvilles.
Ces
populations ont connu l’oppression et l’exploitation féroces, la
transplantation forcée dans leur pays d’origine, avant qu’elles ne soient obligées de le
quitter parfois.
Les
régimes mis en place dans les colonies par la suite et qui sévissent toujours,
ont accéléré les migrations pour répondre aux exigences de la métropole, et
pour en faire un trafic qui rapporte.
C’est
dire que le processus migratoire lié au colonialisme français, ne peut pas être
compris en occultant l’histoire de la transplantation d’êtres de sociétés
rurales, d’êtres colonisés, maintenus dans l’ignorance et la misère, dépossédés
et sans moyens dans des sociétés industrialisées.
La France a eu recours à la main d’œuvre colonisée et
transplantée en métropole et il a fallu de longues années pour que des
travailleurs immigrés, dans le cadre dit du regroupement familial, puissent
entreprendre des démarches afin de demander l’autorisation de faire venir leurs
femmes et leurs enfants.
Les
immigrés des colonies ne cessent de faire face à de multiples injustices et
agressions, qui n’épargnent pas ceux et celles qui ont obtenu la nationalité
française.
Le
processus migratoire a bien entendu divers ʺvisagesʺ que beaucoup s’acharnent à
défigurer, afin de masquer ce qu’ils veulent cacher.
Il
importe donc d’essayer sans cesse d’en saisir les développements, les
modifications, les changements, et autres.
[27] Leur fille, que nous
avions connue enfant, n’habite plus avec eux, depuis plusieurs années.
Nous
avions connu aussi ʺla nonnaʺ, la grand-mère, la mère du mari de la cousine.
[28] Une partie du premier étage (le reste appartient à
d’autres personnes) régulièrement entretenue a été entièrement et
magnifiquement rénovée par les soins du mari de la cousine de mon épouse.
La finesse de l’agencement, comme c’est le cas dans
pratiquement tous les logements des Italiens, dénote d’un ancien et grand
savoir-faire des populations dans ce domaine.
[29]
Alwazzane.
[30] Amin
(Amiine) Maalouf, Léon l’Africain, Jean Claude Lattès, Paris1986, page
de présentation.
[31]
Roumii (le ʺrʺ roulé), du mot Romain, désigne au Maroc et ailleurs, ce qui
n’est pas du bled (blad, billaad, pays).
[32] Amin
(Amiine) Maalouf, opt.cit. , p.473.
[33] Le ʺrʺ roulé.
[34]
Driss Chraïbi (Driis Chchraaïbii), la Civilisation ma Mère !...,
Paris, éditions Denoël, 1972, p. 14.
[35] En dehors de quelques
repas pris à l’extérieur, nous avons pris tous nos repas sur le balcon.
[36] Je ne sais pas comment le
troisième, qui n’a pas encore un an, va m’appeler.
[37] Enfant de mon fils aîné
et de son épouse.
[38] Enfant de mon fils cadet
et de son épouse.
[39] Les bienfaits d’Allaah sont innombrables, et il nous
est impossible de les compter.
[40] Assalaate, assalaa.
C’est l’un des piliers majeurs du Message d’Allaah.
En dehors de certains aménagements prévus, rien ne
dispense une personne, saine d’esprit et pubère, d’accomplir la prière durant
l’existence ici-bas.
Les
cinq prières quotidiennes sont d’une obligation impérieuse (outre les cinq
prières quotidiennes, les croyants et les croyantes peuvent accomplir d’autres
prières).
Tous
les Prophètes et Messagers, sur eux la bénédiction et la paix, accomplissaient
la prière et avaient pour mission de l’enseigner (elle a connu des variations à
travers le temps et l’espace, et a été fixée telle que nous la connaissons
aujourd’hui, par Allaah et enseignée par Mohammad, Son ultime Prophète et
Messager, sur lui la bénédiction et la paix).
[41] Al’ibaada.
[42] Le ʺrʺ roulé.
Deux cycles d’actes, deux fois une ʺrak’aʺ (le ʺrʺ
roulé).
[43] Le ʺrʺ roulé.
[44] Le ʺrʺ roulé.
Début de l’après-midi.
[45] Le ʺrʺ roulé.
L’après-midi.
[46] Le soir.
[47] Le ʺrʺ roulé.
ʺGroupement-raccourcissementʺ.
[48] ʺGroupement-avancementʺ
(ou avancé).
[49] Le ʺrʺ roulé.
ʺGroupement-retardement (ou retardé).
[50] Le ʺrʺ roulé.
Le coucher du soleil.
[51] Le vendredi 8 mai.
[52] 6400.
[53] Produits dits de santé,
de compléments alimentaires, de beauté et autres.
[54] Philosophe Chinois (Vème
siècle avant l’ère du calendrier dit grégorien).
[55] Je ris jaune !
[56]
Lieux, entres autres, de rendez-vous en tous genres de pilleurs, de débauchés
et autres, placés par le système colonialo-impérialo-sioniste, à la ʺtêteʺ des
ʺÉtatsʺ dits ʺmusulmansʺ et d’autres ʺÉtatsʺ, pour servir ce système.
Beaucoup
de palaces de ce genre en France et ailleurs, ʺappartiennentʺ à certains de ces
serviteurs du système colonialo-impérialo-sioniste.
Les employés installés à la ʺtêteʺ de ces ʺÉtatsʺ dits
ʺmusulmansʺ, et d’autres ʺÉtatsʺ, assoiffés d’argent, d’horreurs, de vices et
de sang, répandent la pourriture, commettent les crimes les plus abominables,
et les plus nauséabonds, recourent à la torture sous toutes ses formes,
sodomisent et massacrent des hommes, violent, méprisent, humilient et tuent des
femmes, maltraitent et font disparaître des enfants.
Ils ont des comptes bancaires partout, des lingots
d’or, des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur, des fermes modèles,
des haras, des propriétés immobilières sans nombre, des résidences dans les
ʺgrandes capitalesʺ et au bord de ʺplages pour milliardairesʺ, des palaces, des
tableaux de peintres de renom, des cabarets, des boîtes de nuit, des salles de
jeu, des restaurants, des voitures luxueuses, des avions, des bateaux.
Ils affament et détruisent avec l’appui de leurs
employeurs, investissent sans compter dans les lieux de la débauche, se font
livrer par vols entiers des débauchés dits stars, artistes et autres, des
alcools et des drogues à profusion, des mets pour ʺcivilisésʺ que les
ʺbarbaresʺ ne connaissent même pas de nom, raffolent de sexe sans frontières,
de pédophilie et de partouzes mondialistes.
Ils
salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la
dépravation, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux falsifications, aux
trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux enlèvements, aux
séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux liquidations, aux
tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables.
[57]
ʺParmi toutes les nationalités qui se croisaient au rythme des soirées
mondaines niçoises, les Anglais étaient relativement nombreux. C’est d’ailleurs
à l’un d’entre eux, le révérend Lewis Way, que l’on doit la création de la
célèbre Promenade des Anglais.
En
1821, il effectue, aidé de ses proches, une levée de fonds auprès de ses
compatriotes. Cet argent lui servira à financer la construction du célèbre
chemin de bord de mer mais aussi à fournir un travail à de nombreux mendiants
et travailleurs niçois qui souffraient à cette période d’une mauvaise
conjoncture économique.
En
1924, date de fin des travaux, le littoral niçois est dorénavant doté d’un
chemin propice aux balades paisibles, la « Strada del littorale »
Elle
a rapidement gagné en popularité et est devenue un lieu touristique
incontournable.
Les
niçois ont cependant rapidement pris l’habitude de l’appeler « el Camin
dei Ingles », à savoir, la Promenade des Anglais.
C’est
le nom que l’histoire retiendra officiellement au moment de l’annexion de Nice
par la France en 1860ʺ.
(Promenade
des Anglais : origine et histoire. Belambra, internet).
[58] Pleins d’argent.
[59] J’ai
décidé d’arrêter l’activité dite professionnelle à l’âge de 58 ans, et mes
années de cotisations à la retraite sont très insuffisantes, compte tenu en
plus, de l’année où j’ai eu un travail salarié en France, après avoir quitté le
Maroc.
[60] Elle a cotisé plus
longtemps que moi, et son salaire était supérieur au mien.
[61] La louange est à Allaah.
[62] Magistrat, puis avocat en
quittant l’administration, deux ans après mon retour au Maroc.
C’est
dans le cabinet qu’il a ouvert où j’ai exercé comme avocat stagiaire.
[63] Député en détachement
d’un poste de haut fonctionnaire.
[64] En
retournant au Maroc, je devais en effet effectuer deux ans de service civil,
appelé par les personnes assujetties à cette obligation, ʺservice si vilʺ.
À l’époque, un étudiant qui avait au moins une licence
universitaire, était, pendant deux ans, assujetti à ce service.
Dés les premiers temps de ma ʺprise de fonctionʺ, je
m’étais fait remarquer ʺnégativementʺ, en soulignant que les diplômés, ʺcadresʺ
assujettis au ʺservice civilʺ, n’avaient pas les moyens de travailler, d’être
au service de l’intérêt général, et que c’était ʺinadmissibleʺ.
Je ne mesurais pas que mes bonnes intentions pouvaient
se traduire par de graves conséquences pour ma famille et moi.
[65] Nos
revenus étaient cependant plus que très largement supérieurs à ceux de
l’écrasante majorité des populations du Maroc.
[66] Mon attachement à l’éthique ne pouvait cohabiter avec
l’idée de chercher à ʺgrimper les échelonsʺ, en faisant abstraction de ce dont
je ne peux pas m’accommoder.
[67] J’ai quitté le Maroc une première fois, après le
baccalauréat, pour des études universitaires en France où je suis resté sept
ans.
Je suis retourné au Maroc en 1977, avec mon épouse et
notre premier fils.
Au bout de quatre ans, je l’ai de nouveau quitté avec
mon épouse et nos deux fils (le deuxième fils est né au Maroc) pour nous installer en France où nous sommes
encore, par la miséricorde d’Allaah.
Nos deux fils sont ingénieurs, époux et pères,
ʺalhamdo lillaahʺ.
[68] Introduite aussi par le
colonialisme français.
[69] Événements du mois de
juin 1981.
[70] Addaar albaydaa-e (le ″r″
roulé), la maison blanche, Casablanca.
[71] Loi
du 29 juin 1935, mise en place par la France colonialiste au Maroc colonisé, et
appliquée par le régime de l’imposture,
de ″l’indépendance dans
l’interdépendance″, contre les
indigènes.
Ce
régime est fondé sur le crime, la trahison, la tromperie, la corruption,
l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression,
l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de
l’être humain.
[72] Souvent, lorsque quelqu’un me demande pourquoi j’ai
quitté le Maroc, je réponds par le silence, parce qu’il ne m’est pas simple de
répondre de manière satisfaisante à cette question.
Parfois, je réponds par un
rire.
Il m’arrive aussi de dire, en
riant, que je suis parti parce que je ne suis pas resté, ou que je suis parti
parce que je connais.
Dans tous ces cas, je crois que c’est une manière de
signifier qu’il vaut mieux parler d’autre chose.
Il
m’est arrivé d’écrire que je n’étais pas dans ʺla justificationʺ à posteriori,
en notant que j’ai quitté le Maroc pour fuir l’atmosphère avilissante
entretenue et répandue par un régime corrompu, fondé sur l’imposture, et
maintenu par le système colonialo-impérialo-sioniste.
À l’époque où j’ai décidé de
partir, je ne m’exprimais pas ainsi, mais je ne le sentais peut-être pas
autrement.
J’ai
quitté le Maroc surtout pour ramener mon épouse au pays qu’elle a quitté afin
de m’accompagner, pour protéger nos enfants et ─
je le dis en mots que je n’étais pas en mesure d’utiliser à l’époque ─
ʺpour ne pas me faire vider de ce qui me remplit avant même que je ne
sois de ce mondeʺ.
[73] Il m’est arrivé d’écrire que je n’étais pas dans ʺla
justificationʺ à posteriori, en notant que j’ai quitté le Maroc pour fuir
l’atmosphère avilissante entretenue et répandue par un régime corrompu, fondé
sur l’imposture, et maintenu par le système colonialo-impérialo-sioniste.
À
l’époque où j’ai décidé de partir, je ne m’exprimais pas ainsi, mais je ne le
sentais peut-être pas autrement.
Brrchiid(Berrechid) pour des populations du Maroc,
reste synonyme de ʺlieu d’enfermement psychiatriqueʺ.
Cela renvoie au colonialisme français.
En effet, sur la route de Mrraakch (Marrakech), à une
quarantaine de kilomètres de Ddaar bidaa (Casablanca), au lieu-dit Brrchiid, un
bourg agricole, le colonialisme français avait installé le ʺcélèbre hôpital
neuropsychiatriqueʺ.
Des populations du Maroc disent, aujourd’hui encore,
de quelqu’un qui ʺdéraisonneʺ, ʺkhssou brrchiideʺ (il lui faut Brrchiid).
Dans ce ʺcélèbre hôpital neuropsychiatriqueʺ, le
colonialisme français avait réservé une partie des locaux aux indigènes (les
populations colonisées).
Une sorte d’étable avec des cellules où l’on n’aurait
pas mis même des bêtes maltraitées.
Les indigènes, nus, étaient enfermés, entassés sur la
paille où ils dormaient, faisaient leurs besoins (pissaient et chiaient) et
tentaient de survivre, lorsqu’ils arrivaient à récupérer ce que des
ʺinfirmiersʺ leur jetaient comme ʺnourritureʺ.
Certains
mouraient de faim (les faits de ce genre sont toujours niés par les
ʺcivilisateursʺ).
En
matière de lieux d’enfermement, de prisons, de bagnes et autres horreurs, la
France s’y connaît et bat des records.
En
métropole, jusqu’à une date récente, même les enfants étaient envoyés aux
bagnes.
Le
pays des ʺDroits de l’Hommeʺ est celui de leur négation dans de multiples
domaines.
Et cela continue.
L’horreur, fait partie des moyens utilisés par le le
système colonialo-impérialo-sioniste dans ses rapports avec les indigènes qui
ont été, malgré une fabuleuse résistance, victimes de haines, de crimes, de
massacres, de tueries, de destructions, de viols, de tortures, d’humiliations,
de répressions et autres atrocités (des atrocités qui ne leur étaient pas
inconnues avant ce système et dont elles ne se sont pas débarrassées avec
ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ) ; lorsque j’ai fui le Maroc, des
personnes avaient dit : ʺkhssou Brrchiideʺ.
[74] Aayaate.
[75] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même
institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa
almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
L’Islaam a trait au Message d’Allaah, Message qui,
pour ce qui est des êtres humains, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques,
les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations
arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations
répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes
malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les
amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises
de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et
maintenir l’imposture.
[76] Le ʺrʺ roulé.
[77] Mouminoune wa mouminaate.
[78] Et lorsqu’une personne après des errements
retourne à la croyance à Allaah, c’est le "retour
du cœur dans sa patrie" comme le
dit pour ce qui le concerne Léopold Weiss, qui a choisi de s’appeler Muhammad
Asad (Mohammad Açad).
[79] ʺÔ vous qui avez cru ! Craignez Allaah comme Il
doit être craint et veillez à ne mourir que musulmansʺ.
Alqoraane
(le Coran), sourate 3 (chapitre 3), Aal ‘imraane (le ʺrʺ roulé), La famille de
‘Imraane, aayate 102 (verset 102).
ʺC’est Allaah qui Est digne de votre crainte si vous
êtes croyantsʺ.
Alqoraane
(Le Coran) sourate 9 (chapitre 9), Attawba, Le Repentir, aayate 13 (verset 13).
[80]
Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à
aayate 10 (verset 1 au verset 10).
[81] Arrahma (le ʺrʺ roulé).
[82] Ce régime de l’imposture, tyrannique, perfide,
obscène, dépravé, corrompu, cynique et autres, considère que tout lui est
permis, s’autorise le pire, ne recule devant rien pour piétiner la dignité,
humilier, sévir et user de son mépris à tout bout de champ.
[83] Et
pas ʺhonoris causaʺ pour je ne sais quel tour de passe-passe ou prédisposition
ʺparticulièreʺ, mais avec ʺsoutenanceʺ de thèse...jury... au...Maroc...
[84] Sophia-Antipolis.
[85] En
1993, ʺla soutenanceʺ de ʺsa thèseʺ intitulée ʺLa coopération entre la
Communauté Économique Européenne et l’Union du Maghreb Arabeʺ a eu lieu, avec
transport et rapatriement du jury au Maroc, où il était encore ʺ prince
héritierʺ.
La
mention ʺtrès honorableʺ lui a été décernée bien sûr.
[86] La
personne du roi est ʺsacréeʺ, et le système colonialo-impérialo-sioniste a fait
ce qu’il fallait afin de faire d’un ʺsultanatʺ moribond, ʺlmkhznʺ, une
monarchie héréditaire, dite de ʺdroit divinʺ.
Lmkhzn.
Almakhzane.
Le
makhzen.
Terme
qui renvoie à magasin, et qui s’appliquait à l’origine à l’entrepôt de stockage
des vivres accumulés par ʺle sultanʺ, du mot arabe ʺsoltaaneʺ, titre que
s’attribuait au Maroc un personnage soutenu par un groupe ou plusieurs, un clan
ou plus, appuyé par des moyens armés, religieux, économiques, culturels et autres, pour dominer une
population, contrôler un territoire et exercer la tyrannie en imposant ce qui a
été appelé en français un ʺsultanatʺ.
Avant
le colonialisme, cette tyrannie avait du mal à s’imposer face aux luttes des
populations et le ʺpouvoirʺ du ʺsultanʺ était limité à ce que le colonialisme a
appelé ʺbled lmkhznʺ (le pays du makhzen) ou ʺMaroc utileʺ, face à ce qu’il a
appelé ʺbled sibaʺ (pays de l’anarchie ou Maroc inutile) pour désigner les
régions qui contestaient le ʺpouvoir″ du sultanʺ.
La
soldatesque colonialiste a fait en sorte que ʺle sultanatʺ regroupe le ʺMaroc
utileʺ et le ʺMaroc inutileʺ.
ʺLe
sultanʺ est devenu ʺroiʺ et ʺle sultanatʺ a été transformé en ʺmonarchie
héréditaireʺ dite ʺde droit divinʺ.
Une
tyrannie qui se réfère toujours à l’Islaam pour tenter de donner une sorte de
ʺlégitimitéʺ à l’imposture que l’Islaam rejette, dénonce, condamne et combat.
Les
croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) savent que des régimes
de ce genre, n’ont rien à voir avec l’Islaam, que les individus placés à leur
ʺtêteʺ sont des imposteurs et que depuis des lustres, aucun État Musulman
n’existe plus, nulle part.
ʺL’indépendance
dans l’interdépendanceʺ continue l’imposture.
Ce
régime est toujours appelé ʺlmkhznʺ, et le despote dit roi jouit, comme son
prédécesseur, de titres usurpés, dont celui de ʺcommandeur des croyantsʺ (amiir
almouminiine) dont il se sert avec une arrogance sans borne.
Il
savoure le maintien de l’acte d’allégeance (bay’a), rendu humiliant par des
imposteurs.
Il
continue de mettre cet acte en scène, chaque année, avec ʺles dignitaires du
régimeʺ, des figurants, s’inclinant devant l’idole qu’ils adorent, glorifient
et vénèrent, lors d’une cérémonie détestable.
Se
proclamant, comme son tyran prédécesseur, à la ʺtêteʺ d’un ʺÉtatʺ dit
ʺmusulmanʺ, son statut de ʺguide religieuxʺ s’appuie sur la légende qui fait de
lui un descendant de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix.
Il
s’en fout de savoir que l’un des oncles paternels de Mohammad sur lui la
bénédiction et la paix, faisait partie de ses pires ennemis.
Et d’autres imposteurs installés à la ″tête″ des
″États″ dits ″musulmans″, ne cessent de se faire faire ″des arbres
généalogiques″ leur attribuant ″des liens de parenté″ avec Mohammad sur lui la
bénédiction et la paix, afin de continuer à alimenter et à entretenir des
fictions, en tentant de faire croire aux populations des pays où ils sévissent,
que ces liens les ″légitiment″, alors qu’ils savent parfaitement, qu’ils sont
dépourvus de légitimité.
Á
divers niveaux, ils s’octroient des positions dans de multiples domaines,
prétendent à des places à part en invoquant cette ʺfiliationʺ qui se traduit,
selon eux, par ʺun droit naturel à la noblesseʺ, à ʺl’autoritéʺ, à ʺla
reconnaissanceʺ, à ʺla respectabilitéʺ, à ʺla considérationʺ, au ʺprestigeʺ,
aux ʺélogesʺ et autres.
Ces
appellations usurpées rendent ces imposteurs encore plus méprisables.
Le
despote du Maroc, bouffi d’orgueil, d’une avidité sans limite, est l’un des
premiers ʺdébiteursʺ de boissons alcoolisées, est l’un des plus amasseur
d’argent pillé de la planète.
Le
pillage, la tyrannie, la débauche, la torture, les mauvais traitements, les
violations des droits, la corruption généralisée et autres se poursuivent.
Ce régime de l’imposture continue de piétiner la
dignité, d’humilier, de sévir et d’user de son mépris des populations qu’il ne
voit que serviles.
Il
est nécessaire par conséquent de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler
que ce despote, comme d’autres imposteurs, continue de combattre et de
brouiller ce qui se rapporte à l’Islaam, afin de continuer à alimenter et à
entretenir le faux, la discorde, la turpitude et autres.
Dans
beaucoup de ce qui est écrit, je ne fais que répéter ce dont j’ai déjà parlé
plus d’une fois
[87] La
débauche sexuelle bat son plein au Maroc.
La
pédophilie est très répandue.
Des
ʺautochtonesʺ, comme dirait l’autre, s’y adonnent, et tout le monde le sait.
Des
dévoyés, pervers et pourris ʺautochtonesʺ, d’autres personnes de pays dits
« musulmans », et de divers pays de la planète, participent ainsi à
conserver au Maroc corrompu sa place de bordel où le débauché est roi.
[88] le système colonialo-impérialo-sioniste a
protégé (protectorat) le régime du ″sultanat″ contre les populations.
La
protection, élargie, se poursuit.
[89] L’expression ″à l’insu de
son plein gré″ a été lancée par l’émission télévisée ″les guignols de l’info″ sur ″canal plus″ en France.
Cette émission utilise des marionnettes pour
représenter des personnes des milieux politiques, artistiques, sportifs et
autres.
Elle ″croque l’actualité″, comme dirait je ne sais qui, et se veut une sorte de
parodie un peu de tout.
Elle s’est ainsi saisie de l’affaire du dopage de
l’équipe cycliste ″Festina″ pendant le tour
de France de 1998.
Le coureur ″vedette″ de cette équipe, Richard Virenque (tiens, il est né
au Maroc), a nié s’être dopé ″intentionnellement″.
Il a été mis en examen, exclu du tour de France et
condamné à une suspension sportive d’une année.
Sa marionnette dans ″les
guignols de l’info″ ne cesse de répéter que le dopage s’est fait ″à l’insu de son plein gré″.
Chaque fois que quelqu’un recours à la dénégation,
cette expression est alors utilisée pour en parler.
[90] La puanteur dans tous les
domaines.
[91] Yaa ayyohaa alineçaane
maa gharraka birabbik alkariime ?
(Les ″r″ roulés).
Alqoraane (Le Coran), sourate 82 (chapitre 82),
Alinefitaar ((Le ″r″ roulé), La Fissuration, aayate 6
(verset 6).
Voir :
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