L’Islaam,
depuis Aadame[1] sur lui la bénédiction et
la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer[2]
Allaah, comme Allaah le demande.[3]
L’Islaam
n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe,
de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les
représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne
peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État[4]
des croyants et des croyantes,[5]
n’existe plus, nulle part.
Les « États » qui prétendent l’être sont
fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption,
l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression,
l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce,
les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus,
nulle part, mais les membres de la communauté[6] des
croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde[7]
d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
L’Islaam
a trait au Message d’Allaah, Message qui, pour ce qui est des êtres humains,
est adressé à toute l’humanité.
Les
bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les
commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de
dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus
outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les
tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les
menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et
autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion,
l’imposture.[8]
BOUAZZA
[2] Adoration, ‘ibaada.
[3] ʺEt quiconque désire une religion autre que l’Islaam,
ne sera point agrée et il sera dans l’au-delà parmi les perdantsʺ.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 3 (chapitre 3), Aal ‘Imraane, La Famille de ‘Imraane,
aayate 85 (verset 85).
[4] Ou
la même institution appelée autrement.
[5] Almouminoune wa almouminaate.
[6] Alomma, la matrie.
[7] Rahma (le ʺrʺ roulé).
[8] Je ne
fais que reprendre ce dont je ne cesse de parler.
Voir :
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