Au
temps de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la
paix, chargé de transmettre Alqoraane,[3]l’hostilité
des ennemis de l’Islaam[4] s’est
manifestée ouvertement, lorsque almoslimoune et almoslimaate[5] ne se
cachaient pas pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Le
témoignage des croyants et des croyantes, proclamé, renouvelé et transmis, avec
ce qui s’en suit, à travers le temps et l’espace, aiguise le ressentiment des
ennemis qui ne supportent pas qu’Allaah l’Unique soit Adoré.
Les
musulmans et les musulmanes ont eu alors à faire face à de multiples épreuves.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix ─ comme d’autres Prophètes et
Messagers sur eux la bénédiction et la paix ─ résistait aux persécutions.
Il
était injurié, calomnié, accusé de mensonges, maltraité, humilié, marginalisé,
persécuté, pourchassé et menacé d’être tué.
Une
femme et son époux, Soumayya et Yaaçir,[6] avec
d’autres,[7] ont été
torturés et assassinés par les idolâtres, dont Abou Jahl,[8] l’un des
pires opposants à l’Islaam.
‘Ammaar,
le fils de de Soumayya et de Yaaçir a subi également des tortures, a été soumis
à de terribles supplices et a failli être assassiné.
Bilaal, l’esclave noir qui était parmi les premiers
compagnons de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et
la paix, a compris que l’affranchissement est dans la résistance pour l’Islaam.
Il a survécu aux pires supplices.[9]
Ces
résistants, hommes et femmes, comme tous ceux et celles qui, ici et ailleurs,
sont injuriés, humiliés, torturés, enfermés, pourchassés, liquidés parce qu’ils
Adorent Allaah l’Unique, ne seront jamais vaincus et leur résistance, soutenue
par Allaah, continuera jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
« Et
ne dites pas de ceux qui sont tués dans le chemin d’Allaah[10] qu’ils
sont morts. Ils sont plutôt vivants, mais vous ne le sentez point ».[11]
Les
ennemis de l’Islaam, avec Abou Jahl à leur tête, ont décidé de bannir Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, son épouse et
d’autres croyants et croyantes.
Les
épreuves ont été dures, les souffrances nombreuses et le blocus,
impitoyablement appliqué.
Peu
de temps après la fin du bannissement et la levée du blocus, s’est achevée
l’existence ici-bas de Khadiija,[12]
qu’Allaah la bénisse et déverse sur elle Sa miséricorde, l’épouse qui couvrait
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, de
son amour sans faille, qui lui était d’un soutien de tous les instants, qui n’a
jamais cessé de lutter à ses côtés et qui a partagé les dures épreuves avec
lui.
Surmontant
sa peine et sa douleur, Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix, s’est rendu à Attaaif,[13] à l’Est
de Makka,[14]
afin de continuer à rappeler le fondement du Message d’Allaah depuis toujours :
Laa Ilaah[15]
illaa Allaah.[16]
Il a
fait face, encore une fois, aux attaques, aux insanités, aux agressions et à la
violence.
Blessé et saignant, il s’est réfugié dans un verger pour
échapper au lynchage.
Treize
années après le début de sa mission,[17]
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix,
constamment menacé par les ennemis de l’Islaam, a quitté Makka pour Yatribe[18] où la
population attendait son arrivée, saluée par le célèbre chant : Tala’a
albdr[19]
‘alaynaa.[20]
La
première préoccupation de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix en arrivant à Yatribe, a été d’aménager un lieu de
prière,[21]
« masjid »[22] aux
travaux duquel il a participé activement et avec entrain, comme les autres.[23]
Un
enthousiasme qui va marquer la marche pour la construction de l’État[24] des
croyants et des croyantes.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, s’est occupé,
bien évidemment, de l’organisation des différents groupes de la population afin
d’asseoir les bases de cet État.
Mohammad
Hamiid Allaah en parle en notant :
« À son arrivée à Médine,[25] il ne
trouva pas seulement l’anarchie, mais même l’absence de vie civique organisée.
Il convoqua une assemblée des représentants de toutes les tribus de la région,
musulmans et non-musulmans (incluant des arabes idolâtres, des juifs et des
chrétiens) et leur proposa l’établissement d’une cité-état dans le but
principal de faire régner l’ordre à l’intérieur et se défendre contre les
invasions extérieures.
Ceux
qui acceptèrent établirent un document contenant les droits et les devoirs de
l’administrateur et des administrés. Il nous est parvenu dans son intégralité
et forme la première constitution écrite d’un État dans le monde, promulguée
par le souverain et présentant toutes les exigences de la vie politique :
indépendance à l’égard du reste du monde, tolérance religieuse à l’égard des différents
groupes de la population, organisation de la justice, assurance sociale,
défense, relations étrangères, législation etc…
Les
non-musulmans jouissaient de l’autonomie non seulement pour leur religion et
leur statut personnel, mais également dans les domaines de la justice, de la
loi etc… ».[26]
« Almohaajiroune »,[27] ont été
accueillis par « alançaar »,[28] et
tous, dans l’amour d’Allaah et sous la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète
et Messager sur lui la bénédiction et la paix, vont renforcer l’esprit de la
communauté[29]
qui en dépit des multiples vicissitudes, a résisté, résiste et continuera la
résistance jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Lorsque
Mohammad sur lui la bénédiction et la paix s’est rendu, avec des croyants et
des croyantes pour accomplir « al’omra »[30] à
Makka, occupée par les ennemis de l’Islaam, ceux-ci s’attendaient à voir Mohammad
sur lui la bénédiction et la paix, avec ceux et celles qui l’accompagnaient,
dans un état de misère, de dénuement, de faiblesse, d’épuisement et autres qui
ne pouvait que réjouir ceux et celles qui s’opposent à l’Islaam.
Mohammad
sur lui la bénédiction et la paix, et les autres croyants et croyantes, en
dépit d’un voyage de plusieurs centaines de kilomètres, dans les dures
conditions de l’époque, ont accompli « attawaaf »[31] dans
une moralité sans faille, une discipline, un recueillement, une force, un élan,
une vivacité, une ardeur, un enthousiasme et une foi magnifiques.
Parmi
les sept tournées prescrites, les trois premières ont été accomplies d’un pas vigoureux,
décidé, accéléré, rapide,[32]
démentant tous les ʺpronosticsʺ malveillants des ennemis de l’Islaam.
Les
quatre tournées suivantes ont été accomplies lentement, toujours avec assurance,
détermination et reconnaissance envers Allaah L’Unique.[33]
Á
travers le temps et l’espace, la marche des croyants et des croyantes a brillé,
brille et brillera d’un éclat inégalable, l’éclat de la croyance à Allaah
l’Unique, l’éclat qui n’est perçu que par les coeurs non atteints de cécité.[34]
La
marche continue.
« Et l’avenir est à la piété ».[35]
BOUAZZA
[1] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même
institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa
almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
L’Islaam a trait au Message d’Allaah, Message qui,
pour ce qui est des êtres humains, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques,
les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations
arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations
répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les
propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes,
les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les
entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour
entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[2]
Almouminoune wa almouminaate.
[3]
Alqoraane (Le Coran) est la continuation, la synthèse et le parachèvement du
Message d’Allaah.
Assonna
a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on
parle de hadiite (hadite, hadiith, haditn) ,cela renvoie à ce qui a été
rapporté concernant la conduite de Mohammad, sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane
n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna
procède d’Alqoraane.
[4] Des membres de la famille de Mohammad, l’ultime Prophète
et Messager sur lui la bénédiction et la paix, faisaient partie de ces ennemis,
tel l’oncle paternel ‘Abd Al’ozza Ibn ‘Abd Almottalib, surnommé Abou Lahab.
Alqoraane lui a annoncé l’Enfer, ainsi qu’à son
épouse.
″Que périssent les deux mains d’Abou Lahab et que
lui-même périsse. Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu’il a acquis. Il sera
brûlé dans un feu plein de flammes. De même que sa femme, la porteuse de bois.
Avec une corde de fibres, attachée à son cou.″
Alqoraane (Le Coran), sourate 111 (chapitre 111),
Almaçad, Les Fibres, aayate 1 à aayate 5 (versets 1 à verset 5).
Cela n’a pas dissuadé les criminels, sanguinaires,
tyrans et imposteurs, aujourd’hui au service des employeurs du système
impérialo-colonialo-sionistel, installés à la ″tête″ des ″États″ dits ″musulmans″, de se faire faire ″des
arbres généalogiques″ leur attribuant ″des liens de
parenté″ avec Mohammad sur lui la bénédiction et la paix, afin
de continuer à alimenter et à entretenir le faux et l’ignorance, en tentant de
faire croire aux populations des pays où ils sévissent, que ces liens les ″légitiment″, alors
qu’ils savent parfaitement, qu’ils sont dépourvus de légitimité.
Ces traîtres s’octroient dans ce domaine des titres
qui les rendent encore plus méprisables.
[5]
Les musulmans et les musulmanes.
[7]
Qu’Allaah les bénisse tous et toutes, les couvre de Sa miséricorde et nous
réunisse au ″Frdaws Ala’elaa″, le Paradis Suprême.
[8] ‘Amr Ibn
Hichaame Ibn Almoghiira (les ″r″ roulés), surnommé Abou Jahl (le père de
l’ignorance).
Il
s’attaquait à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et
la paix, l’injuriait et l’avait même blessé en le frappant.
Cet
ennemi d’Allaah qui rêvait d’en finir avec la résistance des croyants et des
croyantes, a été tué par les résistants et les résistantes de l’Islaam,
conduits par Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et
la paix, lors de la bataille de Badr (le ″r″ roulé).
[9] Abou
Bakr, appelé plus tard Abou Bakr Assidiiq (le véridique), le plus proche compagnon
de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a
payé la forte somme exigée par celui qui était décidé à lui faire subir le pire
jusqu’à sa mort.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a désigné
Bilaal par la suite comme ″mouaddine″ (qui assure l’appel à la prière).
Le
mot est devenu ″muezzin″ en français.
[10]
Dans la Voie d’Allaah, dans le sentier d’Allaah, pour la cause d’Allaah, pour
le Message d’Allaah.
[11]
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (La Vache), aayate 154
(verset 154).
[12] Khadija
qu’Allaah la bénisse et la couvre de Son Amour.
[13]
Attaa-i-f.
[14]
La Mecque, en Arabie.
[15]
Divinité.
[16]
Il n’y a de Ilaah qu’Allaah.
[17]
Qui va durer vingt trois années.
[18] Où
l’ont devancé des croyants et des croyantes, bénéficiaires de l’accueil de
leurs frères et sœurs en Islaam.
Cet
exil de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la
paix, alhijra (le ″r″ roulé), l’hégire, l’émigration,
marque le point de départ, l’an 1 d’alhijra, selon le calendrier des croyants
et des croyantes (cet an 1 correspond à 622).
Avant
cet exil, des croyants et des croyantes ont été accueillis et bien traités à
Alhabacha (l’Abyssinie, l’Éthiopie) où ils ont pu échapper aux persécutions des
ennemis d’Allaah.
Par
la suite, ils ont rejoint leurs frères et sœurs en Islaam, à Yatribe.
[20] La pleine lune s’est levée au dessus de nous.
[21]
Qui est également un lieu d’apprentissage et d’enseignement dans la Voie
d’Allaah.
Le mot ″masjid″, est devenu mosquée en français.
[23] Les
appartements privés de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix, ont été aménagés autour du ″masjid″.
Il y a vécu avec ses femmes, qu’Allaah les bénisse et
les couvre de Sa miséricorde et de Son Amour, jusqu’à sa mort.
Il
est enterré dans la chambre qu’il partageait avec son épouse ‘Aaicha.
Alaswad a demandé à ‘Aa-i-cha, qu’Allaah la bénisse,
comment agissait le Prophète sur lui la bénédiction et la paix, avec les siens
(comment il était au sein de son ménage).
Elle a dit qu’il était au service des siens (il
accomplissait les taches ménagères).
Sahiih AlbokhaariI (l’authentique de Boukhari),
Bayroute (Beyroute), Loubnaane (Liban), éditions Daar Alqalame, 1407(1987),
tome 4, baab (chapitre) 562, hadite (hadith) 921, p. 334-335.
[24]
L’utilisation de ce terme n’écarte pas d’autres appellations.
[25]
Yathrib, Yatribe, Almadiina.
[26]
Muhammad hamidullah, Problèmes
constitutionnels aux premiers temps de l’Islam, Paris, Dar Alazhar, 1988,
p. 41-42
Le
titre aurait dû être par exemple « Problèmes
constitutionnels aux derniers moments de la vie de l’ultime Prophète et
Messager sur lui la bénédiction et la paix ».
S’agissant
des êtres humains, l’Islaam remonte à Aadame sur lui la bénédiction et la paix.
Aujourd’hui,
″l’État″ des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle
part, mais les membres de la communauté
des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la
miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Les
disciples, les partisans de Yatribe.
Ceux
et celles qui, en adhérant à l’Islaam, ont demandé à Mohammad, l’ultime
Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, de venir s’installer à
Yatribe, en l’assurant de leur protection.
Le fondement de cette ″omma″ procède du fondement du Message d’Allaah depuis
Aadame sur lui la bénédiction et la paix.
L’identité qui en découle, l’identité des croyants et
des croyantes depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix, permet de sortir
des ténèbres à la Lumière, de témoigner, de rappeler, de transmettre.
Lorsque,
à la mort d’Abou Bakr Assiddiiq, la désignation de ‘Omar Ibn Alkhattaab pour
lui succéder à la tête de l’État a eu
lieu, ‘Omar Ibn Alkhattab, tout en acceptant de servir et d’assumer ses
responsabilités, n’a pas manqué de s’interroger sur la politique à suivre afin
d’assurer au mieux sa fonction dans le respect du Message d’Allaah et des enseignements
de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Il
a exprimé en public sa crainte devant cette lourde tâche et sa peur de faillir
à son devoir vis à vis des croyants et des croyantes.
Dans
l’assistance, des personnes l’ont rassuré et lui ont fait savoir que tout
manquement à sa mission serait combattu, au besoin par les armes.
Après
les avoir écoutées, ‘Omar a remercié Allaah qui a fait de lui un membre de
cette prodigieuse ″Omma″ d’Alqoraane et d’Assonna.
Après
Abou Bakr Assidiiq et‘Omar Ibn Alkhattaab, il y a eu ‘Othmaane Ibn ‘Affaane et
‘Aliyy Ibn Abii Taalib.
Ce
sont les quatre chefs de l’État des croyants et des croyantes, dits ″alkholafaa-e arraachidoune″ (les successeurs bien guidés).
Ils
étaient des compagnons de Mohammad, l’ultime prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix.
[30]
Le ʺrʺ roulé.
Traduite par petit pèlerinage.
[31] Traduit par circumambulation, ʺattawaafʺ consiste
pour les croyants et les croyantes, à effectuer, pendant « alhajj »
(le pèlerinage) ou « al’omra » (petit pélerinage), les tournées
prescrites autour d’« alka’ba » (la Kaaba) à Makka.
[32]
Traduit par ʺharwalaʺ (le ʺrʺ roulé).
[33]
Les sept tournées prescrites, continuent d’être accomplies ainsi.
[34] ʺCe ne sont pas les yeux qui sont atteints de cécité,
mais les cœurs qui sont dans les poitrinesʺ.
[34] Alqoraane
(Le Coran), sourate 22 (chapitre 22), Alhajj, Le Pèlerinage, aayate 46 (verset
46).
[35]
Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Voir :
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