Au Maroc, les populations locales contaminées,[1]
alimentent et entretiennent la corruption des moeurs,[2] clé
de voûte du régime de l’imposture.
Tout est fait pour que le virus se répande encore et
encore.
Les festivals,[3] les
concerts et les multiples manifestations internationales tendent à consolider le
règne de la débauche.
S’agissant de sexe, la fornication bat son plein,
l’adultère est partout, la prostitution fait rage, la pédérastie est enracinée,
la sodomie est courante, le lesbianisme est implanté, et les pédophiles n’ont
que l’embarras du choix.
Comme
les autres colonies, le Maroc reste pour les métropoles une réserve de matières
premières, de main d’œuvre, un marché pour tout écouler, un point stratégique
recherché, un terrain d’expérimentation dans divers domaines, un dépotoir
varié, et bien entendu un lieu où le débauché est roi.
Il est fait appel à maintes supercheries afin que les
colonies « où le soleil est chaud »,[4] soient
mises à con-tribution[5] dans la
diversité cul-turelle.[6]
Dans des palaces et des résidences, des représentants
des métropoles s’y vautrent, et y sont accueillis dans les règles de la
soumission dite« hospitalité ».
Et après des orgies et autres ébats[7]
habituels, des commu-niqués,[8]
toutes tendances con-fondues,[9]
cherchent à faire sentir l’esprit « de pet »[10] qui
caractérise ces « échanges ».
Le Maroc s’est vu octroyer, depuis des décennies,
« l’indépendance dans l’interdépendance », dite aussi
« indépendance nationale », « révolution populaire », et tutti
quanti.
Cela se rapporte en fait au statut qui s’est traduit, comme
dans d’autres colonies, par la mise en place de figurants subordonnés avec plus
ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des
métropoles et autres employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste.
Ces figurants ─ dont beaucoup se disent adeptes de ce
que leurs employeurs appellent « l’islam de tolérance » par analogie
aux maisons du même nom ─ sont installés à la « tête »
d’« États » fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement et la négation de l’être humain.
Les figurants s’acquittent des tâches qui leur sont
assignées par des employeurs qui s’en débarrassent dès qu’ils ne servent plus,
et les remplacent par de plus serviles, qui n’attendent que « ça ».[11]
BOUAZZA
[1] Et qui ne cherchent pas à
s’attaquer aux causes de la contamination.
[2] Alfahchaa-e.
[3]
Durant le dernier en date, dit ʺmawazineʺ, le dévoilement anatomique de
Jennifer Lopez, dite ʺbomba latinaʺ, et son exhibitionnisme au soir du vendredi
29 mai 2015 (selon le calendrier dit grégorien), ont con-forté la marque de
fabrique des fesses-tivités.
Ce
fesse-tival se tient depuis 2001, avec aussi le con-cours des homosexuels et des
lesbiennes, dans un espace où l’ʺÉtatʺ dit ʺmusulmanʺ, ne se soucie aucunement
du Message d’Allaah.
C’est
une ʺassociationʺ dite ʺMaroc culturesʺ qui est chargée de l’organisation de ce
spectacle cul-turel, sous le patronage du figurant dit Mohammed VI, roi du
Maroc, affublé du titre de ʺcommandeur des croyantsʺ, amiir almouminiine (le
ʺrʺ roulé).
[4] En parlant du Maroc où il était le Résident Général
du colonialisme français, le maréchal Louis Hubert Gonzalve Lyautey l’avait
désigné, dans une des formules dont il avait le secret, disent encore ses
adorateurs, comme ʺle pays froid où le soleil est chaudʺ.
[5] Contribution.
[6] Culturelle.
[7] Débats.
[8] Communiqués.
[9] Confondues.
[10] De paix.
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