Comme ses alter ego, « États »
dits « arabo-musulmans », « l’État » en Tunisie, avec Essebsi
qui vient d’être installé sur le trône, représente un régime de l’imposture fondé sur le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la
perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation,
le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, le mépris légendaire des
indigènes que sont pour lui les populations du territoire où il sévit, la
soumission à ses maîtres du système colonialo-impérialo-sioniste, et la négation de
l’être humain.[1]
BOUAZZA
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