J’aime
observer l’eau, la toucher, cheminer avec elle et sentir qu’elle participe à
irriguer mes pensées.
Il
m’a été offert plus d’une fois de suivre des cours d’eau et d’être transporté
par mes observations.
J’aime
admirer les canards évoluant paisiblement sur l’eau.
« Ô
être humain ! Qu’est-ce qui t’a trompé au sujet de ton Seigneur, Le
Généreux ? »[1]
Larmes.
J’aimerais
tant que mes larmes, comme l’eau qui s’infiltre dans la terre pour la
désaltérer et désaltérer les plantes, irriguent encore et encore les graines
pour que germent les fleurs de mon cœur.
J’aimerais
tant faire entendre le murmure de l’eau qui rappelle que nous sommes à Allaah
et à Lui nous retournons.[2]
[1]
Alqoraane (Le Coran), sourate 82 (chapitre 82), Alinefitaar ((Le ″r″
roulé), La Fissuration, aayate 6 (verset 6).
[2]
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate 155 et
aayate 156 (verset 155 et verset 156).
Je
reprends ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois et dont je parlerai encore et
encore, ine chaa-e Allaah (si Allaah veut).
Voir :
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