samedi 27 décembre 2014

RIEN NE LEUR ÉVITERA LA JUSTICE DU SEIGNEUR DES UNIVERS

Ils savent que la mort les attend, et pourtant, lorsque ses signes deviennent évidents, ils mobilisent les multiples moyens à leur disposition afin de refuser l’inéluctable, et faire croire qu’ils sont encore en pleine forme pour ne pas mourir.
Il en est souvent ainsi des oppresseurs, pilleurs, corrompus, tortionnaires, sanguinaires, assassins, criminels, et autres, qui sévissent partout, au nom des « États ».
Responsables de destructions, de massacres, d’exterminations, et de multiples horreurs, ils continuent, jusqu’au bout, d’alimenter et d’entretenir la supercherie, le faux, l’imposture en cherchant toujours à faire admettre qu’ils ont agi et agissent pour « le bien-être de l’humanité ».
Au plus profond d’eux-mêmes, ils ne doivent pas ignorer cependant, que rien ne leur évitera la Justice du Seigneur des Univers, l’au-delà où quiconque aura fait un atome de bien le verra, et quiconque aura fait un atome de mal le verra.[1]
  

BOUAZZA



[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 99 (chapitre 99), Azzalzala, La Secousse, aayate 7 et aayate 8 (verset 7 et verset 8).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :

vendredi 26 décembre 2014

« LA LANGUE » ?

Les croyants et les croyantes[1] de par le monde, usent de toutes les langues de l’humanité pour rappeler le Vrai et dénoncer le faux.
Toujours gonflés d’orgueil et d’arrogance, les imposteurs continuent d’alimenter et d’entretenir l’imposture qui dégouline de partout.
Ils consolident la supercherie selon l’étable de leur loi,[2] et veulent imposer leur Histoire, avec hache majuscule, pour décapiter tout ce qui leur résiste et éradiquer l’Islaam.[3]
Les métropoles, avec des serviles et des corrompus, à ne plus savoir qu’en faire,[4] recourent à de multiples moyens de destruction, parmi lesquels « la langue », afin de consolider la main mise sur les colonies et ailleurs, maintenir les colopoles[5] et autres, et répandre la turpitude.[6]
Mais le Vrai qui est simple, ne se perd pas dans les complications du faux.[7]

  
BOUAZZA



[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] Les tables de leur loi.
[3]L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[4] Employés dans tous les domaines avec des fauteuils moelleux où ils jouissent des avantages de ʺl’officialitéʺ octroyés par le système colonialo-impérialo-sioniste, pour participer à l’oppression des indigènes, y compris par l’usage qu’ils font de ʺ la langue du dominantʺ.
[5] Contraction des mots "colonies" et "métropoles", soulignant l’attachement au maintien de la  domination et l’entretien de régimes mis en place à cet effet.
Un flot de détritus qui perdure, présenté comme "bienfaiteur" par les imposteurs à tous les niveaux.
[6] Alfaçaade.

jeudi 25 décembre 2014

TOUT EST CLAIR

« C’est Lui qui a envoyé Son Messager[1] avec la guidée[2]et la religion du Vrai[3] pour lui indiquer la totalité de la religion ».[4]



[1] Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Alhodaa.
[3] Diine alhaqq.
[4] Alqoraane (le Coran), sourate 48 (chapitre 48), Alfath, La Victoire Éclatante, Le Succès, aayate 28 (verset 28).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :

mercredi 24 décembre 2014

ESSEBSI ENCORE

Comme ses alter ego, « États » dits « arabo-musulmans », « l’État » en Tunisie, avec Essebsi qui vient d’être installé sur le trône, représente un régime de l’imposture fondé sur le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, le mépris légendaire des indigènes que sont pour lui les populations du territoire où il sévit, la soumission à ses maîtres du système colonialo-impérialo-sioniste, et  la négation de l’être humain.[1]

BOUAZZA

ALLAAH PARACHÈVERA SA LUMIÈRE

« Ils veulent éteindre la Lumière d’Allaah avec leurs bouches et Allaah parachèvera Sa Lumière, n’en déplaise aux mécréants ».[1]



[1] Yoriidoune liyotfi-ou nour Allaah biafwaahihime wa Allaah motimme nourah wa law kariha alkaafiroune.
Alqoraane (Le Coran), sourate 61 (chapitre 61), Assaff, Le Rang, aayate 8 (verset 8).
Voir :

mardi 23 décembre 2014

ESSEBSI (SUITE)

Pour con-solider la révolution en Tunisie, un sénile de 88 ans, Essebsi,[1] serviteur du régime de l’imposture du temps de Bourguiba et de Ben Ali, vient d’être installé par les mêmes employeurs, sur le trône du Palais dit présidentiel : c’est toujours la même merde, mais dite jasmin.
Il a été félicité par la momie Bouteflika.
Vous connaissez ?
De temps à autre, la momie est ramenée en métropole, comme celle de « tonton kamoune » (Toutankhamon), pour « études ».
Un général est chargé de cet individu et s’enquiert de ses nouvelles :
- Comment il va ?
-.Il va bien mon général.
- Il paraît qu’il lui arrive de se demander qui il est ?
- Il répète en effet : kiss wiije ?
- Il est le Président de la RADP, la République Algérienne Démocratique et Populaire, une colonie.
Tu sais comment me joindre en cas de besoin.
- Oui mon général.[2]
  

BOUAZZA

ESSEBSI

Pour con-solider la révolution en Tunisie, un sénile de 88 ans, Essebsi,[1] serviteur du régime de l’imposture du temps de Bourguiba et de Ben Ali, vient d’être installé par les mêmes employeurs, sur le trône du Palais dit présidentiel : c’est toujours la même merde, mais dite jasmin.[2]

  
BOUAZZA

ENCORE SUR L’ENFANCE


Assis sur un canapé, je suis l’envol de mes pensées.
« L’Île d’Yeu ».[1]
Ce lieu qui venait de retentir et que je ne connais que de nom, évoque pour moi le défunt Driis Chchraaibii,[2] qui s’y était installé, autrefois jadis,[3] avant l’invasion touristique.
Exilé du Maroc, il cherchait aussi à s’exiler d’une certaine France.
Écrivain d’origine d’Afrique, il est arrivé en France en 1945[4] pour suivre des études universitaires.
Il s’est installé dans ce pays et y a vécu jusqu’à la fin de son existence ici-bas, survenue le premier avril 2007, à l’âge de 81 ans.
Lorsqu’il avait débarqué en France, il n’avait pas encore vingt ans.
Sa formation universitaire ne lui a pas servi à faire une carrière professionnelle.
J’ai beaucoup lu cet écrivain, avec qui je ne manque pas de points communs.
J’aurais aimé le rencontrer pour échanger de vive voix sur plusieurs points.
Cela ne s’est pas fait.[5]
Dans un de ses écrits,[6] il parle d’un père dans un moment difficile qui dit ne rien avoir à transmettre à ces deux enfants et ajoute que tout ce qu’il peut faire, c’est de s’asseoir entre eux sur le canapé.
J’avis sur l’écran de l’ordinateur une photo que je regardais chaque fois que je faisais marcher cet appareil.
En la regardant, il m’arrivait de penser à l’écrivain.
Sur cette photo, prise durant l’été 1992, je suis sur le canapé entre mes deux fils que je serre dans mes bras.
Être père est un bienfait qu’Allaah, dans Son infinie générosité, m’a destiné avant même que je ne sois ici-bas.[7]
Je Lui suis reconnaissant et l’invoque pour qu’Il nous couvre de Sa miséricorde.
Je regardais la photo où apparaît sur le mur, une petite partie d’une fine couverture blanche avec des motifs où le bordeaux domine et d’autres traits colorés entre ces motifs.
Couverture[8] tissée par ma mère.[9]
L’écrivain a-t-il su être père ?
Après sa mort,[10] une de ses petites-filles a déclaré qu’elle ne l’avait jamais vu. [11]
Il a beaucoup écrit pour exprimer une sorte de « nostalgie de l’enfance », pour ne pas « oublier ».
« Voilà le paradis où je vivais autrefois : mer et montagne. Il y a de cela toute une vie. Avant la science, avant la civilisation et la conscience. Et peut-être y retournerai-je pour mourir en paix,[12] un jour …
Voilà le paradis où nous vivions autrefois : arbre de roc, la montagne plongeant abruptes ses racines dans les entrailles de la mer. La terre entière, humanité comprise, prenant source de vie dans l’eau. L’Océan montant à l’assaut du ciel le long de la falaise et, jusqu’aux cimes, le long des cèdres hérissés.
Un cheval blanc court et s’ébroue sur la plage. Mon cheval. Deux mouettes s’enlacent dans le ciel. Une vague vient du fond du passé et, lente, dandinante, puissante, déferle. Explose et fait exploser les souvenirs comme autant de bulles d’écume.
Souffrance et amertume d’avoir tant lutté pour presque rien : pour être et pour avoir, faire et parfaire une existence ─ tout, oui, tout est annihilé par la voix de la mer. Seule subsiste la gigantesque mélancolie de l’autrefois, quand tout était à commencer, tout à espérer. Naissance à soi et au monde.
Une autre vague vient par-dessus la première et fulgure. Etincelle et ruisselle d’une vie nouvelle. Sans nombre, débordant par-delà les rives du temps, de l’éternité à l’éternité d’autres vagues naissent et meurent, se couvrant et se renouvelant, ajoutant leur vie à la vie. D’aussi loin qu’on les entende, toutes ont la même voix, répètent le même mot : paix, paix, paix … »[13]
Flots de pensées.
Averses d’images.
Afflux de sensations.
Neuf grossesses.
Neuf accouchements.
Cinq enfants de ton premier mariage.
Trois filles et deux garçons.
Ta confiance a été trahie.
Divorcée, ton mari, mon père,[14] de par sa position, a gardé les enfants.
J’avais trois ans.
Mon frère moins de deux ans.
Tu es retournée chez tes parents.
Des paysans pauvres.
Tu ne savais plus sentir la lumière.
Les feuilles s’étaient étiolées.
Les branches s’étaient affaiblies.
L’arbre était à l’agonie.
Mais par la miséricorde d’Allaah, tu avais encore la sève.
Les feuilles renaissent.
Les branches se revitalisent.
L’arbre consolide ses racines et s’élève dans les cieux.
Tu as épousé ton cousin.
Un paysan pauvre que j’ai toujours aimé.
Grossesses.
Accouchements.
Trois autres soeurs et un frère.
J’allais te voir parfois.
Á pied ou à dos de mulet, à partir du souq[15] de Tiddaas.[16]
Quelques kilomètres en pleine campagne.
Jusqu’à l’humble demeure.
Devancé par mon cœur.
Je fixe ton sourire.
Il sent l’aube de la Vie.
Je te regarde pétrir.
Tes doigts fins caressent la pâte avec amour.
De temps à autre, tu ajoutes une petite branche de bois dans le four fait par toi-même.
Un four de terre, en forme de bol renversé avec une ouverture devant pour allumer le feu et introduire le pain à faire cuire, puis une ouverture au milieu pour dégager la fumée.
Par moments, la flamme éclaire ton visage et lui donne plus de chaleur.
Ton silence m’a souvent dit l’essentiel.
Les étoiles qui embellissent le ciel sont dans tes yeux.
J’ai mis du temps pour comprendre.
Que dire de ce qui s’en va et comment parler de ce qui demeure ?
Que dire de ce qui cesse et comment parler de ce qui commence ?
Que dire de ce qui a été et comment parler de ce qui sera ?
« J’étais issu de l’Orient et des traditions de l’orient. J’avais été instruit et éduqué dans des écoles d’occident. Et non seulement la greffe avait pris, mais l’arbre n’avait jamais donné autant de fruits. Je l’ai pris alors à deux bras et je suis parti vers cet occident d’où venaient toutes sortes de » greffes. Et voici : c’était comme si j’avais transporté avec moi tout un lambeau de terre, tout un monde. Et le monde vers lequel je me dirigeais m’a semblé froid, fermé et hostile. Comment dire ? Les fruits se sont desséchés sur l’arbre et, au bout de seize ans, je n’avais pas encore trouvé un seul petit lopin de terre où enterrer mon arbre mort depuis longtemps [...]
Et, assis entre deux portes fermées, j’ai tant crié à la fraternité humaine et à la connaissance mutuelle que j’en suis devenu malade, insomniaque et tressautant au vol d’une simple mouche. Et, par contre-coup, dans ma solitude, je me suis recrée une terre natale couleur de mirages et de vérité. Écoutez : c’est ici, dans les bidonvilles de vos cités de béton, que j’ai redécouvert l’Islam. Vous m’entendez, vous tous ? »[17]
Douceur d’automne.
Nuages d’hiver.
Ciel bleu du printemps.
Chaleur du soleil l’été.
J’avais sept ou huit ans et nous habitions au quartier de l’Océan à Rabat.[18]
La maison avait un patio où j’aimais jouer.
Ma belle-mère, mes sœurs, mes frères et moi occupions le rez-de-chaussée.
Mon père avait le premier étage où son épouse le rejoignait la nuit.
Pour y accéder, le père passait cependant par le rez-de-chaussée et y restait un peu parfois.
Il fallait emprunter les allées du territoire du père pour monter à la terrasse.
Cette terrasse était un lieu enchanteur.
Et c’est à cet endroit que j’ai eu des sensations qu’il m’est difficile aujourd’hui encore, de décrire avec des mots.
Un jour, j’y suis resté un long moment.
Il faisait beau.
La terrasse voisine était couverte d’une toile qui la transformait en une sorte de grande tente. C’était la fête.
J’écoutais.
Je pouvais regarder aussi et ne me privais pas de le faire.
Je ne sais pas comment les choses se sont passées, mais subitement, elle était devant moi.
Au milieu des chants et d’innombrables personnes.
Je ne regardais qu’elle.
Je n’avais jamais vu quelqu’un comme elle.
J’étais transporté.
Elle était radieuse.
C’était une femme, mais pour moi c’était « autre chose ».
Je ne savais pas quoi.
Je pensais qu’elle ne regardait que moi et j’avais la sensation qu’elle me caressait du regard, me transmettait l’affection, m’offrait l’amour.
Une coulée de bonheur.
Ma belle-mère m’a expliqué que j’avais vu la mariée.
La signification exacte m’échappait un peu et j’avais une forte envie de rejoindre cette femme et de rester avec elle.
C’est peut-être à partir de cette époque que le mariage est devenu pour moi un symbole fort que les mots peinent à décrire.
Je me suis marié depuis.
Qu’est devenue la femme de la terrasse ?
Les années ont succédé aux années.
Des feuilles descendent des arbres et étreignent le sol.
Étalage de couleurs.
Une frêle toile d’araignée.
Une abeille poursuit son exploration.
Deux lapins regardent au loin.
Un couple d’oiseaux répand des glorifications.
Murmures sous les pieds, de parures d’arbres défeuillés.
Nuages changeant de forme.
Instants de pluie fine.
Caresses de vent.
Coulée de sérénité.
Ruissellement de paix.
Battements du cœur, tels les battements du cœur de la mère, que l’enfant béni garde en lui.
Reconnaissance.
Sont-ils égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Observer les signes.[19]
Lire le temps et l’espace.
Se voir dans d’autres yeux.
Déchiffrer leur langage.
Sont-ils égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Recevoir.
Donner.
Transmettre.
Sont-ils égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Comprendre le hennissement des chevaux.
Marcher au rythme de leur galop.
Se souvenir de l’engagement.
Sont-ils égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
S’abreuver à la Source.
S’irriguer.
Voir les mots en mouvement.
Saisir le Sens.
Renforcer le Lien.
Sont-ils égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
« Par le soleil et par sa clarté.
Par la lune quand elle le suit.
Par le jour quand il l’éclaire.
Par la nuit quand elle l’enveloppe.
Par le ciel et par Celui qui l’a construit.
Par la terre et par Celui qui l’a étendue.
Par l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.
Et lui a inspiré son immoralité et sa piété.
A réussi celui qui l’a purifiée.
Et a perdu celui qui l’a corrompue ».[20]
« Fils du Levant et de la Berbérie écoutez : l’Orient est en voie de mort. Il est derrière votre dos avec ses Damas, ses Baghdad et ses divisions sans fin qui ensanglantent la terre et dénaturent la parole de Dieu.[21] Plus jamais vous n’y retournerez. Vous êtes ici à présent, en Occident, et c’est comme si vous veniez d’y naître. Parce que, moi, je vous dis que c’est ici, en Occident, que se lèvera désormais le soleil du monde ! »[22]
Naissance.
Cycle fabuleux.
Voie du destin de chaque être et donc de l’enfant, qui n’appartient ni au père, ni à la mère, et qui doit accomplir ce pourquoi il est ici-bas
Des jeux de petits-enfants sèment des couleurs de joie.
Aident à saisir encore plus profondément le Sens, et à mieux renforcer le Lien.
Un autre bienfait d’Allaah, qui a fait de nous un garçon et une fille, un homme et une femme, un époux et une épouse, un père et une mère, un grand-père et une grand-mère.
Qui nous a offert l’Islaam.[23]
  

BOUAZZA



[1] Petite île au large de la côte vendéenne en France, port de pêche sur  l’Océan Atlantique
[2] Le ʺrʺ, Driss Chraïbi.
[3] Comme il aimait l’écrire.
[4] Selon le calendrier dit grégorien.
[5] J’ai pris l’initiative, en 1984 je crois, de lui adresser à l’Île d’Yeu, un de mes écrits, auquel il n’a répondu qu’au bout de quelques mois, après relance, pour dire qu’il fallait ʺélaguerʺ.
J’ignorais lorsque je lui avais écrit, qu’il allait se rendre au Maroc, et y être reçu par des ʺofficielsʺ du régime de l’imposture.
Mon frère aîné, ʺhaut fonctionnaire du ministère de l’intérieurʺ à l’époque, ayant appris l’envoi de ma part du texte, avait chargé une de nos sœurs de me contacter pour me demander, de sa part, de ne plus remettre d’écrit à ce personnage.
Celui-ci m’avait avoué que lors de son voyage au Maroc, il avait fait la connaissance de mon frère aîné.
Je lui ai écrit, plus tard, dans les années 2000, à Crest dans la Drôme, au sujet d’un travail à éditer sur l’accomplissement de la prière en Islaam.
Il s’est contenté de m’indiquer les coordonnées d’un éditeur au Maroc, que je n’ai jamais contacté.
J’ai envoyé par la suite à Chraïbi, un exemplaire de ce travail, édité en 2005, sur disque compact (CD).
Je n’ai pas reçu de réponse.
[6] Succession ouverte, Paris, Éditions Denoël, 1962, p. 24.
[7] Et lorsque ton Seigneur tira des reins des fils d’Aadame leur progéniture et les fit témoigner contre eux-mêmes : Ne suis-Je pas votre Seigneur ? Ils dirent : Si, nous en témoignons
Alqoraane (Le Coran), sourate 7 (chapitre 7), sourate Ala’raaf, L’Enceinte du Paradis, Les Limbes, aayate 172 (verset 172).
Il s’agit du fameux pacte pris par Allaah sur la race humaine dès sa création. C’est un acte de foi et d’allégeance selon lequel les enfants d’Adame sur lui la bénédiction et la paix, reconnaissent et attestent qu’Allaah est leur Seigneur-et-Maître en exclusivité et sans restriction aucune.
Donc chaque être humain est lié à sa naissance par ce pacte et s’il renie son Seigneur-et-Maître ou Lui donne quelque associé, il a manqué à son engagement et commis la plus grosse injustice.
Salaah Addine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), Note en bas de la page 221.
[8] Dont la femme rurale se pare  à certaines occasions, en l’ajoutant au dessus de ses vêtements, sur ses épaules.
[9]  Son existence ici bas s’est achevée le samedi 28 juin 2008 à l’âge de 80 ans.
[10] Survenue en France, le premier avril 2007, à l’âge de 81 ans (il était installé dans la Drôme, à Crest).
Il a été ramené et enterré au Maroc, à Casablanca.
[11] Je ne sais pas s’il en a d’autres, ni si ses autres petits-enfants l’ont vu.
[12] Salaam.
[13] Driss Chraïbi, la Civilisation ma Mère !..., Paris, Éditions Denoël, 1972, P.13-14.
[14] Décédé le samedi 04 octobre 2008, à l’âge de 86 ans..
[15] Souk, marché.
[16] Tiddas.
[17] Driss Chraïbi, Succession ouverte,, Éditions Denoël, Paris 1962, p. 180-181.
[18] Arribaate, Rbaate (les "r" roulés).
[19] Aayaate.
[20] Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10 (verset 1 au verset 10).
[21] D’Allaah.
[22] Driss Chraïbi, Naissance à l’aube, Paris, éditions du Seuil, 1986, P.55-56.
[23] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :

lundi 22 décembre 2014

DE TOUT TEMPS

De tout temps, des personnes perturbées, agissant derrière des apparences trompeuses, introduisent le désordre, la confusion et autres dans des espaces où elles usent de tout pour alimenter et entretenir le faux.
Qu’Allaah éclaire les croyants et les croyantes,[1] et les guide afin d’aider ces personnes à se réformer pour devenir meilleures, et nous accorde Sa miséricorde pour mieux saisir le Sens et renforcer le Lien.[2]
  
BOUAZZA

dimanche 21 décembre 2014

QUICONQUE AGIT MAL

« Quiconque agit mal ou fait du tort à lui-même puis implore le pardon d’Allaah, trouvera Allaah Pardonneur et Miséricordieux ».[1]

samedi 20 décembre 2014

"JOYEUSES FÊTES"


Connus pour reverser, sous une forme ou une autre, une bonne partie des sommes qui leurs sont octroyées par le système colonialo-impérialo-sioniste qui les soumet au pillage, les puits de pétrole, de gaz et autres stations d’essence, dits "États musulmans", dilapident les richesses des territoires où ils sévissent, en achetant des armes, entre autres, pour massacrer les indigènes, participent, dans les métropoles de leurs maîtres, aux financement de parcs d’attraction et de musées par exemple, deviennent "propriétaires"  d’hôtels de luxe, de certaines entreprises de marques de renom, et autres.
Il se murmure que l’une de ces entreprises de luxe qui a grandement besoin d’argent, aurait déjà dû devenir la propriété de l’un de ses principaux clients, un de ces "hommes du désert".
La transaction traîne parce que ce "malotru" ne veut pas comprendre qu’il ne peut, en aucun cas, être autorisé à changer le nom de la célèbre entreprise, et lui donner le nom de "Chamelle", même si c’est le nom de son "grand amour".
Ce "malotru" prend le risque d’être licencié par ses employeurs pour "menaces contre la démocratie".
"Joyeuses fêtes".[1]
  
BOUAZZA

jeudi 18 décembre 2014

LA PUNITION DE CUBA « ADOUCIE »


L’impérialisme USA[1] vient de décider[2] de permettre aux « dirigeants révolutionnaires » de l’un de ses dépotoirs, Cuba, de pouvoir bénéficier d’un « adoucissement » de la punition, d’être autorisés à acheter des produits que les USA voudront bien leur fourguer, et dont les populations, celles qui n’ont pas pu s’évader, rêvent depuis toujours.
La punition particulière va se transformer, afin de permettre à ce dépotoir "particulier"  d’avoir accès à ce qui est reconnu à d'autres décharges.
L’image entretenue de Fidel Castro, le « dirigeant révolutionnaire » à la tête de « l’Etat Cubain », qui a mené pendant des décennies, le combat contre l’impérialisme américain, continue de servir, même si elle ne correspond pas aux données réelles.
Peu de personnes s’intéressent aux données réelles, et beaucoup refusent de les admettre.
Après la défaite de l’impérialisme soviétique en Afghanistan et son remplacement par l’impérialisme américain dans l’invasion de ce pays en 2001, des centaines de musulmans, originaires de plusieurs pays,[3] ont été kidnappés, arrêtés et livrés pour être déportés dans un camp de concentration à Cuba.[4] Un camp de concentration dans le Sud Est sur la base navale de la baie de Guantanamo, considérée comme territoire américain depuis 1898, et qui compte aujourd’hui plusieurs milliers de militaires.
L’impérialisme américain y déporte qui il veut, au mépris de tous les droits bien entendu.
Les musulmans détenus dans ce camp de concentration sont considérés comme des ennemis à ne pas traiter comme des êtres humains.
Les employés utilisés pour s'époumoner sur les « droits de l’homme », s’agitent dans tous les sens afin de « défendre la démocratie américaine contre le terrorisme[5] musulman », pour « préserver la civilisation face à la barbarie ».
La diarrhée verbale des « révolutionnaires de Cuba » continue de dégouliner comme si de rien n’était : Fidèle gastro !
Cuba est située en Amérique Centrale.
C’est un archipel composé de la grande île des Antilles, de l’île aux pins dite île de la jeunesse et de centaines d’îlots.
C’est un territoire où l’invasion des conquistadors a commencé dès 1492, l’île a ainsi connu la colonisation espagnole jusqu’en 1898.
Sa population d’Indiens a été exterminée et des esclaves ont été ramenés d’Afrique pour servir de main d’oeuvre.
La lutte, très dure, pour l’indépendance, a pris plusieurs formes.
L’armée américaine a fini par imposer à l’Espagne de mettre fin à la colonisation du pays.
L’idée d’en faire un Etat américain fédéré n’intéressait pas les USA. qui, après y avoir installé un gouvernement américain ont octroyé « l’indépendance dans l’interdépendance »[6] en 1901.
En 1959, Fidel Castro et ses « révolutionnaires » ont renversé le régime débauché et corrompu et l’ont remplacé par une « République Socialiste ».[7]
Les USA. qui ont continué et continuent d’occuper militairement une partie du pays,[8] ont instauré ce qui est appelé un « embargo économique » et laissé Fidel Castro ─ avec l’aide fraternelle et désintéressée de l’impérialisme soviétique ─ mener le combat contre l’impérialisme américain.[9]
Après des décennies de « pouvoir révolutionnaire », Cuba est devenu ce dépotoir « particulier » voulu par les USA.
L’agonie de Fidel Castro[10] n’en finit pas.
Le relais a été passé à son frère Raoul, ʺélu démocratiquement par le peupleʺ, afin de poursuivre le combat contre l’impérialisme américain !
À la Havane, [11] des fils et des filles de « révolutionnaires » participent à ce combat en s’offrant dans des boîtes de nuit et ailleurs, à des touristes américains ou autres, en s’envoyant en l’air avec eux, en échange d’un peu de monnaie.[12]
  

BOUAZZA




[1] United States of America, les États unis d’Amérique, construits par des européens sur le génocide des Indiens, sur l’esclavage, sur le terrorisme, sur l’utilisation des bombes atomiques et sur d’innombrables autres massacres et destructions qui continuent partout.
À l’avant-garde du système colonialo-impérialo-sioniste, les USA sont aujourd’hui la première puissance militaire et atomique à la tête des massacres de multiples populations, dans le monde entier.
Les massacres et les destructions contre les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) atteignent des proportions inouïes.
Des croyants et des croyantes sont kidnappés dans n’importe quel pays, torturés, emprisonnés dans des lieux d’enfermement des plus sordides, des bagnes un peu partout, liquidés par tous les moyens, en violation totale des règles les plus élémentaires des droits humains.
Et les États-Unis d’Amérique, le système colonialo-impérialo-sioniste, sont applaudis comme défenseurs de la liberté.
Les agressions, les crimes, les exterminations, les violations de tous les droits des populations et des individus à travers le monde, les massacres, les destructions, les anéantissements, les éliminations, les assassinats, le pillage, le vol, la cupidité, la domination, la répression, l’oppression, l’exploitation, le mensonge, le cynisme, la tromperie, la tricherie, les discriminations, les enlèvements, les enfermements, les tortures, les humiliations, le mépris, l’arrogance, le faux, l’imposture, ″c’est la défense de la liberté″ selon les applaudisseurs.
[2] C’est ce qui a été annoncé en France, mercredi 17 décembre 2014, selon le calendrier dit grégorien.
[3] Y compris de la Chine.
[4]  L’impérialisme ouvre des lieux d’enfermement dits « secrets » dans n’importe quel pays du monde, et fait participer d’innombrables pays pour surveiller, arrêter, enlever, emprisonner, torturer, faire disparaître et liquider des personnes.
[5] Des États dont les crimes dépassent toute imagination, entretiennent l’usage de ce terme pour désigner la résistance contre leurs crimes.
[6] Statut octroyé par le système impérialiste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
L’Afrique par exemple, reste, surtout pour la France colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de matières premières et de main d’œuvre, un marché pour tout écouler, un point stratégique pour les militaires, un terrain d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres "loisirs touristes" de ce genre, un dépotoir, une décharge d’immondices dans tous les domaines.
Les employés mis à la "tête" des "États" des colonies exécutent les ordres de leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[7]- Qu’est-ce que le capitalisme ?
- C’est l’exploitation de l’homme par l’homme.
- El le socialisme ?
- C’est l’inverse.
[8] Les USA. se réfèrent à un ʺtraitéʺ de 1903 et au ʺrenouvellement de clausesʺ pour soutenir leurs ʺdroits sur le territoire de Cubaʺ.
[9] Je n’oublie pas la tentative d’invasion d’exilés Cubains au service de l’impérialisme américain, en avril 1961 (débarquement de la baie des cochons).
Je n’oublie pas l’affaire dite des missiles de Cuba en octobre 1962 (l’impérialisme américain ayant obligé l’impérialisme soviétique à retirer ses missiles installés à Cuba et pointés sur les États-Unis d’Amérique).
Je n’oublie pas l’envoi, sous le contrôle de l’impérialisme soviétique, de blindés et de militaires en octobre 1963 ʺpour défendre la révolution de l’Algérie socialiste, menacée par le Maroc au service de l’impérialisme américainʺ.
Je n’oublie pas la conférence dite de solidarité avec les peuples d’Asie, d’Afrique et d’Amérique Latine et la mise en place de ʺla Tricontinentaleʺ à la Havane en janvier 1966, ʺpour le renforcement du mouvement des pays non-alignésʺ.
Je n’oublie pas Che Guevara, ʺdirigeant de la révolution cubaineʺ, assassiné, en octobre 1967, par les forces au service de l’impérialisme américain en Bolivie, où il voulait ʺconduire la révolution de l’Amérique Latineʺ.
Je n’oublie pas l’envoi de militaires, toujours sous le contrôle de l’impérialisme soviétique, dans différentes régions d’Afrique, ʺpour combattre le colonialisme et instaurer le socialismeʺ .
Je n’oublie pas d’innombrables autres événements.
[10]  Sa fille est installée aux USA. et en possède la nationalité.
[11]  Capitale de Cuba.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.