Les enfants sont dans la marche.
Des hommes, des femmes les précèdent et les battements de
leur coeur rythment les pas.
Chacun marche dans son coeur, dont les battements sont ceux
du coeur de la mère, que les êtres bénis gardent en eux.
Sur les banderoles, des rires lancent le rappel.
Je reconnais, entre autres, les rires de mes enfants, de mes
petits enfants.[1]
BOUAZZA
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