« Un petit bonheur à court
terme peut causer un dommage à long terme ».
C’est une phrase qui m’a été
adressée afin que je la médite et pour laquelle j’ai sollicité les réflexions
de certaines personnes à qui j’ai l’habitude d’adresser des écrits.
J’ai eu quelques réponses qui
m’ont servi à rédiger et à transmettre un texte daté du 5 juillet[1] et
intitulé « Continuons de creuser ».
Ce texte se terminait de la
manière suivante :
« J’ai eu une autre
intervention que j’allais oublier.
Elle a commencé ainsi :
″La
première impression serait qu’est-ce qu’un grand bonheur à long terme ? Et
que peut-il causer ?
Je vais essayer d’y méditer cette
nuit″.
La « suite » n’est pas
arrivée, même si j’ai précisé que je l’attendais.
Continuons de creuser ».
Et voilà que la suite vient
d’arriver :
« Je te livre la suite de
mes réflexions: Si un petit bonheur peut causer de grands dommages, c'est que
ce n'était que du "court terme"... "Un feu de paille" par
exemple...expression populaire, elle aussi! Donc quelque chose d'irréfléchi, de
spontané, de non maîtrisé d'immédiat. En gros, quelque chose d'actuel, car je
trouve que les gens sont la plus part du temps dans l'impatience ou la
non-patience! "Je veux tout et tout de suite!!"
Par contre, un grand bonheur, on
ne le voit pas arriver, il lui faut du temps pour s'installer, et parfois, il a
tellement été discret que l'on risque de le laisser passer. J'aime bien, de
temps en temps, avoir un rôle de spectateur, dans certaines situations, et cela
me permet de gérer sans mettre "de l'affect" et de mieux trouver une
éventuelle solution. Dans ce cas, cela pourrait être profitable!! »
Creusons encore.[2]
BOUAZZA
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