lundi 18 novembre 2013

CHACUN SON CHEMIN

Des croyants et les croyantes,[1] sont dans une sorte d’apprentissage continu, avec un goût prononcé lié à la pédagogie, pour laquelle certains ont un appétit non dissimulé.[2]
Comment se fait-il alors que beaucoup de personnes, dont certains parfois font partie des « plus proches »[3] de ces croyants et de ces croyantes, trouvent ce « trait » critiquable ?
Tout simplement parce que le chemin qu’ils ont emprunté n’est pas celui de la confiance en Allaah.
Le chemin de la confiance en Allaah permet d’avoir une éthique[4] qui n’est pas le souci de ceux et de celles qui ne cherchent pas à faire de leur mieux pour Adorer[5] Allaah, comme Allaah le demande[6] et qui avancent dans le chemin du refus de voir les signes.[7]
 
BOUAZZA


[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] Les croyants et les croyantes font de leur mieux pour ne pas dissimuler.
[3] Au sens des liens dits familiaux.
[4] Allaah ordonne la justice, la bienfaisance et l’assistance aux proches et interdit la turpitude, ce qui est blâmable et l’atteinte aux droits des autres.
[4] Alqoraane (Le Coran), sourate 16 (chapitre 16), Annahl, Les Abeilles, aayate 90 (verset 90).
"Ce verset résume toute l’éthique de l’Islaam : justice, bienfaisance et rapports amicaux et au besoin secourables avec tous ceux qui nous sont liés par la parenté.
Interdiction de toute action immorale et de toute chose que l’esprit honnête et non perverti réprouve. Interdiction  de violer les droits d’autrui quand même il s’agit d’un non musulman.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Lobnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), p. 358 (note en bas de page).
[5] Adoration, ‘ibaada.
[6] L’Islaam depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.

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