Des croyants et les croyantes,[1] sont
dans une sorte d’apprentissage continu, avec un goût prononcé lié à la
pédagogie, pour laquelle certains ont un appétit non dissimulé.[2]
Comment se fait-il alors que
beaucoup de personnes, dont certains parfois font partie des « plus
proches »[3] de ces croyants et de ces
croyantes, trouvent ce « trait » critiquable ?
Tout simplement parce que le
chemin qu’ils ont emprunté n’est pas celui de la confiance en Allaah.
Le chemin de la confiance en Allaah
permet d’avoir une éthique[4] qui
n’est pas le souci de ceux et de celles qui ne cherchent pas à faire de leur
mieux pour Adorer[5] Allaah, comme Allaah le
demande[6] et qui avancent
dans le chemin du refus de voir les signes.[7]
BOUAZZA
[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] Les croyants et les
croyantes font de leur mieux pour ne pas dissimuler.
[3] Au sens des liens dits
familiaux.
[4] ″Allaah ordonne la
justice, la bienfaisance et l’assistance aux proches et interdit la turpitude,
ce qui est blâmable et l’atteinte aux droits des autres″.
[4] Alqoraane
(Le Coran), sourate 16 (chapitre 16), Annahl, Les Abeilles, aayate 90 (verset
90).
"Ce verset résume toute l’éthique de l’Islaam :
justice, bienfaisance et rapports amicaux et au besoin secourables avec tous
ceux qui nous sont liés par la parenté.
Interdiction de toute
action immorale et de toute chose que l’esprit honnête et non perverti réprouve.
Interdiction de violer les droits
d’autrui quand même il s’agit d’un non musulman″.
Salaah Addiine Kachriid
(Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Lobnaane (Liban),
Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410
(1990), première édition, 1404 (1984), p. 358 (note en bas de page).
[5] Adoration, ‘ibaada.
[6]
L’Islaam depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de
son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
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