samedi 28 septembre 2013

ENCORE SUR LA MASCARADE DITE "POLITIQUE" AU MAROC



La mascarade dite « politique » au Maroc, où la réalité est celle d’un régime tyrannique, un régime qui ne cesse de terroriser quiconque refuse la servilité,[1] montre toujours les hypocrites des partis dits « politiques », s’adonnant à la danse lascive pour faire partie du « harem », ne serait –ce que pour un court instant, afin de satisfaire les désirs de son tenancier.
Bien sûr, il y a la phraséologie trompeuse qui a fait, qui continue de faire et qui fera des victimes sans nombre, dans tous les domaines, mais cela n’empêche pas, n’a pas empêché et n’empêchera pas ces hypocrites de poursuivre leur fonction de « chiikhaate ».[2]
Il arrive que « chchiikhaate » soient autorisées à ouvrir leurs maisons closes.[3]
« Harem » et « maisons closes » restent, bien entendu, sous l’œil du proxénète en chef, le système colonialo-impérialo-sioniste, qui veille à ce que la turpitude (alfahchaa-e) s’étende et n’épargne aucun des « États » dits « musulmans ».
Le proxénète en chef se charge par ailleurs d’entretenir le discours sur ce qu’il appelle « l’islam de tolérance », qu’il assimile aux maisons du même nom.[4]
 
BOUAZZA


[1] Exprimer un point de vue jugé déplaisant par ce régime de l’imposture peut se traduire par le pire et n’épargner personne.
Toute l’histoire de ce régime hideux est entachée du sang des victimes dans tous les domaines.
[2] De l’arabe ″achchaykha″ au singulier, féminin de ″achchaykh″ (chchiikh), qui veut dire personne âgée, mais désigne, dans l’usage courant, un chef de clan ou de tribu (pluriel, choyoukh, chyoukh).
Au Maroc, le mot au masculin désigne un indicateur placé par l’administration pour tenir informé le représentant du ″ministère de l’intérieur″, le caïd, des faits et gestes des populations sous sa surveillance, mais s’applique aussi au chef d’une troupe de chiikhaate (pluriel de chiikha).
″Chchiikhaate″ désigne les putes participant par des danses lascives et des chants qui vont avec, à entretenir la débauche en de multiples occasions.
[3] Le ″jeu de mots″ n’en est pas un.

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