lundi 30 septembre 2013

« QAD LHLAAWA, ZBIIBA »



Lorsque quelqu’un s’épuise à tout faire pour essayer de montrer à une personne, la conduite à tenir dans un domaine ou un autre et que cette personne ne veut rien comprendre, ce qui doit être fait lui est alors imposé, parfois en s’appuyant sur le proverbe « qad lhlaawa, zbiiba ».
Ce proverbe signifie, grosso modo, qu’il suffit d’un raisin sec pour savoir ce que sucré veut dire.
En effet, il n’y a pas besoin d’une quantité phénoménale de matières sirupeuses pour expliquer le sens de « sucré ».
Mais le raisin sec ne suffit pas, pour cela, à la personne qui ne faire qu’à sa tête.
Autrement dit, le proverbe se traduit par « ça suffit », il faut trancher pour arrêter les dégâts qui autrement, se poursuivent à l’infini.
À un moment donné en effet, il est nécessaire de mettre les points sur les « i », ou les « i » sous les point comme l’écrivait, le défunt Driis Chchraaïbii.[1]
Bien entendu, le proverbe n’est pas souvent opérationnel et beaucoup de personnes continuent de le répéter, pour la forme.[2]
 
BOUAZZA


[1] Driss Chraïbi (1926-2007), écrivain originaire comme moi du Mghrib (Maroc).
Il a vécu longtemps en France où il est mort.
Sa dépouille a été rapatriée pour un enterrement au Maroc.

dimanche 29 septembre 2013

QUI SONT LES MEILLEURS ?



Les meilleurs sont ceux et celles qui commandent[1] le convenable,[2] proscrivent[3] le blâmable[4] et croient à Allaah.[5]


[1] Ya-e-moroune (le r roulé) ordonnent.
[2] Alma’erouf (le r roulé).
[3] Yanehawne, déconseillent.
[4] Almounekar (le r roulé).
[5] Alqoraane (Le Coran), sourate 3 (chapitre 3), Aal ‘Imraane, La Famille de ‘Imraane, aayate 110 (verset 110).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :

samedi 28 septembre 2013

ENCORE SUR LA MASCARADE DITE "POLITIQUE" AU MAROC



La mascarade dite « politique » au Maroc, où la réalité est celle d’un régime tyrannique, un régime qui ne cesse de terroriser quiconque refuse la servilité,[1] montre toujours les hypocrites des partis dits « politiques », s’adonnant à la danse lascive pour faire partie du « harem », ne serait –ce que pour un court instant, afin de satisfaire les désirs de son tenancier.
Bien sûr, il y a la phraséologie trompeuse qui a fait, qui continue de faire et qui fera des victimes sans nombre, dans tous les domaines, mais cela n’empêche pas, n’a pas empêché et n’empêchera pas ces hypocrites de poursuivre leur fonction de « chiikhaate ».[2]
Il arrive que « chchiikhaate » soient autorisées à ouvrir leurs maisons closes.[3]
« Harem » et « maisons closes » restent, bien entendu, sous l’œil du proxénète en chef, le système colonialo-impérialo-sioniste, qui veille à ce que la turpitude (alfahchaa-e) s’étende et n’épargne aucun des « États » dits « musulmans ».
Le proxénète en chef se charge par ailleurs d’entretenir le discours sur ce qu’il appelle « l’islam de tolérance », qu’il assimile aux maisons du même nom.[4]
 
BOUAZZA


[1] Exprimer un point de vue jugé déplaisant par ce régime de l’imposture peut se traduire par le pire et n’épargner personne.
Toute l’histoire de ce régime hideux est entachée du sang des victimes dans tous les domaines.
[2] De l’arabe ″achchaykha″ au singulier, féminin de ″achchaykh″ (chchiikh), qui veut dire personne âgée, mais désigne, dans l’usage courant, un chef de clan ou de tribu (pluriel, choyoukh, chyoukh).
Au Maroc, le mot au masculin désigne un indicateur placé par l’administration pour tenir informé le représentant du ″ministère de l’intérieur″, le caïd, des faits et gestes des populations sous sa surveillance, mais s’applique aussi au chef d’une troupe de chiikhaate (pluriel de chiikha).
″Chchiikhaate″ désigne les putes participant par des danses lascives et des chants qui vont avec, à entretenir la débauche en de multiples occasions.
[3] Le ″jeu de mots″ n’en est pas un.

QUELS SONT CEUX QU’ALLAAH A BIEN GUIDÉS ?



« Ceux qui écoutent ce qui est dit[1] et en suivent le meilleur. Ce sont ceux-là qu’Allaah a bien guidés et ce sont ceux-là les gens qui ont un cerveau[2] ».[3]


[1] Alqawl, la parole.
[2] Oulou alalbaab, les personnes douées d’intelligence.
[3] Alqoraane (Le Coran), sourate 39 (chapitre 39), Azzomar (le r roulé), Les Groupes, aayate 5 (verset 5).
Je rappelle des paroles du Message d’Allaah.
Il est bon de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler.
Le rappel est utile aux croyants.
Voir :

ATTEINTE À L’ESPRIT DE FRATERNISATION



L’esprit de fraternisation de la communauté[1] de l’Islaam,[2] a été très gravement atteint en l’an 37[3] de l’hégire[4] année de la terrible bataille de Siffiine,[5] qui marque une rupture et un déséquilibre dont les conséquences néfastes n’ont pas cessé de s’aggraver depuis.
S’agissant de l’organisation, cela signifie, en terme usuel d’aujourd’hui, que « l’État »[6] des croyants, dont l’une des bases était l’esprit de fraternisation, a disparu.[7]
Les croyants eux, par la Miséricorde d’Allaah, sont partout, seront toujours partout et continueront d’agir selon l’éthique de l’Islaam et l’esprit de fraternisation.[8]
  
BOUAZZA


[1] Alomma, la matrie.
[2] L’Islaam depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[3] 657 selon le calendrier dit grégorien, un quart de siècle après la mort de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, mort survenue en 632 (11ème année de l’hégire).
[4] Alhijra (le r roulé), l’émigration, l’exil qui marque le départ de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix et d’autres croyants de Makka, chassés par les ennemis de l’Islaam et l’arrivée à Almadiina.
[5] Siffin.
[6] L’utilisation de ce terme n’exclut pas d’autres appellations.
[7] Ce qui a été dit et fait, ce qui se dit et se fait, ce qui continuera de se dire et de se faire au sujet de ce qui est appelé le monde musulman, pour nier ou minimiser la gravité de la rupture et du déséquilibre profonds liés à la bataille de l’an 37 de l’hégire, dont les conséquences néfastes se poursuivent, vise à dénaturer, consciemment ou pas, l’essence de l’Islaam.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.

vendredi 27 septembre 2013

« FERMETÉ ET HUMANITÉ »

En France, Manuel Valls, le ministre de l’intérieur de François Hollande, le révolutionnaire de gauche dit Président de la Ré-pub-lique,[1] se comportant en ministre de l’intérieur de gauche, c'est-à-dire comme le ferait un ministre de l’intérieur de droite, veut que les « roms » retournent en Roumanie et en Bulgarie.[2]
Les « Roms » c’est qui ?
Il m’est déjà arrivé de répondre à cette question, mais apparemment en pure perte, du moins en ce qui concerne Manuel Valls, le ministre de l’intérieur de François Hollande, le révolutionnaire de gauche dit Président de la Ré-pub-lique.
Il suffit que le mot « roms » soit prononcé, pour que des synonymes crépitent : voleurs, violeurs, violents, voyous, vagabonds, vauriens.
Les mêmes mots qui désignent les « arabes », les «musulmans, c’est à dire les « terroristes », selon l’étable de la loi[3] en vigueur depuis des lustres.
Au mois d’août 2012, Manuel Valls, le ministre de l’intérieur de François Hollande, le révolutionnaire de gauche dit Président de la Ré-pub-lique, a ouvert la chasse aux « roms » et la poursuit.
Des campements ont été rasés et continuent de l’être, un peu partout, par « la force publique en exécution de décisions de la justice », répètent en chœur les médias et des populations, hommes, femmes et enfants sont pourchassés.
Manuel Valls, le ministre de l’intérieur de François Hollande, le révolutionnaire de gauche dit Président de la Ré-pub-lique, premier flic de France comme il se définit fièrement lui-même,[4] souligne qu’il va faire « régner l’ordre public ».
La « loi » doit s’appliquer contre les « bandes de nomades » dits « itinérants », « bohémiens », « gens du voyage », « gitans », « tziganes », « manouches », « romanichels » et autres qualificatifs méprisants et haineux, auxquels est greffé le mot « roms » pour signifier « l’invasion des délinquants venus de Roumanie et de Bulgarie ».
Des commentateurs et tateuses, récitent que les « roms » c’est des Roumains et des Bulgares, que la Roumanie et le Bulgarie.
Certes, ces pays font partie de l’Union Européenne qui reconnaît « la liberté de circulation » aux européens en Europe, mais pas aux « roms » de Roumanie et de Bulgarie.
Vous ne comprenez pas ?
Pourtant c’est clair.
Oui, certains sont « français » et alors ?
Ils sont « français » comme le sont des maghrébins, c'est-à-dire, des bougnoules, des ratons, des melons, des musulmans, donc des coupables.
Ils ne veulent pas de « l’intégmilation »,[5] alors…
Toutes les arguties habituelles ont fleuri, fleurissent et fleuriront.
Toutes les agressions contre ces populations sont en fait des actions « pour leur bien ».
C’est comme dans les colonies : toutes les destructions et tous les massacres sont « pour le bien des indigènes ».
La porte parole du Gouvernement de François Hollande, le révolutionnaire de gauche dit Président de la Ré-pub-lique, qui est aussi ministre de ce même François Hollande, le révolutionnaire de gauche dit Président de la Ré-pub-lique, a été chargée de lire une déclaration selon laquelle Manuel Valls,[6] le ministre de l’intérieur de François Hollande, le révolutionnaire de gauche dit Président de la Ré-pub-lique, applique la politique de la gauche avec « fermeté et humanité ».[7]
Que demande le peuple?[8]
 
BOUAZZA


[1] Installé sur le trône du Palais de l’Élysée en mai 2012 (selon le calendrier dit grégorien), en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.
[2] Voir déclaration du mardi 24 septembre 2013.
[3] Les tables de la loi de la gauche comme de la droite.
[4] En rêvant d’être installé un jour sur le trône du Palais de l’Élysée.
[5] Contraction d’intégration et d’assimilation.
[6] Qui continuera de s’agiter en usant de tous les sens du terme sécurité, pour augmenter ses chances d’être un jour installé sur le fauteuil du Palais de l’Élysée, à la place de son pote.
[7] La déclaration de cette employée dite porte parole du révolutionnaire de gauche installé sur le trône du Palais de l’Élysée, ne fait que confirmer qu’elle donne satisfaction dans la répétition de ce qui lui est demandé de répéter.
C’est cette même employée, connue des caméras de France et de Navarre, qui a répété et continue de répéter, que le mariage des homosexuels et des lesbiennes, qui a été légalisé par son employeur, le révolutionnaire de gauche, est un bienfait pour l’humanité.
Je ne fais que répéter beaucoup de ce dont j’ai déjà parlé.

jeudi 26 septembre 2013

LE NOMBRE DES PROPHÈTES ET DES MESSAGERS SUR EUX LA BÉNÉDICTION ET LA PAIX

Allaah a crée Aadame[1] sur lui la bénédiction et la paix, le premier homme, notre père et Hawwaa-e[2] qu’Allaah la bénisse, la première femme, notre mère.[3]
Aadame a été le premier Prophète, sur lui la bénédiction et la paix et Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Les Prophètes et les Messagers sur eux la bénédiction et la paix, ont tous été chargés de transmettre ce qui leur a été révélé par Allaah.
La multiplicité des révélations se rapporte aux diverses étapes du Message[4] et met en relief son essence qui est l’Adoration[5] d’Allaah dans l’unicité.[6]
L’Islaam[7] par conséquent, n’est pas né à l’époque où Mohammad sur lui la bénédiction et la paix, a commencé sa mission de transmettre Alqoraane[8] qui est la synthèse, la continuation et le parachèvement du Message d’Allaah.
Un Prophète[9] sur lui la bénédiction et la paix, est quelqu’un qui a reçu d’Allaah la mission de rappeler ce qui a été précisé auparavant dans le Message d’Allaah.[10]
Un Messager[11] sur lui la bénédiction et la paix, est quelqu’un qui a reçu d’Allaah la mission de rappeler ce qui a été précisé auparavant dans le Message d’Allaah et de transmettre une législation nouvelle, dans la continuité du Message d’Allaah.
Un Messager sur lui la bénédiction et la paix, est en même temps un Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Dans un « hadiite »,[12] Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, indique que le nombre total des Prophètes sur eux la bénédiction et la paix est de cent vingt quatre mille, et celui des Messagers sur eux la bénédiction et la paix est de trois cents quinze.
 
BOUAZZA


[1] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Ève qu’Allaah la bénisse.
[3] Beaucoup cependant disent descendre du singe et refusent d’admettre que la dynamique de l’évolution ne fait pas de l’être humain le descendant d’un macaque et d’une guenon.
Le macaque et la guenon le savent.
[4] Qui est UN.
[5] Al’ibaada.
[6] Attawhiid,
[7] L’Islaam depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[8] Le Coran.
[9] Nabiyy, pluriel Anebiyyaa-e sur eux la bénédiction et la paix.
[10] Notre père Aadame est le premier être humain et il est aussi Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
[11] Raçoul, pluriel Roçol sur eux la bénédiction et la paix (les r roulés).
[12] Rapporté par alimaame (l’imam) Ahmad qu’Allaah le bénisse.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, à Assonna.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :

mercredi 25 septembre 2013

« CHANGEMENT INOUÏ »



 Lors d’une grande bouffe dite « journées parlementaires » à Bordeaux, le premier ministre de François Hollande, le révolutionnaire de gauche dit président de la Ré-pub-lique,[1] a déclaré, officiellement qu’il assume d’avoir augmenté les impôts.
C’est une révolution cul-turelle : La gauche fait semblant d’assumer ses conneries.
Le grand chambardement.
L’humanité retient son souffle : Sur quoi va déboucher ce « changement inouï » ?
Vous le saurez en écoutant radio Londres : Les minables se foutent du monde.[2]
 
BOUAZZA


[1] Installé sur le trône du Palais de l’Élysée en mai 2012 (selon le calendrier dit grégorien), en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.

LA LIMOUSINE

La limousine, il y pense sans cesse.
Son amour pour elle n’a pas changé.
Les mille et une qualités qui la distinguent sont imprimées en lui.
Sur un banc en retrait, il l’aperçoit.
Il ne voit pas la foule bigarrée à proximité et reste sourd au vacarme.
Dans une banlieue décriée,[1] où il a travaillé de longues années à la chaîne,[2] il y a affluence devant la Mairie.
Un couple originaire du Maroc de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[3] attend, dans un bruit assourdissant, pour accéder à la salle des mariages.
Attroupement.
Bousculade.
Tambourins[4].
Des types en tuniques de là-bas et babouches, alimentent un tapage que d’aucuns trouvent « exotique ».[5]
Des « artistes » indigènes[6].
Des femmes lancent des « you-you »[7] stridents en se trémoussant et en se tortillant.
Des éléments de « la smala »[8], prennent des photos à montrer aux habitants restés au douar[9].
Garée bien en vue devant l’édifice, la limousine de location nourrit le fantasme de la « réussite ».
Étranger à cette agitation, le vieillard sur le banc poursuit sa remémoration, un rictus sur les lèvres.
Les pigeons à proximité partent dans un envol majestueux.
Le rictus du vieillard devient un sourire, puis un rire, se confondant avec le claquement des ailes.
Le voilà dans son village natal, devant le plateau de Millevaches[10] dans le Limousin,[11] où lui parvient la fantastique musique du meuglement de la limousine.[12]
 
BOUAZZA


[1] Connue pour ses cités où des personnes sont reléguées, en marge de tout.
Banlieue dite d’Habitations à Loyers Modérés (H.L.M.) utilisées pour entasser des familles issues du processus migratoire (principalement d’Afrique du Nord et d’autres régions d’Afrique), elle est dite zone de non-droit par ceux et celles qui veillent sur l’étable de la loi (les tables de la loi).
[2] Dans une usine de construction de voitures.
[3] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste et qui s’est traduit, dans les colonies, par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[4] Bnadr, singulier, bendir, le r roulé.
 Instrument de musique fait d’une roue de bois (ou de plastique) et de peau d’animal (ou artificielle) tendue.
[5] Mot qui a eu ses moments de gloire au bon vieux temps de l’empire colonialiste français.
[6] Vocable désignant les populations originaires des colonies.
[7] Zghariites (le r roulé), cris manifestant une participation bruyante à un événement considéré comme important.
[8] Terme intégré au français pour désigner, avec le mépris colonialiste, une famille dite arabe, forcément nombreuse et donc lourde et envahissante.
[9] Le r roulé.
Population d’un village au Maroc.
[10] Miuvachas disait sa grand-mère maternelle en occitan.
[11] Dans le plateau central, en Corrèze.