vendredi 1 mai 2015

ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES


« Et parmi Ses signes[1] Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de la tendresse et de la miséricorde.[2] Il y a en cela des signes pour des gens qui réfléchissent ».[3]
L’Islaam[4] qui accorde une place importante à la vie conjugale enseigne aussi, entre autres, l’attachement et la complémentarité entre les femmes et les hommes.
« Elles sont une parure[5] pour vous et vous êtes une parure pour elles ».[6]



[1] Les signes d’Allaah, aayaate.
[2] Salaah Addiine Kachriid (le ʺrʺ roulé) note  qu’Allaah nous rappelle que la vie conjugale tire sa force des liens de tendresse et d’amour réciproques qui unissent les deux époux et qui sont parfois remplacés par des liens de miséricorde quand l’un d’eux est malade, ou trop vieux, ou frappé de quelque infirmité avilissante.
Salah Eddine Kechrid, traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 533.
[3] Alqoraane (Le Coran), sourate30 (chapitre 30), Arroume (le r roulé), aayate 21 (verset 21).
[4] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
L’Islaam a trait au Message d’Allaah, Message qui, pour ce qui est des êtres humains, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[5] Libaas, vêtement.
[6] Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le "r" roulé), La Vache, aayate 187 (verset 187).
Alqoraane est la synthèse, la continuation et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu la mission de le transmettre.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
Voir :

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