Le
viol d’enfants en Afrique par la soldatesque française a été dénoncé par un
cadre de l’ONU[1]
en 2014.[2]
Il
risque d’être licencié parce qu’il ne fallait rien dire.
Le
« secret » a été bien gardé, mais il vient d’éclater[3] au grand
jour et subitement, la France de gauche, en charge de l’État, se met, depuis
vingt quatre heures, à radoter sur « la lumière qui sera faite pour
prendre les mesures qui s’imposent » ![4]
BOUAZZA
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