La
mascarade dite « politique » au Maroc permet à des minables de tout
bord, y compris parmi des « ministres » dits « défenseurs de
l’Islaam », de s’adonner à tout ce que l’Islaam condamne.
L’adultère
en fait partie, bien sûr.
Et
ces minables, serviteurs du régime de l’imposture, continuent de se prétendre
croyants et croyantes.[1]
Tout
cela s’étale sous l’œil du proxénète en chef, le système
colonialo-impérialo-sioniste, qui veille à ce que la puanteur n’épargne aucun
des « États »[2] dits
« musulmans ».
Ce
proxénète en chef se charge par ailleurs d’entretenir le discours sur ce qu’il
appelle « l’islam de tolérance », qu’il assimile aux maisons du même
nom.
Bien
sûr, il y a la phraséologie trompeuse qui a fait, qui continue de faire et qui
fera des victimes sans nombre, dans tous les domaines, mais le jour viendra où
ces minables rendront des comptes.[3]
BOUAZZA
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