J’aimerais
tant que mes larmes, comme l’eau qui s’infiltre dans la terre pour la
désaltérer et désaltérer les plantes, irriguent les graines pour que germent
les fleurs de mon cœur.
J’aimerais
tant faire entendre le murmure de l’eau qui rappelle que nous sommes à Allaah
et à Lui nous retournons.[1]
BOUAZZA
[1]
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ʺrʺ roulé), La
Vache, aayate 155 et aayate 156 (verset 155 et verset 156).
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
Voir :
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