En
France, pays de « la liberté sexuelle », de « la femme
libérée » et « ouverte », le couple « moderne » se
doit de décider à l’unanimité.
Moins
une voix !
C’est
la conception de l’unanimité selon l’étable de la loi[1] des
femelles « émancipées ».
La « gauloise » basanée est ajoutée au lot.
Qui est-elle ?
Un produit du processus migratoire dû au colonialisme
français en Afrique du Nord.
De la « colopole ».[2]
Du viol de la colonie[3]
par la métropole.
Depuis peu, la ré-pub-lique[4]
« lui fait l’honneur » de l’incorporer au plat des français,
« spécimens », « arabes » de service, dits
« musulmans »,[5] qui sont
ajoutés à la tambouille dite « politique » afin de donner du
« peps »[6]
à « lalla cité »[7] et à la
« difirsitii ».[8]
Une
« gauloise »[9] exhibée
par des médias,[10]
comme preuve de « l’intégmilation »[11] et de
« loufirtoure ».[12]
« La nouvelle » femelle « émancipée ».[13]
[1] Les tables de la loi.
[2] Contraction des mots "colonie" et
"métropole", qui dans le cas de la France par exemple, rappelle,
encore et encore, que la continuation des interventions de la soldatesque
française en Afrique et ailleurs, pour
maintenir la domination et entretenir des régimes mis en place à cet effet,
illustre, on ne peut plus clairement, le phénomène que j'appelle ʺcolopoleʺ ("colopoles").
Un flot de détritus qui perdure, présenté comme
"bienfaiteur" par les imposteurs à tous les niveaux, qui parlent
ʺd’apport civilisationnelʺ.
[3] Qui
reste pour la France colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de matières
premières et de main d’œuvre, un marché
pour tout écouler, un point stratégique pour les militaires, un terrain
d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres"loisirs touristes" de ce genre, un dépotoir, une
décharge d’immondices dans tous les domaines.
Les
pourris, mis à la "tête" de "l’État" de la colonie exécutent les ordres de
leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et
souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à
la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux
mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux
tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux
emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries,
aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la
décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[4] Du
mot ʺRépubliqueʺ, institution dont se réclament pratiquement tous les ʺÉtatsʺ
du monde, mais qui est présentée par les ʺgauloisʺ, comme un immense privilège
réservé à la France!
Cette ré-pub-lique dont on ne cesse de nous rebattre
les oreilles, doit à Jean Pierre Chevènement par exemple, d'avoir été conjuguée
à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de
l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand.
Le mythe errant qui soutenait, ʺautrefois jadisʺ, que l’Afrique
du Nord c’est la France, et qu’un bon arabe,c'est-à-dire musulman selon les
canons de sa loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Son tonton mythe errant (installé sur le trône du
Palais de l’Élysée pendant quatorze ans), était, bien entendu, un adepte de ʺla
libération de la femmeʺ et s’y
ʺconnaissaitʺ pour varier les plaisirs.
[5] En France, les ʺarabesʺ
sont les ʺmusulmansʺ et vice-versa.
Il est bon de rappeler, encore une fois, que l’Islaam
n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe,
de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
L’Islaam
depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son
mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[6]
″Pep″, du mot ″pepper″, poivre en anglais, épice appréciée dans la cuisine,
surtout par ceux et celles qui aiment manger et pisser (épicé).
[7] Dame
cité, la laïcité.
[9] Le colonialisme français
en Afrique et ailleurs disait aux colonisés
que leurs ancêtres étaient les gaulois.
Les
jeunes issus du processus migratoire, en grand nombre des populations
originaires d’Afrique du Nord et du reste de l’Afrique, sont parqués dans la
ʺtéciʺ (cité) de rebut, de désagrégation, de décomposition et de trafics
multiples, sont prêtes à tout pour être ailleurs.
[10] Ces
médias, de droite ou de gauche, appartiennent ou sont contrôlés par des
fortunés qui font partie des décideurs qui alimentent et entretiennent
l’imposture.
Les
journalistes et autres sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent
ces décideurs.
Le
verbiage sur ″le journaliste au
service de la vérité″ par
exemple, ne trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[12] Le ″r″ roulé, l’ouverture.
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
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